Yuki Yoshihara
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Note moyenne : 7.55/10Nombre d'évaluations : 469
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Le destin ayant bien fait les choses Sakiko habite maintenant dans la même maison que Chifuyu, déclarer officiellement maîtresse de celui-ci elle profite du moindre moment pour essayer de le faire craquer. Mais en attendant elle passe a l'étape supérieur avec Natsuo le petit frère du professeur qui l'initie pour pouvoir être au top avec sont frère.
Un tome toujours fou, Sakiko fait d'une pierre de coup avec les deux frères.
Afficher en entierSakiko est enfin parvenue à ses fins avec Chifuyu et découvert que celui-ci est nul au lit, alors qu'elle s'entraîne avec Natsuo celui-ci développe des sentiments pour elle. Bien décidée a garder Sakiko pour lui seul, Natsuo décide de sortir sont ultime joker : la femme de Chifuyu !
Sakiko va devoir comprendre les limites en tant que maîtresse dans ce tome.
Afficher en entierSakiko a presque fait son choix, Chifuyu aussi, Sakiko a officiellement perdu sont titre de maîtresse, mais les choses sont loin d'être facile, après avoir décidé de faire ménage a trois avec les deux frères elle a encore du chemin à faire.
Dernière ligne droite pour Sakiko, qui va être doublement comblé.
Afficher en entierhttps://leslecturesdecyrlight.home.blog/2021/12/19/ma-petite-maitresse-t-1-yuki-yoshihara/
Chôko, dont la famille était autrefois riche et célèbre, en est réduite à trouver un emploi de secrétaire dans le josei Ma petite maîtresse. Elle reconnaît derrière les airs tyranniques de son nouveau patron Cha Chan, un ancien domestique à qui elle était très liée. Le rapport de force se met alors à osciller entre eux, puisque Chôko est à la fois son employée et celle qu’il a juré de servir.
Un manga qui commence par un « Êtes-vous vierge ? » ne partait pas gagnant (et d’ailleurs, je cherche encore la pertinence de cette question humiliante posée devant tout le monde, même en connaissant la suite). J’avais peur de retrouver l’archétype classique du patron dominant et de l’employée soumise (Midnight Secretary, Happy Marriage ?!…), mais heureusement, l’intrigue se détache vite de cet aspect déjà-vu.
Est-ce que cela l’a rendue meilleure pour autant ? Pendant quelques pages, je l’ai cru. Le statut et le comportement ambivalent de Cha Chan sont intéressants, et même amusants à suivre, mais rapidement (autrement dit à l’arrivée de Suo), le scénario part en quenouille.
Chôko alterne entre la secrétaire gourde et maladroite et une employée autoritaire capable de s’imposer et de prendre les choses en main. L’ambivalence de Cha Chan devient presque incohérente par moments, et les rebondissements s’enchaînent trop vite. L’irruption de Suo, la révélation de son identité, les interventions ponctuelles de l’insupportable frère de Chôko… Ce manga ne laisse pas le temps de respirer.
Je ne suis pas non plus fan des dessins. La mangaka abuse des chibi, et son style très dynamique renforce l’impression que j’ai eue de voir l’histoire se précipiter. J’ai deux autres tomes dans ma pile à lire, j’espère que ces défauts s’amoindriront par la suite, mais si ce n’est pas le cas, je ne continuerai probablement pas cette série au-delà.
Afficher en entierhttps://leslecturesdecyrlight.home.blog/2021/12/26/ma-petite-maitresse-t-2-yuki-yoshihara/
Chôko et Masayuki se rapprochent progressivement dans ce second tome de Ma petite maîtresse, même si le jeune homme a encore du mal à faire la distinction avec la fillette qu’il servait autrefois. De nouveaux personnages entrent également en scène.
À l’instar du premier tome, c’est… brouillon. Confus. Et grotesque. Brouillon parce que les scènes s’enchaînent toujours trop vite, en tombant comme un cheveu sur la soupe. Confus parce que les personnages disent et font tout et son contraire en l’espace de trois pages (on est clairement au-delà de l’ambivalence, là…). Et grotesque parce que…
Bon, je suppose qu’il y a des gens à qui ce genre d’humour doit plaire, mais pour ma part, rappeler toutes les dix pages que l’héroïne est vierge et faire des allusions à la sexualité de manière générale, je passe mon tour. S’il y a quelques passages qui prêtent quand même à sourire (Masayuki qui veut abattre son intenable patron, par exemple), le reste est au mieux lourd, au pire gênant.
