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Jon Klassen

Auteur

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Quelques chiffres

Note moyenne : 6.94/10
Nombre d'évaluations : 32

0 Citations 10 Commentaires sur ses livres

Dernier livre
de Jon Klassen

Sortie France/Français : 2022-02-23

Les derniers commentaires sur ses livres

Commentaire ajouté par dadotiste 2015-05-15T18:20:35+02:00
Le noir

Une histoire très mignonne qui fait d'abord monter le suspense avant de calmer la peur en elle même.

Un album bien écrit et adapté que je recommande.

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Commentaire ajouté par RazKiss 2017-12-22T20:16:40+01:00
On a trouvé un chapeau

Cette histoire semble très simple, mais il ne faut pas toujours se fier aux apparences : deux tortues trouvent un chapeau et, comme il n'y en a qu'un seul pour deux, elles conviennent de le laisser là où il est. Mais sont-elles vraiment toutes les deux du même avis ?

J'aime quand l'image contredit le texte, et là c'est tout à fait le cas ! Jon Klassen a un style très graphique et plutôt moderne, j'ai vraiment apprécié ces illustrations dans les tons gris. On a également droit à un beau coucher de soleil dans la deuxième partie.

Par contre, l'histoire me touche moins, malgré son originalité. En fait, la chute me laisse un peu perplexe. Elle est comique mais pas assez explicite. Je suis curieuse de voir la réaction des petits quand on leur lit cet album.

Même si ce livre en trois parties est loin d'être un coup de cœur, ça valait la peine de découvrir le travail de Jon Klassen.

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Commentaire ajouté par sunakosan 2020-05-21T00:03:27+02:00
Extra-doux

Oh, que j'aime cet album ! J'adore la fantaisie et l'humour de l'univers du duo Barnett/Klassen qui est ici à son plus haut niveau. Les illustrations sont magnifiques et pleines de petits détails amusants. Le texte synthétique, narre avec brio une histoire farfelue mais porteuse d'un message important.

Une vraie pépite !

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Commentaire ajouté par sunakosan 2020-05-21T00:27:21+02:00
Le loup, le canard & la souris

Un de mes albums favoris de ce talentueux duo ! Le canard et la souris ont été avalés par le grand méchant loup. Et alors ? Ils s'accommodent très bien de cette situation. Comme le déclare le canard philosophe : « Je vis très bien ici. J’ai peut-être été avalé, mais je n’ai aucune intention d’être mangé ! » Le ventre du loup se transforme alors en un intérieur coquet et douillet, où il fait bon vivre. L'auteur et l'illustrateur font ici un clin d'œil plein d'humour aux contes traditionnels, jusque dans le langage employé par les personnages. L'écriture de Mac Barnett est absolument géniale et se marie parfaitement avec les fabuleuses illustrations de Jon Klassen. L'humour noir, la situation cocasse et le raisonnement fantasque des personnages amusent autant les enfants que les parents (ce qui est pour moi la marque d'un bon album). J'ai ri toute seule en le lisant la première fois... Et on rit toujours autant à chaque lecture avec mes enfants alors que nous le connaissons par cœur. Un véritable chef-d'œuvre !

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Commentaire ajouté par Hogwarts08 2021-08-14T23:25:23+02:00
Extra-doux

Un petit livre d'une douceur incroyable, j'ai pris plaisir à le découvrir, à le faire découvrir à mes petits aussi. Un petit conte mignon, qui prône la gentillesse et la douceur. Les illustrations sont superbement réalisées, agréables à regarder et apaisantes. Je le conseille aux petits comme aux grands en esperant que vous prendrez autant de plaisir que moi

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Le loup, le canard & la souris

Ce fut un assez bon moment de lecture sur le coup, mais pas exceptionnel non plus.

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Commentaire ajouté par Chachouw 2022-08-31T13:39:17+02:00
Le noir

Laszlo, notre jeune héros, vit dans une très grande maison et a peur du noir. Ce noir a d’ailleurs élu domicile dans la cave…

Chaque jour, afin que le noir ne vienne pas lui rendre visite le soir, Laszlo se rend dans la cave pour lui dire bonjour. Et, chaque nuit, le petit garçon garde la lumière allumée dans sa chambre, pour se rassurer et garder le noir à distance. Seulement, une nuit, « le noir vint ». Le noir, avec sa voix qui craque, invite le garçon à le suivre jusqu’à la cave… Laszlo obéit à contrecœur. « Approche », lui dit le noir… C’est alors qu’en ouvrant le tiroir de la commode qui se trouve là, Laszlo découvre… une ampoule ! L’enfant réalise alors que le noir n’est pas forcément synonyme de danger ou de malveillance, mais qu’il peut aussi être un allié…

Ainsi, « le noir continua d’habiter dans la maison, mais il ne tracassa plus jamais Laszlo ».

