Noëlle Châtelet
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Note moyenne : 7.1/10Nombre d'évaluations : 62
4 Citations 43 Commentaires sur ses livres
Les derniers commentaires sur ses livres
Je n'ai même pas lu la moitié de ce livre. Cela ne tient pas du fait qu'il soit mal écrit, c'est d'ailleurs pour cela que je l'ai simplement mis en liste "lu aussi", parce que je n'ai pas détesté ce livre, seulement, il n'était pas adressé à quelqu'un comme moi. Je suis jeune et pourtant je voulais lire ce livre qui parle de l'affection qu'une grand mère peut avoir pour sa petite fille, je pensai que j'allais adorer cette histoire touchante, mais je me suis vite lassée sachant que je n'avais pas grand chose à imaginer à part peut-être l'image de ma grand mère.
J'ai tout de même aimé découvrir le style de cette auteur qui est très bien, je lirai sans aucun doute un autre de ses livres mais pas un qui parle d'elle-même. Ce n'est pas un style que j'apprécie en général alors je suis triste que ce soit tombé sur elle et que je n'ai pas apprécié son témoignage.
Afficher en entierDans ce récit autobiographique, Noëlle Châtelet nous raconte les trois derniers mois de sa mère qui a décidé de mettre fin à ses jours, leur relation fusionnelle , leur complicité.
Ce livre est assez difficile à lire émotionnellement. Il m'a bouleversé et m'a fait réfléchir à ma propre fin .
Les mots sont sincères , justes , touchants.
Ce livre est aussi une belle déclaration d'amour d'une fille à sa mère .
Afficher en entierUn texte un peu étrange et un peu sans queue ni tête, malgré le talent de l’auteur pour les mots j’ai eu un peu de mal accroché avec le livre alors que j’aime beaucoup dette auteur. Arrivé a la fin du livre si je ne regrette pas de l’avoir lu je ne sait pas trop quoi en pensé.
Afficher en entierLu en deux heures qui m'ont parues...fort longues!
Pourtant objectivement c'est bien écrit.
C'est là que le bas blesse "objectivement".
Tout est dans ce mot "objectivement".
Objectivement la plume est belle, objectivement j'étais réceptive au sujet (le droit de mourir dans la dignité), objectivement j'aurai adoré rencontrer cette dame de 92 ans qui devait être une boule d'énergie solaire.
J'aurai juste préféré qu'elle se raconte (elle-même).
C'est au fil de ma lecture que j'ai compris que la narratrice est aussi bel et bien Noëlle Châtelet (l'auteure) et que la charmante grand-mère est sa maman (disparue de son choix en 2003).
J'ai aimé que cette nonagénaire prépare tout pour simplifier son départ, pendant les mois avant la deadline qu'elle s'était fixé.
Qu'elle prenne le temps de dire au revoir tendrement, de rire, de manger des repas de fête quotidiennement jusqu'à l'échéance. Qu'elle mette bon ordre à ses affaires en triant tout d'avance, et laissant des petits mots pour ses proches sur les objets de sa demeure.
Étrangement j'ai donc aimé les anecdotes, mais pas le récit dans sa globalité.
Au lieu d'être transportée d'émotion, je me suis ennuyée (et j'en culpabilise d'ailleurs !). Les mots sont beaux, les tournures sont belles...mais le propos est bien celui du deuil autocentré, anticipé, puis consommé.
On lit ce qui se révèle une longue lettre (171 pages!) à l'adresse d'une maman disparue de sa propre volonté.
Et ce qu'on y trouve le plus ne sont pas des souvenirs d'enfance...mais les larmes contenues de l'auteure. La mélancolie, la tristesse, la compréhension (mais la difficulté d'y parvenir). Oui c'est réaliste. S'il s'agissait de ma mère nul doute que comme Mme Châtelet je lui aurait écrit longuement pour lui dire que ce fut dur, qu'elle me manque, mais que je l'aime et ne lui en veut pas.
Un travail de deuil c'est long, donc 171 pages c'est court. Sauf quand le deuil ne nous touche pas, 171 pages c'est long.
C'est horrible à écrire, mais il y a trop de "je" à mon goût. Trop de "je", peu de "tu" en comparaison.
Loin de m'identifier au "je", il m'a exclut.
J'aurais voulu plus de "Mamie Blanche" (envie de lui donner un nom!!). Plus de sa joie, plus de récits sur elle et elle seule (et PAR elle), que de centrisme sur sa fille.
