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Marie-Laure Hubert Nasser

Auteur

35 lecteurs

Activité et points forts

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Quelques chiffres

Note moyenne : 5.43/10
Nombre d'évaluations : 14

0 Citations 7 Commentaires sur ses livres

Dernier livre
de Marie-Laure Hubert Nasser

Sortie France/Français : 2015-01-29

Les derniers commentaires sur ses livres

Commentaire ajouté par Low90 2015-02-02T11:32:55+01:00
Spleen Machine

J’ai était plutôt déçue par cette lecture, même si je m’attendais à un livre pour les ados je ne pensais pas que ça serais à ce point. L’écriture m’a un peu déranger avec des termes qu’on emploi plus à l’oral comme « boloss », une façon d’écrire pour intéresser aux plus jeunes mais qui pour moi n’a pas sa place dans un livre. De plus je trouve que ça manque un peu de profondeur, le sujet, les personnages auraient pu être plus développés, travaillés… Les personnages sont également très stéréotypés, même parfois un peu trop, et j’ai parfois eu du mal à faire le rapprochement entre la musique cité et le passage du livre. Bref, je m’attendais à mieux.

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Spleen Machine

Tw: Self-harm, toxicomanie , suicide, cancer, viol, slut-shaming

C'est une histoire en deux parties. La première se concentre sur Alix, 17 ans, jeune fille privilégiée puisqu'elle vient d'une famille riche.

On commence par la dernière scène: son suicide et sa planification puis on reprend pour savoir comment elle en est arrivée là.

J'ai eu énormément de mal avec ce personnage que j'ai trouvé superficiel et égoïste. Mais surtout, ici l'adolescence ne tourne qu'autour du le sexe (et du viol qui n'est pas remis en question), les fêtes, l'alcool et l'idée de popularité mais d'une façon très manichéenne et malsaine que je n'ai pas du tout trouvé réaliste. On tombait dans le cliché (surtout dans son comportement pas dans ses problèmes qui eux sont réels et touchent beaucoup de gens) et l'auteure en a rajouté en utilisant plusieurs fois des mots comme "seum" et "boloss" pour tenter de donner un langage "jeune" à ses personnages sans que cela sonne juste.

Mais mon plus gros problème est que j'ai eu l'impression que Sam et son handicap (elle me semblait surtout réduite qu'a ça) ne servait qu'à inspirer Alix pour ses choix et sa vision de la vie mais aussi qu'elle vision elle voulait donner d'elle-même dans la mort : à savoir quelque chose de parfait et une mise en scène. Je ne sais pas si c'est une romantisation du suicide mais je préfère prévenir au cas où.

Et après ça on ne s'intéresse plus à Sam et le deuil d'Alix est très vite oublié.

Honnêtement cette première partie ne m'a pas du tout laissé un bon souvenir.

2ÈME PARTIE

Ici les chapitres sont décroissants:

on découvre Anna, la mère d'Alix d'abord dans le présent puis, au fil des chapitres, on retrouve sa jeunesse et comment son ascension dans son entreprise s'est passée alors quand même temps sa relation entre Arnaud (son mari) se construisait.

J'ai beaucoup aimé qu'on montre que c'est possible pour une femme d'avoir une bonne carrière puis d'atteindre le sommet tout en étant mère de famille, même si ce n'est pas facile et qu'il y a des sacrifices à faire.

La musique est très présente dans ce livre. Dans la partie une, dès qu'une chanson ou mélodie est évoquée, le titre se retrouve dans la marge (ce que j'ai trouvé intéressant et original) tandis que dans la partie 2 la musique est l'univers dans lequel baigne Anna: que ce soit les compositeurs classiques, le chant lyrique et l'opéra. C'est peut-être la seule chose que j'ai appréciée.

En conclusion: un livre intéressant dans la forme mais qui reste sans intérêt. On survole le sujet du harcèlement et des autres problèmes des personnages, il n'y a pas de message, rien.

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La carapace de la tortue

Une histoire très lourde dans tout les sens du terme avec une plume élégante, piquante et cynique.

J'ai beaucoup aimé le sujet traité et la façon dont il est traité ici (l'obésité) mais je suis resté pantoise façe à cette fin.

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La carapace de la tortue

Pour le défi mensuel, il me fallait lire en ce mois de mai un livre d'une petite maison d'éditions. Il m'aura fallu farfouiller jusqu'au fin fond de ma pal pour en ressortir "La carapace de la tortue", livre que, je l'avoue, j'avais oublié. Trouvé dans une boîte à livres il doit y avoir un sacré moment, c'est sans doute sa couverture appétissante qui m'avait attirée.