L’obscurité est ici personnifiée, on lui donne des adjectifs et elle est douée de parole. Le noir est un personnage à part entière dans cette histoire.

Les illustrations de Jon Klassen jouent beaucoup dans la dynamique de l’album, rendant encore plus vivant ce noir qui prend beaucoup de place sur les pages d’illustrations. Le graphisme est simple, réaliste et réussit à créer une ambiance particulière, angoissante parfois. On apprécie également les doubles pages rassurantes où la lumière prend le dessus, les couleurs tirant sur des tons chauds.

Etonnamment, cet album est assez éloigné du style de Lemony Snicket, son humour et ses jeux de mots singuliers n’apparaissent pas ici. A la place nous découvrons une belle écriture poétique. Le suspense est légèrement présent mais suffisant pour inquiéter le lecteur. Quant à la fin, elle est parfaite pour dédramatiser ce noir si effrayant et pour rassurer les enfants…

Un bel album.

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Commentaire ajouté par Atynas 2023-05-20T01:11:43+02:00
Je veux mon chapeau

J’ai trouvé le tout trés drôle et entrenant.

8/10

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Commentaire ajouté par Shaynning 2023-08-26T03:50:29+02:00
Le Crâne

Incontournable Août 2023

Version courte:

Voici un hybride mi-roman graphique mi-roman aux accents lugubres, inspiré d'un conte tyrolien, mettant en scène une fillette en fugue rencontrant un crâne bavard ambulant dans un mystérieux château, en pleine forêt de conifères. Récit rythmé d'une étrange mécanique et dotées d'illustrations complémentaires au texte, "Le crâne" propose une improbable amitié... et un secret chuchoté à demi-mot.

Version exhaustive:

On dit souvent des romans d'épouvante ou frissonnant qu'un des éléments importants qui les composent est l'atmosphère. Il faut pouvoir "sentir" cet univers , dans son essence, pour ressentir le malaise, le glaçant de la chose, et pour induire un registre émotionnel tel que la peur, l'inquiétude et/ou l'angoisse. D'ordinaire, c'est grâce aux descriptions que l'on perçoit l'atmosphère, mais ici, c'est attribuable à une drôle de combinaison entre les illustrations et une narration très simple, où plane des non-dits. Bienvenu dans une variation du conte tyrolien "Le Crâne", par Klassen, qui est aussi malaisant que le le laisse présager sa couverture et dans laquelle le Passé reste bien muet. Pour une fois.

Otilla fuit. Quoi? Pourquoi? On ne sait pas. On ne saura jamais. Toujours est-il qu'elle a fuit dans la forêt. On l'appelle. Elle ne répond pas. Otilla trébuche, pleure, se relève. Elle a découvert une veille et très grande maison. Dans cette maison vit un crâne. Ce crâne daigne lui ouvrir. Elle peut rester ici, si elle en a envie. Elle n'aura qu'à le porter, c'est la seule demande du crâne. Otilla accepte. Il lui fait visiter. Il est gentil. Ils semblent bien s'amuser. Mais. Il y a un "mais". Durant la nuit, un squelette sans tête veut attraper le crâne. le crâne ne veut pas être attrapé. C'est ce qu'il dit à Otilla. Alors, Otilla élabore un plan. Un plan pour cette nuit. Pour en finir.

Déjà, il faut savoir que le style de narration ressemble à ce résumé. On emplois le présent de l'indicatif, les phrases ne sont jamais très longues et les dialogues sont courts, presque mécaniques. C'est épuré, assurément, mais ça contribue a accentuer le malaise de cette histoire, au bout du compte, car il n'y a aucunes descriptions et pratiquement aucun registre émotionnel, si ce n'est les verbes pour marquer les comportements. Il y a quelque chose de détaché, presque froid. Un "froid" accentué par les illustrations. Ce peut-être un choix très intéressant au regard du statut de "conte" de cette histoire, et propose quelque chose de relativement peu fréquent, en littérature jeunesse. du moins, c'est quelque chose qu'on verrait plus en littératie, pour les Lecteurs débutants, moins pour les lecteurs intermédiaires. Pour les profs, le livre peut donc être aussi bien utilisé en premier cycle, 2e année ( 7 ans) que la 3e année du second cycle ( 8 ans) et pourquoi pas les 4e ( 9 ans) qui ont des défis en lecture ou un français langue seconde? En outre, la police est très grosse et la mise en page aérée. le livre n'est donc pas aussi chargé que le laisse croire son format.