Ce qui est bizarre c'est que l'intimité du deuil que partage Mme Châtelet avec nous m'a presque dérangé, car trop intime.
Et en même temps, je souhaitais connaitre plus de récits, la manière d'être, la vie de "Mamie Blanche", alors que cela fait partie de la sphère privée, de l' "intimité", et n'a pas volonté à être partagé !
Mon bilan : une lecture intéressante mais pas immergeante à côté de laquelle je suis totalement passée (à ma plus grande déception !).
D'autres romans traitant du deuil et qui sont des fictions m'ont plus ému (pas tapé, pas tapé ! J'en suis désolée..) Exemple :"Love letters to the dead" ou Spoiler(cliquez pour révéler)"Je vais bien, ne t'en fais pas"
Afficher en entierJe suis déçue car je m'attendais à lire des nouvelles sauf que ce sont des lettres. Elles ont toutes un avis différentes face à l'attaque du 07 janvier 2015 contre Charlie Hbdo. Tous ces auteurs unis pour la bonne cause : rendre hommage aux victimes de la folie humaine.
Afficher en entierUn roman très court et heureusement... Les émotions transmises sont très fortes et trop intenses pour moi... Une belle ode à l’amour pour sa mère...Comment dire au revoir à un être que l’on aime tant et surtout accepter une telle décision...
Afficher en entierCe livre reprend des extraits de la thèse présentée par l'auteur sur les rapports humains avec la nourriture.
Extra
Afficher en entierJe ne sais pas trop quoi penser de ce livre. Je m'attendais à un pavé, des textes engagés sur fond de nouvelles à sens profond, mais en réalité il s'agit de textes totalement inégaux d'un auteur à l'autre, avec de loin en loin même des écrits venant d'autres publications et simplement condensés ici.
De quelques lignes à plusieurs pages, des lettres, des auteurs contemporains ou du siècle des lumières, il y en a pour tous les goûts. C'est peut-être cette instabilité qui ne m'a pas fait vraiment accrocher, malgré les intentions louables de beaucoup d'entre eux.
Afficher en entierJuste je suis déçut de la fin
J'aurai voulu en savoir plus mais bon
Jia quand même aimée le lire et il se lit très rapidement car on a envie de savoir tout d'un coup. Et donc de ne pas s'y arrêter.
Afficher en entierMignon... et un peu mièvre. Marthe passe la majorité du roman à pousser des soupirs variés - et parfois des petits cris. Bon.
L'intérêt de ce roman tient surtout à l'âge avancé de ses protagonistes, qui n'est pas commun dans les romances.
Afficher en entierOn parle de Noëlle Châtelet ici :
2010-07-20T20:07:52+02:00
Les gens aiment aussi
Dédicaces de Noëlle Châtelet
et autres évènements
Aucun évènement prévu
Editeurs
Seuil : 6 livres
Points : 4 livres
Gallimard : 3 livres
LGF - Le Livre de Poche : 3 livres
Mercure de France : 1 livre
Editions de la Martinière : 1 livre
Du May : 1 livre
Calmann-Lévy : 1 livre
Biographie
Ecrivain et universitaire française
[Littérature française]
Née à Meudon le 16 octobre 1944
Fille de Mireille Jospin, sage-femme, militante au sein de l'association pour le droit de mourir dans la dignité, Noëlle Châtelet est également la soeur de l'ancien premier ministre Lionel Jospin. Mariée au philosophe François Châtelet qu'elle rencontre en hypokhâgne, elle fréquente Gilles Deleuze et dirige ses recherches sur l'interprétation du corps. Comédienne dans de nombreux films à la télévision et au cinéma tels que 'les Autres', 'La Banquière', elle devient directrice de l'Institut français de Florence de 1989 à 1991 et co-présidente de la Maison des écrivains de Paris de 1995 à 1999. Elle écrit de nombreux romans et nouvelles et intègre l'université de Paris V René Descartes comme professeur de communication. Elle est également vice-présidente de la société des gens de Lettres. Son Roman 'La Femme coquelicot' est adaptée en 2001 au théâtre. Le corps, devenant l'objet d'un questionnement ontologique et introspectif, retrouve sa dignité dans 'Une société d'apparence' où, insatiablement, il se débat entre bien-être et souffrance. Noëlle Châtelet publie 'La Dernière Leçon' en 2004 et y raconte l'apprentissage difficile de la mort auprès de sa mère.
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