Clémence Pollet

Un très beau livre, intéressant et ludique avec de belles illustrations.

Album triste puisqu’il y parle de la guerre civile espagnole sous les yeux d’un petit garçon qui doit quitter son chêne à Guernica mais aussi sa maman. Un post-face de plusieurs pages documentaire surtout pour les parents.

Sympa de lire un album raconté par une autrice rencontrée il y a deux ans et illustré par Clémence Pollet que je vois le mois prochain. Un conte de randonnée inventé par un chinois (que je ne verrais pas, lui) avec, comme point central, une carotte qui sera offerte de voisin en voisin. Solidarité en période hivernale qui nous permet d’admirer de jolis dessins enneigés au format à l’italienne.

Pari réussi pour ce roman transformé en album. Je suis partie septique car n’ayant pas aimé cette construction de courts chapitres alternant les trois héroïnes. Ici, n’est raconté que l’histoire de la petite indienne qui doit donner ses cheveux. Seulement quelques lignes à la fin sur le parcours des cheveux. Illustrations et couleurs de Clémence Pollet sont vraiment jolies et attrayantes pour l’œil. Les émotions se lisent bien sur les visages.

Bravo ! Un conte, je dirai féministe, où l’on suit Mulan qui partira faire la guerre pour remplacer son père vieillissant. Durant douze années, elle sera soldat et ses compagnons ne le sauront qu’à son retour quand elle remettra sa robe. Des dessins épurés avec seulement trois couleurs en plus du noir et blanc et qui s’associent bien avec la sobriété de l’histoire.

Cet album peu être la base pour qu’un enfant s’associe à son animal totem. Je trouve le texte un peu compliqué pour eux. Un grand dessin coloré de l’animal en question sur la page de droite avec beaucoup de symétries dans les traits.

Cet album peu être la base pour qu’un enfant s’associe à son animal totem. Je trouve le texte un peu compliqué pour eux. Un grand dessin coloré de l’animal en question sur la page de droite avec beaucoup de symétries dans les traits.

Un très bel album sur les discriminations que peuvent subir certaines personnes en Inde, bien amené, bien expliqué, avec de très belles illustrations, et qui ce termine bien :)

Blanche Peyron (1867-1933) est une officière de l'Armée du Salut. Elle est principalement connue pour la fondation du Palais de la Femme, hôtel social pour femmes qui a ouvert ses portes en 1926 à Paris. Dans "Les victorieuses", Laetitia Colombani aborde de manière romancée l'histoire de Blanche. Dans "Les victorieuses ou le palais de Blanche", elle s'est associée une nouvelle fois avec Clémence Pollet pour l'adapter à un jeune public. Comme avec "La tresse ou le voyage de Lalita", c'est encore plus beau que le roman d'origine.

« Dans le Palais de Blanche vivent des centaines de femmes. Des femmes de toutes les religions, de toutes les couleurs de peau, qui parlent toutes les langues. Des femmes du monde entier qui n'ont plus de maison et habitent ce foyer, à Paris. »

Parmi elle, il y a la petite Sumeya, cinq ans, qui a fui les violences de son pays avec sa mère. Salma, la dame de l'accueil, lui raconte l'histoire de ce palais qui a vu le jour grâce à la détermination de Blanche.

Destin de femme, solidarité, entraide, courage et persévérance sont les maîtres mots de cette petite histoire. C'est beau, humain, profond, touchant. J'en aurais presque eu les larmes aux yeux, tellement chaque phrase transmet un beau message.

Et les dessins sont d'une beauté éclatante. Les couleurs sont vives, les contrastes bien mis en évidence. Sur chaque page, il y a des petits détails que l'on ne perçoit pas au premier coup d'œil. Il faut bien prendre le temps de tout observer pour mieux tout savourer.

Un superbe album jeunesse, lumineux, tant par les dessins colorés que par les messages véhiculés.

À mettre entre toutes les mains, des petits comme des grands, à partir de 5-6 ans.

Un album très coloré, tiré du roman La Tresse qui avait été une vraie claque émotionnelle. C'est l'histoire d'une mère indienne qui se bat pour que sa fille aille à l'école. Si vous avez des enfants, je vous le conseille !