Véronique Ovaldé

Véronique Ovaldé entrecroise dans ce roman passé et présent au fil des chapitres. Nous progressons pas à pas, découvrant tour à tour le passé d'une jeune femme et sa vie actuelle avec ses filles dans une maison près d'un lac en Alsace. Des bribes de l'histoire, relativement plaisantes, plus ou moins avouables, remontent à la surface. Au rythme des souvenirs, l'auteur donne des indications, propose des voies à suivre et manipule le lecteur jusqu'à la fin inattendue, racontant le parcours d'une fille, d'une mère, d'une femme, prête à tout pour protéger ses enfants. Dans ce roman, Véronique Ovaldé s'amuse avec la maternité, les relations familiales, elle se joue des apparences et de nos certitudes. Entre métaphores et précisions entre parenthèses, prenant le lecteur à témoin, elle alterne gravité et dérision. Cependant, il a manqué quelque chose pour me laisser porter sans réserve. Le final est surprenant mais trop immoral à mon goût.

Oh purée, que de moments soporifiques dans ce roman.

Il y a des livres, qui s'il n'avait pas été écrit, n'aurait manqué à personne. Celui-ci en fait partie.

C'est long, lent, monotone. Heureusement il fait moins de 300 pages.

Un livre qui met une soixantaine de pages à démarrer (sur 150) pour au final un dénouement insipide en 5 pages...

Très déçue de ce livre...

Encore un très chouette recueil de nouvelles. Et pour cette édition, le thème était la fête.

J’ai bien aimé la plupart des nouvelles, d’autres plus que d’autres et puis, certaines ne m’ont pas plus intéressé.

Je suis toujours aussi surprise par l’imagination de certains auteurs et puis j’adore quand on a des auteurs récurrents (comme Agnès Martin-Lugand) qui reprennent les personnages des nouvelles précédentes pour continuer leur histoire.

Les nouvelles sont souvent assez courtes et se laissent lire. Et parfois, elles se finissent et on a envie qu’elles ne se finissent pas.

Je découvre cette autrice et j'aime assez son style direct et vif. Les phrases en paraissent souvent très longues, mais bon... Certes, il faut suivre les élucubrations de l'héroïne, pas toujours facile...

L'histoire, très originale, m'a surprise, car on ne s'attend absolument pas à une telle évolution dans le récit, ni à ce dénouement plutôt désarmant. J'ai tout de même accroché à l'histoire malgré le sentiment de ne pas savoir où elle nous mènera. Surprenant !

J'ai apprécié découvrir certains auteurs, à travers parfois des nouvelles drôles et percutantes. Certaines nouvelles m'ont peu intéressée.

Je continue ma lecture des recueils de nouvelles des Restos du Coeur avec l’édition 2020. Une édition un peu en-dessous des autres je trouve. Pas mal de chouettes auteurs mais au final, peu de nouvelles m’ont emballées. J’ai beaucoup aimé retrouver les personnages de l’auteure Agnès Martin-Lugand qui sont des personnages récurrents et donc on suit leur histoire et ça j’aime beaucoup. D’autres nouvelles m’ont bien plues.

Par contre, j’ai trouvé pas mal de nouvelles moins bonnes que d’habitude. Pour certaines, l’auteur raconte une histoire et puis la nouvelle se termine sans avoir vraiment de fin. On se demande un peu ce qu’il pourrait se passer après. Donc j’ai trouvé ça moins bien car ce n’est pas juste une nouvelle mais plusieurs dans ce cas-là. Et personnellement, je n’ai pas été transportée par le sujet qui était le voyage. Je ne retrouvais pas forcément le thème dans certaines nouvelles, d’où le fait que j’ai été un peu déçue de cette édition.

Bref, une bonne lecture dans l’ensemble mais pas totalement convaincue par cette édition. En espérant que l’édition 2021 soit mieux et puis celle de 2024.

Je n'ai pas trouvé ce roman formidable, j'en entendais beaucoup de bien donc je pense que mes attentes étaient trop hautes.

Mention spéciale pour le dessin. Splendide. L’histoire en revanche…

Lecture intéressante sur le deuil et la famille.

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Cette histoire, nous amène en Italie, avec une famille endeuillée, deux par le décès récent du père, et la disparition d’une des filles il y a quelques années.

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Le mystère reste entier et planant tout au long de la lecture concernant la disparition de cette petite fille, et ça m’a vraiment donné envie de savoir comment ça s’était passé, c’est vraiment ça qui a maintenu ma lecture.

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Parce qu’autrement j’ai ressenti pas mal de latitude, au fil du roman, pas mal de longueur.

Le début m’a paru vraiment très très long.

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Ce roman va nous parler de deuil, bien sûr, mais surtout de culpabilité, de pression familiale, de douleur.

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Bon bref : un secret de famille révélé au compte goutte au fil d’un roman assez poétique je dois dire, mais qui m’a un peu ennuyée.