Ensuite, l'histoire elle-même a quelque chose de perturbant, dans le sens "dérangeant". Otilla fuit quelque chose qu'on peut croire humain ou pas. On laisse cet état ambigu, qui peut être aussi bien une voix humaine que "celle du vent", comme l'indique l'histoire. On sait juste qu'elle court et sans doute pas parce qu'elle le veut. Un enfant qui se réfugie dans une sombre forêt, règle générale, laisse derrière lui quelque chose de plus sombre encore. La petite fille n'est pas la seule a fuir, cependant. le "Crâne", entité bavarde et capable de se mouvoir, précise que le "squelette sans tête" veut s'emparer de lui. On peut penser que c'est le reste de sa personne, mais quand à savoir pourquoi il veut rester un crâne de son état, ce n'est pas dit. Il ne veut pas en parler et Otilla respecte ce choix. Une sage décision, quand on pense à la 4e femme de Barbe Bleue. Bref!

Si on veut extrapoler: Je subodore que le crâne craint de se voir rattacher à quelque chose, son passé peut-être bien. le fait d'être divisé entre "tête" et "corps" peut peut-être être vu comme une distinction entre "la raison" et "l'impulsion", les gestes. Je pense que ce que le crâne craint, c'est de redonner le pouvoir à son corps, qui a peut-être commit des gestes impardonnables ou qui se gère très mal, peut-être pour une émotion mal gérée. Ce pourrait être la colère, à en juger par les lettres capitales du texte quand le squelette parle et qui marque la force de son ton. Sa tête semble avoir assez de bon sens de s'en tenir loin. Une autre hypothèse est que le corps réfère à un élément temporel: le Passé. Revenir à ce corps qui le cherche, c'est peut-être refaire face à un Passé que le Crâne veut oublier. Dernière hypothèse, la plus glauque: ce squelette sans tête n'est PAS celui du crâne. Brrr! Quoiqu'il en soit, on peut se demander ce qui motive le crâne, mais je reste quand même certaine d'une chose: S'il demande de rester loin, c'est qu'il juge qu'il y a une bonne raison et quelle qu'elle soit, il importe de la respecter. Otilla a fait preuve de beaucoup de tact et d'empathie en ne poussant pas plus loin sa curiosité.

Durant la première partie de l'histoire, nous cheminons avec Otilla et Crâne, qui se découvrent des atomes crochus et une complicité naissante. Ils mangent des poires de la serre, dont Otilla permet enfin à Crâne d'en goûter les fruits sur les arbres, plutôt que celles tombées au sol, trop mûres. Ils dansent dans la vaste salle de bal. Ils explorent le donjon et son puits sans fond. Ils dorment dans le même lit douillet, crâne sur son oreiller, elle sur le sien. Ça respire la chaleur et la complicité. Crâne souligne d'ailleurs qu'il aime cette maison.

Dans la seconde partie , on affronte le secret du château: le squelette sans tête.

Attention, il y aura des divulgâches.

Crâne et Otilla vont dormir en attendant son apparition. Il ne tarde pas à venir à eux en hurlant qu'il veut "ce crâne". Otilla s'échappe alors dans le château, Crâne sous le bras, et se hisse sur le balcon à la balustrade basse qu'elle avait vue durant le jour. Elle joue le traditionnel tour de "je te laisse me dépasser pour mieux te pousser dans le vide" et le voilà qui s'écrase en mille morceaux en bas du balcon. Si Otilla dit alors à Crâne qu'il est temps de dormir, en réalité, elle n'en a pas fini. Laissant Crâne dans leur chambre, elle sort du château, retrouve les os et les réduit en poussière avec un rouleau à pâte. Puis, un thé à la mains, elle brûle les os dans un gros feu. Finalement, elle dépose la poussière noire que sont devenus les os dans un seau et va la jeter dans le puits sans fond du donjon.

J'ai éprouvé un certain malaise de voir une petite fille mettre un tel acharnement à détruire ces os - Soyons honnêtes, les jeter dans le puits "sans fond" aura suffit. Et c'est particulièrement angoissant quand on observe Otilla le faire méthodiquement avec ses deux yeux toujours bien rond et son visage stoïque, comme si rien ne l'atteignait-Ouh! Petits frissons.

