Pierre Bailly
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Note moyenne : 6.44/10Nombre d'évaluations : 54
0 Citations 17 Commentaires sur ses livres
Les derniers commentaires sur ses livres
J'étais en primaire, quand j'ai lu cette série de BD. Très sympathique pour les enfants de 7-8 ans.
Afficher en entierJ'étais en primaire, quand j'ai lu cette série de BD. Très sympathique pour les enfants de 7-8 ans.
Afficher en entierVoilà un bel album qui sait aller chercher l’intérêt des élèves pour le récit jusque dans les toilettes, pour parodier une formule de la maffia russe lorsqu’elle est décidée à l’abattre à n’importe quel endroit il se cache.
Les jeunes lecteurs seront ravis de cette dimension scatologique, cette dernière se conjugue avec un univers culturel médiéval tant par le nom du chef de ce royaume "Crotte de maille" que du méchant à savoir Cacagnou le puant. Ces appellations sont fournies dans la page finale réservée aux parents pour leur expliquer le récit et son intérêt. Cette BD étant strictement muette, elle s’interdit tout texte dans le décor et onomatopées, par contre elle sait utiliser au mieux les symboles dessinés appartenant à la culture du neuvième art. La lecture de cet album oblige aussi à intuitivement repérer l’ordre des vignettes, régulièrement au nombre de six par page.
Près avoir selon l’usage effectué un réveil dynamique et structuré par la salle de bains et le petit déjeuner, le jeune héros après avoir traversé des champs parsemés de couple de rochers rosâtres et arrondis (qui rappellent les fesses) se trouve dans un château où la famille royale est sous l’emprise d’un homme violent Cacagnou le puant. Petit poilu s’oppose bien vite à lui, et avec l’aide de la famille royale et de ses serviteurs, il se lance dans une contre-offensive de guerre merdique (à coup de projectiles que l’on devine) dont nul coureur marathonien ne vient annoncer l’issue catastrophique à Cacagnou.
Le graphisme est sobre, ne sont représentés que les objets importants et les personnages prennent des attitudes significatives pour exprimer leurs sentiments et actions. Cet ouvrage est idéal pour un lectorat de 3 à 5 ans et sera bien apprécié par des enfants un peu plus vieux.
Afficher en entierMon fils de 3 ans adore cette BD sans bulle :-) Les dessins sont plutôt sympa et comme dans la plupart des livres pour enfants, tout est bien qui finit bien.
Afficher en entierJ'ai lu cette série en primaire. Je me souviens avoir beaucoup aimé.
Afficher en entierCe premier tome des aventures de Petit Poilu présente le personnage d’un petit être tout poilu, au dessin assez délicat et aux cases très colorées. L’ensemble sans un seul texte, permet à l’enfant de faire fonctionner son imagination, mais aussi celui de ses parents qui pourraient lui lire l’histoire et raconter un conte différent à chaque fois à partir des mêmes images.
L’avantage des auteurs est la possibilité de l’exporter au-delà des frontières sans se souci de traduction et des jeux de mots qui sont parfois compliqués à traduire.
Dans l’ensemble, c’est assez bien fait mais cela ne s’adresse qu’à des enfants en bas âge, qui ne savent pas encore lire.
Afficher en entierUne BD pour les tout-petits, facile à lire car sans texte vraiment mais plein de messages humains qui passent en douceur.
Afficher en entierDans ce premier tome, on découvre Ludo, un jeune garçon qui vit dans un quartier assez classique avec ses parents. Son père est policier, ce qui n'est pas si facile d'autant plus que certains troubles agitent la ville... Pendant ce temps, Ludo fait la découverte de Castar, un personnage de BD, inspecteur de police qui possède une force spectaculaire. Cela fait rêver Ludo mais le pousse aussi à faire des bêtises quand il veut imiter son héros, ou retrouver sa BD préférée... Une bande dessinée sympa pour les plus jeunes qui mêlent vie de quartier et super héros.
Afficher en entierPetit Poilu est une excellente série pour faire découvrir différents concepts à des enfants qui ne savent pas encore lire.
Dans ce tome, les auteurs s'attaquent au doudou, le compagnon de leurs nuits sans lequel ils ne peuvent pas s'endormir.
Petit bonus : à la fin de chaque tome, il y a une page récapitulative pour que les parents puissent expliquer clairement l'histoire à leur enfant.
Bien que je ne sois pas la cible, j'aime beaucoup le concept d'une BD sans bulle où l'enfant peut comprendre l'histoire rien qu'en regardant les images. Ca m'aurait sans doute beaucoup plu quand j'étais en maternelles.
Afficher en entierEncore une très chouette aventure de Petit Poilu.
Ici, notre héros essaye d'initier son compagnon de jeux, Bégu, au partage.
Encore une fois, c'est une belle manière d'apprendre certains concepts à un enfant qui ne sait pas encore lire.
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Biographie
Originaires de Marche-en-Famenne, les parents de Pierre Bailly travaillent dans la coopération internationale et programment sa naissance à Alger en 1970. Devenu Liégeois bon teint, il abandonne sans trop de regrets des études scientifiques pour s'inscrire à la section BD de Pierre Pourbaix et Marc Sevrin à l'Institut Saint-Luc de Bruxelles. C'est là qu'il se lie d'amitié avec un autre citoyen de la "Cité Ardente", Vincent Mathy, qui usait ses poils de pinceaux dans une classe voisine. Bailly poursuit ses études de graphisme à La Cambre et publie un premier essai chez un éditeur indépendant ("Anguille crue" aux Éditions Rêve-en-Bulles en 1993) avant de rencontrer Denis Lapière lors d'un concours organisé par la FNAC de Liège. Avec ce scénariste, il effectue une petite apparition dans Spirou, en 1994, avec "La Baleine de Gaana". Ils réalisent ensuite pour Dargaud, en 1996, "La Saison des anguilles". Son goût personnel le porterait plutôt vers des choses plus gaies et destinées aux enfants. Denis Lapière lui propose alors "Ludo". Bailly adopte immédiatement le personnage et son univers "réel". Il appelle son ami Mathy pour animer l'inspecteur "Castar" dans son monde virtuel de bande dessinée à l'intérieur d'une bande dessinée. L'idée est de confronter les aventures quotidiennes d'un jeune gamin avec celles de son idole de BD dont il dévore les épisodes dans le mythique Castar-Magazine. Ils proposent leurs premières "Tranches de quartier" dans Spirou en 1997 et, à l'occasion de son second épisode durant l'été de l'année suivante, la joyeuse équipe impose même à l'intérieur du journal, en supplément, neuf numéros de Castar-Magazine où ils s'en donneront à coeur-joie avec quelques camarades au graphisme d'avant-garde. Depuis, Ludo vit chaque année une nouvelle grande aventure.
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