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Christelle Dabos

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Quelques chiffres

Note moyenne : 8.58/10
Nombre d'évaluations : 14 374

2 Citations 4 763 Commentaires sur ses livres

Dernier livre
de Christelle Dabos

Sortie France/Français : 2023-04-13

Les derniers commentaires sur ses livres

La Passe-miroir, Livre 1 : Les Fiancés de l'hiver

Incroyable déception comme je ne m'y attendait pas...

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La Passe-miroir, Livre 3 : La Mémoire de Babel

https://leslecturesdecyrlight.home.blog/2024/05/10/la-passe-miroir-t-3-la-memoire-de-babel-christelle-dabos/

Plus de deux ans se sont écoulés depuis qu’Ophélie a quitté le Pôle. Elle demeure sans nouvelles de Thorn dans ce troisième tome de La Passe-miroir, et les Doyennes d’Anima l’empêchent de se lancer à sa recherche. C’est sans compter sur Archibald, aussi imprévisible que de coutume, qui fait brusquement irruption sur son Arche.

Vous prenez le pire des Fiancés de l’hiver, le pire des Disparus du Clairedelune, et vous obtiendrez La mémoire de Babel. Accrochez-vous pendant que je retrousse mes manches, ça va être un CAR-NA-GE.

On commence avec le retour des répétitions et des métaphores douteuses. Thorn est toujours aussi grand, bien sûr, mais la nouvelle marotte de Christelle Dabos, ce sont les « coups de lunettes » jetés par Ophélie. Oui, parce que les yeux, c’est surfait.

Viennent ensuite les pouvoirs. Dans ma première chronique, j’avais émis le souhait que la protagoniste traverse davantage de miroirs (c’est quand même le titre de l’œuvre), mais je n’avais pas réitéré cette remarque pour le second tome, convaincue, à la vue du dénouement, que cette faculté allait enfin prendre de l’ampleur. Eh bien, c’est raté ! C’est même pire que raté, puisque notre bien-aimée (ou pas) Ophélie se confond tellement avec sa fausse identité qu’elle n’est plus certaine d’être en mesure d’utiliser son don. Bah tiens, on ne nous avait pas déjà fait le coup dans Les disparus du Clairedelune…

Et je pourrais en dire autant de ses autres talents. Elle a hérité des griffes de Thorn, mais elle est évidemment inapte à s’en servir quand / comment il le faudrait. Quant à la mémoire… Elle, en revanche, elle a tendance à s’activer pile au moment opportun. Si opportun, en fait, qu’elle tient surtout du deus ex machina. (Deus, Dieu, ah ah, elle est bonne !)

À côté, on a… Pas grand-chose, je le crains. C’est long. Plus long que jamais. Le volume précédent m’avait paru plus supportable que Les fiancés de l’hiver parce que j’avais réussi à m’attacher à Thorn, sauf que Thorn, il faut attendre le milieu du livre pour le retrouver… et assister à un magistral retour à la case départ en ce qui concerne sa relation avec Ophélie. À l’image de l’intrigue, ça stagne, ça stagne, jusqu’au bond final qui, lui, survient beaucoup trop vite, au regard (ou aux lunettes) du tempérament des deux énergumènes. Un cap de cette importance aurait mérité d’être mieux amené. M’enfin, dans cette saga, ça m’a l’air d’être tout ou rien (et plus souvent rien que tout).

Les personnages secondaires sont toujours TROP secondaires. Octavio tire un peu son épingle du jeu, mais les autres… J’ai l’impression que la majeure partie d’entre eux (et pas seulement dans La mémoire de Babel) n’existent que pour martyriser cette pôôôvre Ophélie. Et comme je suis incapable d’éprouver la moindre compassion pour elle, c’est lourd et redondant.

Car oui, Ophélie reste mon principal point noir (ce n’est pas un point, d’ailleurs, c’est un trou, à ce stade). J’ai l’impression que Christelle Dabos ne sait pas / n’arrive pas à l’écrire. Qu’elle l’a créée avec beaucoup trop de défauts, des défauts qu’elle tend de plus en plus à jeter aux oubliettes dès lors que ça l’arrange. On oscille par exemple entre une Ophélie peu sûre d’elle, assez mal dans sa peau, et cette même Ophélie qui nous lâche avec conviction des « Je vais devenir avant-coureuse ! » Euh… Où ? Quand ? Comment ?

Surtout comment, en fait. Parce qu’on sait qu’elle progresse, mais on ne la voit pas vraiment fournir d’efforts tangibles. C’est le souci à mon sens : elle n’a pas de réelle évolution. Elle est seulement ce que l’auteur a besoin qu’elle soit à l’instant T. Et encore… Elle a bien quelques éclats de génie, mais la plupart des solutions / réponses lui tombent littéralement du ciel. Au-delà des réminiscences providentielles que j’évoquais plus haut, où en serait-elle sans Hélène ? Sans Octavio ? Nulle part. Même LE miroir doit venir à elle, puisqu’elle n’en franchit aucun. Je pourrais concéder que c’est logique, vu qu’il n’y en a pas sur Babel… sauf, là encore, piiile quand c’est nécessaire.

