Rudolf Brazda

un très bel ouvrage, une histoire touchant, poignant. Ce livre est vraiment un de ces livres que je ne regrette pas d'avoir lu, car non seulement il parle de la vie dans les camps, de la sexualité dans les camps, des choses dont on a du mal à parler, mais il parle aussi de l'après, de comment cela s'est passé.

A lire, vraiment.

Roman qui parle d'une partie de l'histoire que l'on ne lis pas beaucoup. Très touchant.

Ce livre est un témoignage émouvant et important car il traite du statut des homosexuels pendant la Seconde guerre mondiale, un sujet qui n'est pas spécialement abordé dans les livres d'histoire alors que 10 000 hommes et femmes ont été enfermés dans les camps de concentrations au seul motif que leur sexualité n'était pas "normale" selon les critères nazis!!

Ce livre est important dans notre devoir de mémoire car encore aujourd'hui les persécutions en rapport avec notre sexualité existent toujours.

C'est le 1er livre que je lis, qui touche de l'homosexualité durant la 2 GM.

Il est très bien écrit, décrit très bien comment ils étaient persécuté, comment ils devaient rusé pour ce cacher.

Un très beau témoignage, à lire.

Rudolf Brazda, décédé en 2011 à 98 ans, était le dernier survivant connu de la déportation pour motif d’homosexualité.

Dans Itinéraire D’un Triangle Rose, Rudolf, plus que les horreurs de la déportation et de l’internement, met également en lumière le piège implacable qui allait inexorablement se refermer sur les homosexuels. Suite au renforcement du paragraphe 175, réprimant l’homosexualité, la police extorque des infos auprès de ces hommes, dénoncés le plus souvent, avec un zèle et un acharnement qui frise l’obsession.

Heureusement, la vie de Rudolf reste jalonnée de belles rencontres et de bienveillance. L’après-guerre dans son pays d’adoption, la France, sera pour lui une renaissance ainsi que la rencontre de l’amour de sa vie qu’il va accompagner jusqu’à la fin. Un livre poignant et un document précieux sur une époque révolue, mais qu’il ne faut surtout pas occulter et bien moins oublier.

Pour moi lire ce genre d'ouvrage s'apparente à un devoir de mémoire car il ne faut surtout pas oublier et continuer de se battre pour qu'une telle horreur ne se reproduise pas.

C'est un récit fouillé et bien documenté mais je m'attendais à plus car l'auteur s'attarde surtout sur les faits et non sur les pensées de Rudolf Bradza, ça se rapproche plus du documentaire.

Malgré ce qu'il a traversé et subit Rudolf Bradza a eu une vie heureuse et bien remplie. Il passe les portes de Buchenwald en 1942 et il aura "la chance" de ne pas trop mal s'en sortir grâce à ses expériences professionnelles et surtout aux personnes qu'il va y rencontrer. Par contre cette partie ne représente qun tiers du livre et je trouve que ce n'est pas assez développé car c'est surtout cette partie qui m'intéressait.

Le résumé ne correspond pas trop à ce que l'on retrouve dans le livre.