Et après Suo, c’est au tour de Makié d’endosser le rôle de la prétendante. Vous voyez Brigitte McBridge, l’éternelle amoureuse éconduite de Balthazar Picsou qui refuse de lâcher l’affaire ? C’est elle, en pire. Makié n’hésite pas à user de chantage et de menaces pour obliger Masayuki à l’épouser, pourtant c’est lui qui se fait sans cesse taxer de « harassement sexuel ». Oui, oui, « harassement ». D’ailleurs, ce tome est tellement plein de coquilles que j’ai cessé de compter au bout d’un moment.
Je lui mets quand même la moyenne parce qu’il a le mérite de se lire vite et que j’ai réussi à sourire à quelques reprises, mais c’est un manga qui vole bas. Très bas. Et qui a l’air de creuser. Une chose est sûre, désormais, je ne dépasserai pas le troisième tome.
Afficher en entierhttps://leslecturesdecyrlight.home.blog/2022/02/01/ma-petite-maitresse-t-3-yuki-yoshihara/
Dans ce troisième tome de Ma petite maîtresse, Chôko et Masayuki forment (en théorie) un couple, mais se disputent sans cesse, tandis qu’un autre ancien domestique de la famille Kuzé réapparaît dans la vie de la jeune femme.
Après un deuxième tome centré sur la virginité de Chôko, celui-ci se concentre sur ses règles. Si, si, je vous assure, il en est question à maintes reprises dans les premières dizaines de pages. Passionnant, n’est-ce pas ? Et si je vous dis qu’après, on enchaîne avec les suppositoires ? À se tordre de rire, non ?
Je suppose que ça l’est peut-être pour quelqu’un qui adhère à ce genre d’humour, mais malheureusement (ou heureusement…) ce n’est pas mon cas. Ce manga est de plus en plus lourd, grotesque et consternant. Et le scénario est loin de remonter le niveau.
Avec Chôko qui se souvient soudain de l’existence d’un séduisant domestique qui travaillait autrefois pour sa famille, on ne s’attend absooolument pas à le voir faire irruption dans l’histoire, ni à tenter d’interférer entre Masayuki et elle.
Et comme Makié et Suo avant lui, le nouveau venu passe presque du statut de rival à celui de meilleur ami en l’espace d’un tome, tout cela pour ne servir quasiment à rien. Les personnages sont dans l’ensemble assez inintéressants, ils n’ont ni caractère ni psychologie travaillés, et les deux protagonistes que sont Chôko et Masayuki continuent à se contredire eux-mêmes d’une page à l’autre.
Je ne poursuivrai pas ce manga, et je ne le recommande pas, sauf si vous aimez rire des histoires d’un ridicule affligeant, car c’est tellement mauvais que c’en devient presque drôle, par moments.
Afficher en entierCe premier tome et une agréable petite découverte, j'ai beaucoup aimer l'héroïne et l'humour, je pense m'offrir le tome 2.
Afficher en entierUn début de série sympa. Pour moi, le petit plus, c'est le côté bipolaire de Masayuki entre son caractère au travail et quand il est avec "sa maîtresse" dans le privé.
Afficher en entierLa romance entre Masayuki et Chôko progresse, même si ils rencontrent quelques embûches. Ce qui donne de la consistance à cette histoire. J'attends la suite avec impatience.
Afficher en entierJ'ai trouvé ce troisième tome légèrement meilleur que les précédents. L'histoire se développe de plus en plus : que ce soit la relation entre Masayuki et Chôko, mais aussi l'arrivée d'autres personnages qui viennent mettre leur grain de sel dans leur histoire.
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Biographie
Yuki Yoshihara (吉原由起) est une mangaka connue pour ses josei tel que Ai suru Hito et Darling la recette de l'amour.
Yuki Yoshihara est née un 11 février. Elle vit à Tokyo.
C'est en 1988 que commence sa carrière avec Chanel no Sasayaki, qui fut publié dans le Bessatsu Comics.
Son style s'adresse clairement à un public féminin adulte.
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