Voilà pour les problèmes récurrents. Passons maintenant à ceux inhérents à ce tome. Qu’est-ce qui ne va pas ? Je serais tentée de répondre TOUT ! Encore que, j’ai préféré Babel au Pôle, et j’ai apprécié Octavio, ainsi que les apartés avec Victoire, mais c’est trop peu pour nuancer mon avis.

Je notais précédemment que la dimension théologique de l’œuvre ne m’avait pas convaincue, sans me douter de combien j’étais dans l’erreur. En effet, de théologie, il n’y en a nulle goutte. Je ne vais pas vous spoiler les révélations majeures, mais disons qu’elles m’ont désagréablement rappelé la duologie La dernière licorne (Marc Séassau), qui figure rien moins que dans mon top 5 des livres les plus mauvais / mal fichus qu’il m’ait été donné de lire. Cette comparaison peu flatteuse n’a en rien arrangé mon ressenti vis-à-vis de la saga, et encore moins d’Ophélie, que je ne peux désormais m’empêcher de voir comme un double self-insert maladroit. Très maladroit.

Je vais terminer La Passe-miroir (ce serait quand même… triste de capituler à un volume de la fin), mais plus je tourne les pages, moins je m’explique l’engouement autour d’une histoire qui repose essentiellement à mes yeux sur du TGCM. Ou, en l’occurrence, TGCDieu.

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La Passe-miroir, Livre 2 : Les Disparus du Clairdelune

Une très bonne lecture! Je ne penses pas être le public cible pour ce genre de lecture mais cela m’a tenu en haleine et me pousse à lire les autres tomes pour savoir ce qui va arriver ensuite. Thorne est vraiment un personnage qui m’intrigue et que j’aime beaucoup.

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La Passe-miroir, Livre 3 : La Mémoire de Babel

Alors c’est définitivement pas ce que je lis d’habitude mais j’ai quand même passer un bon moment. J’ai un peu patiner par moment parce que j’avais du mal à imaginer où l’autrice voulais en venir mais bon ça a laisser la placer à la surprise totale. Enfin un peu d’action entre ces deux amoureux!!

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La Passe-miroir, Livre 4 : La Tempête des échos

Alors là !! Spoiler(cliquez pour révéler)Pourquoi on perds Thorn comme ça ? Ça ma briser le cœur !! J’espère qu’il y aura un dernier tome pour nous raconter les retrouvailles d’Ophélie et de Thorn

J’ai trouver les autres tomes assez long mais celui là !! WoW

J’ai l’impression d’enchaînement je n’ai rien compris. Je trouve quand même que je reste sur ma faim avec Thorn la.. Je suis contente du dénouement finale mais Thorn quoi ..

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La Passe-miroir, Livre 2 : Les Disparus du Clairdelune

J'ai eu un peu de mal à me replonger dans l'histoire, la lecture du premier tome remonte à plusieurs années. Mais je me suis vite rappelé de ses personnages et de l'histoire, ce deuxième tome est rempli de suspense, d'action et nous laisse encore pas mal de questions en suspens. Je vais attaquer directement le troisième tome pour connaître la suite.

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La Passe-miroir, Livre 1 : Les Fiancés de l'hiver

J’ai eu du ma au début à entrer dans l’histoire mais l’héroïne m’a beaucoup plus. Elle ne ressemble pas aux héroïnes nunuches que l’on trouve dans certains romans et non plus a une femme forte à laquelle rien ne résiste. Elle a une force fragile qui s’affirme tout au long des trois romans. La romance m’a plus également car si on est au début dans le cliché du grand brun ténébreux avec au fond un bon cœur. Ses failles collent avec le personnage. Elles sont extrêmement touchantes et leur relation prend le temps de se consolider en un attachement profond et puissant au fil des épreuves qu’ils rencontrent.

L’intrigue est superbement bien ficelée et est le cœur du roman mais ne tient que par l’évolution de la relation entre les deux personnages principaux. Il faut cependant être très attentif aux subtilités des indices qui nous sont distillés tout au long de la lecture pour bien comprendre les tenants et aboutissant des révélations finales.

La fin elle aussi m’a plu car on est loin d’un happy end cependant est ouverte sans nous laisser complètement sur notre faim ce qui permet d’en imaginer aisément la conclusion qui nous plait.