Publié chez Passiflore, maison d'éditions aquitaine, et se déroulant à Bordeaux, c'est donc à côté de chez moi que je me suis retrouvée durant ces 256 pages. Ayant fait mes études et exercé mon tout premier travail à Bordeaux, y vivant actuellement à une vingtaine de minutes (quand ça circule bien sur la rocade ... ...) mais n'y mettant plus les pieds (je préfère ma campagne !), j'ai revu bon nombre de lieux que je fréquentais plus jeune (les quais et son miroir d'eau, le jardin public, la rue Sainte-Catherine, etc). Ça fait tout drôle d'être en même temps si loin et si près de tous ces endroits...

Le point névralgique de l'histoire est Clothilde Daquin d'Arsac, jeune trentenaire mal dans sa peau depuis toujours à cause de tous ses kilos en trop, du rejet de sa famille, des moqueries et du regard des autres. Elle vient de quitter Paris pour retourner dans sa région de naissance. Elle s'installe au 7 rue Ferrère à Bordeaux, dans un immeuble situé en face du musée d'art contemporain. Gravitent autour d'elle tous les habitants de son immeuble, ses voisins : sa tante surnommée "la Vilaine", Claudie la bimbo, Léo l'enfant perdu, Sarah et Sophie les inséparables, etc.

Ce roman m'a tout de suite fait penser à "L'élégance du hérisson" de Muriel Barbery. Par son titre pour commencer. Par les similitudes du contexte dans lequel se déroule l'action (des protagonistes habitant le même immeuble, un personnage principal pas attrayant physiquement et sous-estimé intellectuellement). Et par son dénouement également, et c'est là que c'est le plus flagrant... C'est en revanche nettement moins philosophique, on est là davantage dans une ambiance à la "Desesperate Housewives", avec le mari du second qui couche avec la nana du premier, la femme du troisième qui couche avec le mari de sa meilleure amie, alors que le mari d'une autre en est éperdument amoureux, etc. À moins que je confonde avec Les Feux de l'Amour ?!?

J'ai eu du mal avec les protagonistes. L'autrice en fait trop, on est trop dans l'exagération, il s'en passe de trop dans cet immeuble pour que j'y croie et que je m'attache à eux. Pourtant, les liens et les relations entre certains d'entre eux sont parfois touchants. La notion de solidarité et d'entraide est également bien placée. Le personnage principal a un certain potentiel.

Seulement, tout est trop superficiel, pas assez développé ou exploité, que ce soit les caractéristiques des personnages, leurs relations, les sujets abordés (obésité, art contemporain). Même les lieux sont trop décrits dans leur globalité (si je ne les connaissais pas, je ne suis pas sûre que j'aurais pu les imaginer).

Quant à la chute finale, elle n'est pas du tout en adéquation avec le reste du récit. Non seulement, elle arrive trop brutalement, mais également comme un cheveu sur la soupe. Elle est inattendue d'accord (enfin, sauf si on ne fait pas le rapprochement avec Renée de "L'élégance du hérisson", en ce cas on peut s'attendre à un truc du même genre), mais c'est là encore "trop gros".

Marie-Laure Hubert Nasser a une plume plutôt attractive et entraînante. Ce sont ses phrases courtes et/ou sans verbes qui donnent le rythme. Moitié narration à la troisième personne, moitié sous forme de journal intime, la lecture est fluide, plutôt agréable.

Je ne pense pas que je garderais ce roman longtemps en mémoire. Je lui ai trouvé bien des défauts, ou en tout cas des éléments qui ne me correspondent pas ou qui manquent d'approfondissement. Mais il a également de bons côtés. Ce n'était pas désagréable, plutôt sympathique dans l'ensemble malgré tout, ça se lit plutôt vite, mais je n'en ressors pas du tout convaincue.

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La carapace de la tortue

J'ai eu beaucoup de mal à me mettre dans l'histoire. Le style est lourd, les phrases courtes, sans verbe, sont insupportables à lire.

On ne comprend pas bien pourquoi l'histoire commence à la 3e personne du singulier, pour ensuite passer au journal de Clotilde pour ensuite revenir à un style à la 3e personne du singulier. Ça manque de cohérence.

Quant à la fin...je n'ose en parler. Pour moi elle est bâclée, j'ai l'impression d'avoir perdu mon temps.

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La carapace de la tortue

Un livre sympathique au final complètement inattendu, j'ai beaucoup aimé cet ouvrage.

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Dédicaces de Marie-Laure Hubert Nasser
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Editeurs

Les éditions passiflores : 2 livres

Passiflore : 2 livres

Gallimard : 1 livre

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