Patrick Raynal
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Note moyenne : 7.11/10Nombre d'évaluations : 9
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Les derniers commentaires sur ses livres
Des nouvelles souvent assez particulières, pas forcément très variées dans le sens où on reste souvent sur sa faim. Le regard sur le passé et son influence est omniprésent dans ces nouvelles. J'en garde plutôt un bon souvenir, et je l'avais trouvé agréable à lire.
Afficher en entierLa "première" aventure du Poulpe!
Un petit régal de polar bien ficelé dans une ambiance libertaire et légèrement anar... comme le poulpe lui-même finalement.
Idéal pour se familiariser avec le bonhomme et les nombreux bouquins de la série!
Afficher en entierQuand deux figures de la série noire se lâchent et partent dans un délire pas tout à fait mystique, mais pas loin, ça donne un roman décapant et très drôle. Amen !
Afficher en entierUn bon polar dans la tradition des classiques roman noir.
Le personnage principal est très sympathique et très attachant.
On y retrouve des expressions "niçoises" qui m'ont fait sourire.
Une atmosphère à la Frédéric Dard qui m'a ravi.
Agréable à lire.
Afficher en entierUne amusante mise en bouche signée Hélène Couturier, une sanglante partie de poker menteur contée par Rolo Diez, une vengeance froide tardive livrée par Mauricio Electorat, une salade niçoise écrite par Patrick Raynal et le coup de fusil offert par Marc Villard, voilà le menu de ce petit recueil de cinq nouvelles.
Contrairement à Hollywood, publié dans la même collection, cette anthologie a la bonne idée d'offrir au lecteur deux nouvelles écrites par des auteurs du cru, l'argentin expatrié au Mexique Rolo Diez et le chilien Mauricio Electorat. Les deux meilleurs textes de ce recueil, ceux où la ville de Tijuana est la mieux décrite, ceux où le contexte social et politique du Mexique en particulier et de l'Amérique latine en général est le mieux évoquée, malgré la brièveté de ces récits. En complément, dans un style humoristique, noir et décalé, les trois nouvelles écrites par Couturier, Raynal et Villard viennent se rajouter à ce florilège, soulignant une nouvelle fois le fait qu'il est bien dommage que, malgré le talent des auteurs français, cette collection n'ait pas poussée sa bonne idée au bout en confiant à des auteurs du cru le soin de remplir les pages de ces anthologies thématiques.
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Dédicaces de Patrick Raynal
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Editeurs
Albin Michel : 3 livres
Baleine : 2 livres
La Baleine : 2 livres
Librio : 1 livre
Flammarion : 1 livre
J'ai lu : 1 livre
Éditions Blanche : 1 livre
ELB : 1 livre
Biographie
Patrick Raynal passe une partie de son enfance dans le Sud-Ouest de la France. Après avoir fréquenté de nombreux collèges, à 14 ans il rejoint son père à Saint-Paul. En 1969 obtient une maîtrise de lettres modernes à la faculté de Nice, ville qu’il mettra en scène dans ses premiers romans. Il milite activement dans les mouvements d’extrême gauche (Gauche prolétarienne).
Il devient critique spécialisé en littérature policière pour Nice Matin de 1982 à 1988. En 1982, il publie Un tueur dans les arbres, son premier roman.
En 1989 il propose à Télérama un reportage aux États-Unis sur quatre écrivains de son panthéon américain (James Crumley, Jim Harrison, Tony Hillerman et Richard Ford). Il découvre au cours de ce voyage la ville de Missoula (Montana) et ses nombreux écrivains.
Considéré comme un spécialiste de la littérature américaine, il collabore, de 1990 à 1995, au journal Le Monde (Le Monde des Livres). La même année, il obtient le Prix Mystère de la critique pour son roman Fenêtre sur femmes.
En 1991, Antoine Gallimard lui confie la direction de la fameuse collection de polars Série Noire qu’il dirigera jusqu’en 2004. En 1992 il crée la collection La Noire dont la première couverture reproduit le négatif de la célèbre Collection Blanche de Gallimard.
En 1995 dans le numéro de février de la revue Esprit (pages 77 à 96) il affirme que « Le roman noir est l’avenir du roman ».
Compagnon de route du festival Étonnants voyageurs depuis ses débuts, il en est le vice président jusqu’à sa démission le 4 décembre 2008.
Depuis novembre 2004, il a rejoint les Éditions Fayard (Collection Fayard Noir).
Également scénariste, il a participé, en 1998, à l’écriture du film Le Poulpe avec Jean-Bernard Pouy et Guillaume Nicloux.
Son dernier ouvrage paru, Lettre à ma grand-mère (Flammarion) n’est pas un roman mais un récit autobiographique après la lecture du manuscrit de Marie Pfister, sa grand-mère, déportée à Ravensbrück pour faits de Résistance.
Il collabore à la revue XXI (reportage en automne 2008 : « Aux sources du polar nordique », XXI, n°3 et en 2009 : « Henning Mankell au Mozambique », XXI Hors série).
Auteur de nombreuses préfaces il vient de signer celles des deux volumes de « Georges Simenon, romans américains » parus aux éditions Omnibus en 2009.
Père de trois enfants et grand-père, il est marié depuis 1970 avec Arlette Lauterbach (traductrice d’italien et co-auteur du Livre de Cuisine de la Série Noire et du Livre des Alcools de la Série Noire chez Gallimard).
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