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La Passe-miroir, Livre 4 : La Tempête des échos

Ceci est la première critique que je réalise sur un livre, j'espère m'y prendre correctement ! 😊 Attention même s'il y a des informations dans cette critique qui sont établies dans les anciens tomes, je préfère vous conseiller de la lire seulement si vous avez terminé la saga.

Ayant rompu avec la lecture depuis un moment à cause de mes études, mon désir de m'évader a finalement resurgi et mes yeux se sont posés sur Les Fiancés de l'Hiver, depuis longtemps abandonné dans ma bibliothèque. Quelle erreur. J'ai vraiment rechigné à le rouvrir, ce premier tome. A l'époque du haut de mes 13 ans, je trouvais qu'il traînait en longueur et je l'avais refermé aussi vite. Longtemps j'étais restée sur cette sensation d'ennui, au point de l'oublier. C'est par pur hasard qu'il m'est revenu entre les mains. J'ai alors pris le temps d'écouter, d'imaginer ce que cet univers avait à me dévoiler. Aujourd'hui, je pleure la disparition de ses personnages et de cet univers fantastique que j'ai dévoré en à peine une semaine.

Que dire de ce tome 4 ? Ce dénouement me laisse un sentiment contrasté, quelque peu amer mais sans regrets de l'avoir lu. « La tempête des échos » est en effet une véritable tempête de révélations qui se succèdent : chaque réponse donnant naissance à une nouvelle interrogation. Le roman nous tient en haleine, nous force à nous poser pour réfléchir au sens de tout ce manège qu'à inventé « Dieu ». L'auteure nous replonge dans son univers, toujours au sein de Babel, mais cette fois-ci avec une tonalité plus sombre. Les langues se délient, le puzzle trouve enfin toutes ses pièces. Ce fut une lecture périlleuse tant part le nombre d'informations que part les liens qu'il fallait mentalement tisser. Certaines questions n'ont encore pour moi qu'une vague réponse. Des personnages s'amusent à jouer avec les sens d'Ophélie jusqu'à nous en faire perdre nous-même, lecteurs, toute notion. J'ai globalement réussi à maintenir ensemble l'essentiel, la lecture d'une traite m'ayant fortement aidée à ne rien oublier. Il me faudra cependant une relecture pour mieux comprendre, ça c'est sûr.

Les personnages secondaires tels qu'Archibald, Renard ou encore Bérénilde m'ont paru soudain forts lointains. J'ai éprouvé beaucoup d'attachement pour ces personnages charismatiques au sein des tomes 1 et 2. Je l'ai ressenti comme un fil qu'on aurait coupé en deux dans ce tome 4. Spoiler(cliquez pour révéler)Mention à Archibald et sa troupe à la recherche d'Arc-en-Terre pour au final pas grand-chose si ce n'est mener Dieu à dire un coucou à Janus. Bérénilde, traumatisée par la perte de ses enfants, se retranche dans son manoir en mère super-protective au point d'en oublier de laisser sa fille vivre. Et sa fille d'ailleurs, Victoire ! Pour qui on aurait pensé qu'elle aurait joué un rôle plus important que juste celui de raconter la progression d'Archibald. La manière dont Christelle Dabos l'amenait laissait penser à quelque chose de plus grand qui se tramait dans ses « voyages ». Je trouve cela un peu dommage d'avoir sous-exploité ces personnages auxquels on s'était attaché. J'aurais aimé les revoir plus souvent. Cependant je comprends ce choix : ces 2 derniers tomes se concentrent sur l'évolution d'Ophélie et l'origine de la Déchirure, il était donc temps de passer à autre chose.

La dynamique tumultueuse d'Ophélie et de Thorn a été pour moi l'essence même de ma lecture. Cette relation si parfaitement chaotique, 2 opposés que le destin a pourtant choisi de réunir contre leur gré. J'adore la romance, encore plus si elle est compliquée.

Thorn, le dragon ; le calculateur ; l'intendant ; l'ours. Cet homme qui avait tout pour réussir sauf une chose : l'amour, que même ses propres parents n'ont voulu lui donner. De s'aimer soi-même et d'être aimé en retour. Un vide émotionnel rempli par des chiffres dans lesquels il s'était terré pour faire face aux jugements des autres.

Ophélie, l'animiste ; la passe-miroir ; la myope ; la maladroite pour qui le monde s'ébranlait à l'annonce de son mariage. Un monde qui va la mener à rude épreuve mais qui va la sortir de son quotidien. De responsable d'un musée à valet, puis femme mariée et enfin aspirante avant coureuse. Mutilée, brisée, manipulée. Ophélie est passée par beaucoup d'horreurs et de violences que son monde prône haut et fort vouloir renier et oublier mais qui pourtant, n'hésite finalement pas tant que ça à les utiliser sous couvert. Sa détermination n'a jamais flanché. Un personnage fort caché sous une apparence frêle et une gaucherie qui ne la quitte jamais mais qui au final, nous rappelle ô combien c'est bel et bien l'Ophélie que nous avons appris à aimer.