Il y a entre le texte et les illustrations un amour qu'on serait fou de vouloir séparer. D'abord, il y a des différences entre eux, donc des inférences à faire. Quand ils visitent le château, par exemple, il est écrit qu'ils voient des masques "purement décoratifs", mais les illustrations vont les présenter ensuite avec lesdits masques "pas destinés à être portés" sur leur visage. C'est amusant, précisément parce que le texte ne dit pas qu'ils les ont porté, et ce, en dépit de leur statut décoratif. En outre, toute la scène de poursuite entre Otilla et le squelette est non-écrite, marquée seulement par les "DONNE-MOI CE CRÂNE! JE VEUX CE CRÂNE!". Il faut donc le concours autant du texte que des illustrations pour comprendre cette histoire. Ensuite, avec sa palette de gris, de noirs, son blanc de craie et ses roses de corail, le graphisme simple aux textures variées de Klassen ajoute définitivement de l'angoisse au récit. Autres éléments de malaise: Les yeux de Otilla, qui nous fixe. L'hiver dénudé. le froid du château. Les ombres de la forêt. Quand je vous parlais d'atmosphère, c'est aussi à ça que je pensais. C'est sombre, inerte, très tranquille. Que fait donc cette petite fille dans ce décor? Que penser de ce crâne chaleureux dans ce lieu si froid? Malaise. Il y a une ne touche assurément vieillotte, aussi. Klassen a vraiment un style hors du temps.

L'histoire en soi n'est pas si horrifiante que ça, elle est surtout très mystérieuse et innatendue. Reste que le crâne est un sympathique personnage et que la violence réside dans la destruction en trois phases du squelette. Il faudra voir s'il fait trop peur aux 7 ans pour convenir au premier cycle. le second cycle ( 8-9 ans) devrait aimer, je pense.

"Le Crâne" m'évoque le roman de Gal Aymon, L'apprenti conteur, ce roman lui aussi angoissant et sombre, et lui aussi tiré d'un folklore inscrit dans la tradition des contes traditionnels. Loin des version édulcorées, voir capitalistes, des contes modernes écrits, les contes oraux avaient une autre vocation: Instruire, partager et mettre en garde. S'ils étaient sombres, c'était pour traiter de sujets sombres. S'ils étaient angoissants, c'était pour faire réfléchir et ultimement pour faire "grandir" les enfants, en leur faisant surpassant leurs peurs. Surtout, les contes oraux étaient fluides: Ils changeaient de formes et de fins au gré des conteurs. Ce livre-ci en est d'ailleurs un. Dans la version d'origine ( disons celle du livre où l'auteur a lu cette histoire pour la première fois), Otilla se cramponne au crâne toute la nuit. Au petit jour, le squelette se change en femme blanche, qui offre alors à la petite fille la maison et toutes ses richesses, enfants et jouets inclus. Dans cette version-ci, Otilla vit avec le crâne dans son château, après avoir pilé, brûlé puis jeté dans le puits ce qui reste du squelette- C'est-à-dire pas grand chose. le crâne lui est reconnaissant de l'avoir aidé. La vie continue.

Je réitère que le Passé reste bien scellé dans cette histoire. Un cas étrange, ma foi, car on aime bien avoir les détails du passé des personnages, surtout les détails sordides. Pas de ça, ici! Non, pour une fois, nous avons deux personnages qui se sont trouvés et qui se respectent dans ce silence. On peut même se demander si aborder ce passé est si pertinent, au final? Toutefois, je me demande..Et si Otilla avait conjuré sa peur en affrontant le squelette? Et si, par amitié, elle avait gagné suffisamment de courage pour affronter, plutôt que fuir?

Finalement, ce qui a amusé l'auteur, selon ses dires, c'est que durant l'année qui a suivi sa lecture de ce conte, l'histoire a changé dans sa tête, ce qui donne la version qu'on a ici. Une version qu'il a préféré à l'originale. C'était le propre des contes, à un époque jadis, de changer de forme au gré des conteurs. de nos jours, c'est la fanfiction qui fait varier les histoires écrites - Pour le meilleur et pour le pire. À croire qu'on est toujours pas capable de se contenter d'une seule version! Bref. Ce peut-être intéressant, pour les profs, de parler de cette tendance qu'on les humains de faire varier leurs histoires, d'une part en raison de leur mémoire pas toujours fidèle, d'autre part en raison de leur imagination. du reste, certaines variations se profilent pour des raisons culturelles, morales et/ou sociales.

C'est donc un incontournable pour la librairie jeunesse qui s'ajoute pour le mois d'août, que je vais placer dans ces hybrides mi-roman graphique mi-roman qui font la joie des jeunes lecteurs. Surtout que ces temps-ci, les jeunes Lecteurs semblent très friands d'histoires mystérieuses et frissonnantes.

Pour ceux et celles qui se le demande: Les Tyroliens sont les germanophones habitant le Tyrol, qui correspond à l'actuelle province de Bolzano, dans la région autonome du Trentin-Haut-Adige, le Trentin en Italie, et le land du Tyrol en Autriche.** ( Source: Wikipédia)

Pour un lectorat du 2e cycle primaire, 8-9 ans ( La 2e année pourrait fonctionner d'un point de niveau de lecture, mais il faut que le Lecteur soit à l'aise avec le registre Épouvante.)

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