Qualités et défauts, Thorn et Ophélie se complètent. Le Dragon donne à l'Animiste un sens à sa vie en l'emportant au Pôle, point déclencheur pour elle de son aventure et de son évolution. L'Animiste donne au Dragon une raison de se battre, plus qu'une coéquipière dans sa lutte contre Dieu : quelqu'un qui l'accepte tel qui l'est lui, Thorn, et pas tantôt pour sa condition d'intendant, ni renié pour celle d'être un bâtard. Ils ne tombent pas dans les bras de l'autre, sans pour autant se détester. Ils essayent d'établir un contact, se plantent souvent lamentablement certes, mais la confiance et la communication s'installent au fur et à mesure pour donner le plus magnifique des résultats.

Thorn semblait toujours avoir une longueur d'avance sur Ophélie, ce qui parfois la mettait dans des situations un peu cocasses, la tournant presque au ridicule et donc m'embêtait passablement. Dans ce T4, je suis heureuse de voir que cette dynamique s'inverse enfin pour devenir équilibrée. Comme pas mal de monde, je reste sur ma faim concernant ce final.

[spoiler]Thorn, qui avait déployé tant d'efforts pour enfin commencer à s'accepter et s'ouvrir à Ophélie (faut avouer que c'est lui qui faisait tout le temps le 1er pas) ; et Ophélie qui touchait enfin au but de leur quête et qui de surcroît s'était promis d'aider Thorn. Pourquoi les avoir séparés si brutalement ? Ophélie qui s'en retourne dans l' "Endroit" en sachant que Thorn est coincé quelque part dans l' "Envers" ? Après il est vrai qu'elle manquait de temps... Peut-être qu'encore une fois la balance n'était pas équilibrée et qu'il ne pouvait revenir. Même si on ne peut pas avoir tout le temps l'happy-ending, ce fut un sort bien funeste pour eux. Cependant ce sacrifice ne fut pas vain : Thorn, en poussant l'Autre dans le miroir, aura accompli son vœu : rendre les dés au monde. La boucle est bouclée. Mais à quel prix ?/[spoiler]

Je relativise. J'essaye de prendre cela comme une métaphore : ces 4 tomes étaient pour nous le Livre qui nous racontait la vie d'Ophélie, au même titre des Livres dans son monde qui racontaient et déterminaient chaque esprit de famille. Nous l'avons parcouru avec nos mains de liseurs en vivant avec elle ses aventures et ses émotions. Comme "Dieu" a su construire ses enfants, Christelle Dabos a su construire Ophélie au fil des lignes du Passe-Miroir. A la fin, les deux auteures relâchent leur emprise. Ophélie et tous les personnages ont rempli le rôle qui leur était destiné, à eux maintenant d'écrire la suite de leur propre histoire. Tout est possible, il ne reste à nous que de l'imaginer…

...même si j'aurais aimé la voir plus longtemps sur un autre chapitre ou un autre livre (*bouhouhou pleure dans un coin*).

Je vais m'arrêter là car je constate que j'ai déjà trop bablaté. J'aurais encore aimé parler des pouvoirs originaux de chaque personnage, de la beauté des descriptions des arches, des relations entre les personnages (même l'écharpe !), de sacrés plot twist qui m'ont retourné la tête, mais ça ferait beaucoup trop. Cette saga m'aura autant fait rire que pleurer dans une pluie d'émotions, et j'espère l'avoir correctement cernée avec toute cette multitude d'informations. Ce fut une merveilleuse lecture. Merci Christelle Dabos pour votre plume incroyable, et pour nous avoir permis de rentrer dans le monde d'Ophélie.

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La Passe-miroir, Livre 4 : La Tempête des échos

Le moins bon de la saga à mon goût, beaucoup trop de longueur.

Spoiler(cliquez pour révéler) La conclusion du mystère m'a semblé trop tiré par les cheveux.

A partir du délire d'échos et de cristallisation j'ai trouvé sa trop n'importe quoi et trop compliqué pour pas grand chose.

Je n'ai pas aimé le point de vue de Victoire qui n'ajoutais rien à part des pages.

La révélation d'Elizabeth qui est en réalité Eulalie est un bon twist mais ça arrive beaucoup trop tard dans le livre pour développer.

La fin est ouverte mais pas satisfaisante.

Ca reste une bonne saga dans l'ensemble.

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La Passe-miroir, Livre 3 : La Mémoire de Babel

Un vrai coup de coeur pour cette saga, l'intrigue est toujours aussi prenante. La fin laisse un suspense insoutenable. J'ai hâte de m'acheter le dernier tome pour connaître la fin de cette merveilleuse saga.

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