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Elizabeth Von Arnim

Auteur

53 lecteurs

Activité et points forts

ajouté par JaneEyreBronte 2024-04-17T23:14:27+02:00

Biographie

Cousine de la romancière Katherine Mansfield, Elizabeth von Arnim (1866-1941) est née Mary « May » Annette Beauchamp en Australie. Elle reçoit une éducation européenne avant d’entamer un grand tour à travers l’Europe, au cours duquel elle rencontre le comte Henning August von Arnim-Schlagenthin, un aristocrate prussien, cousin du poète romantique Achim von Arnim. Après quelques années passées à Berlin, elle découvre le domaine familial de Nassenheide et décide de s’y installer. En 1898, elle publie anonymement son premier ouvrage, Elizabeth et son jardin allemand, véritable événement littéraire de la fin du siècle. À la mort de son époux, elle s’installe en Suisse et entretient pendant un temps une liaison tapageuse avec l’écrivain H. G. Wells avant un remariage malheureux avec Lord John Russell. D’elle, ont été traduits les titres suivants : L’Été solitaire (1899) ; En caravane (1909) ; Christopher et Colombus (1919) ; Vera (1921) ; Avril enchanté (1922) ; Tous les chiens de ma vie (1936).

source : éditions les belles lettres

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Note moyenne : 7.43/10
Nombre d'évaluations : 23

0 Citations 18 Commentaires sur ses livres

Dernier livre
de Elizabeth Von Arnim

Sortie France/Français : 2022-01-06

Les derniers commentaires sur ses livres

Commentaire ajouté par juju7402 2014-02-25T11:16:02+01:00
Véra

A la mort de son père, la jeune Lucy fait la connaissance d'un homme d'âge mûr, Weymiss, veuf depuis peu. Cet homme a perdu sa femme Véra, qui a chuté de la fenêtre de sa chambre. Profondément touché par cet homme blessé qui se montre si prévenant et dévoué pour elle, Lucy ne tarde pas à tomber amoureuse.

S'enchaîne alors fiançailles et mariage, mais Weymiss n'est peut-être pas celui qu'elle croyait. L'ombre de la mort de Véra plane sur eux (accident, suicide, crime?)... Un roman sombre qui vous met mal à l'aise.... J'ai été complètement happée par la lecture de ce roman que je recommande vivement.

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Commentaire ajouté par juju7402 2014-03-03T12:16:13+01:00
Love

Catherine rencontre Christopher à Londres lors d'un spectacle musical. Seul souci, il est de vingt deux son cadet. Christopher est fou amoureux de Catherine et fera tout pour la séduire, jusqu'à ce qu'elle cède sous le regard horrifié de sa fille et de son gendre et se remarie avec ce jeune homme.

Malheureusement très vite le doute s'installe. Comment Christopher peut-il l'aimer elle qui est si vieille? On la prend si souvent pour sa mère et non pour sa femme! Que d'humiliations pour Catherine... S'ensuivent des rendez-vous en cachette chez l'esthéticienne, chez des médecins qui vous promettent un retour vers l'éternel jeunesse... La différence d'âge n'est-elle pas un obstacle insurmontable? Elizabeth von Arnim met le doigt sur un sujet sensible pour ma femme et sur ce qu'est l'amour véritable....

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Commentaire ajouté par juju7402 2014-04-11T18:10:12+02:00
Tous les chiens de ma vie

Elizabeth von Arnim dresse un portrait de tous ses chiens, par ordre chronologique, avec leur photos et en quelques mots ce que chacun a pu lui apporter selon les événements de sa vie.

J'ai adoré ce livre, car j'adore cette auteur qui sait si bien transmettre ses émotions. On se prend d'affection pour ses bêtes et on en apprend un peu plus sur ce que fût sa vie."

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Commentaire ajouté par bsg55 2014-11-05T16:51:37+01:00
Père

Pas vraiment un coup de cœur, mais une découverte intéressante de l’univers d’Elizabeth Von Arnim, univers aux antipodes de celui de Jane Austin, car ici l’héroïne n’est pas une charmante jeune fille, mais une femme un peu trop ronde, Jennifer, pas très jolie qui se moque de son apparence et qui ne cherche pas à sortir de son état de vieille fille. Contrairement aux sémillants jeunes premiers de Jane Austin, ses personnages masculins sont eux aussi dépourvus de grâce et sont tous assez détestables. On se laisse néanmoins attacher par cette histoire où domine l’excès d’autorité d’un père pour sa fille et d’une sœur pour son frère, le pauvre James, velléitaire et soumis. Finalement, si Jennifer et James se trouvent libérés de leurs jougs, ils ne le doivent pas à leur propre volonté qui leur fera défaut jusqu’à la fin, mais à un heureux concours de circonstances qui va enfin leur permettre de décider eux-mêmes de ce qu’ils veulent faire de leur existence. Avec ce livre, Elizabeth Von Arnim nous projette avec talents dans la tête de ses personnages et nous fait vivre en direct leurs pensées, des plus sombres aux plus médiocres, avec leurs revirements et leurs contradictions, ce qui confère aux situations les plus tendues une certaine tonalité comique, aussi inattendue que réjouissante. À lire pour ceux que la lenteur de l’action ne rebute pas.

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Commentaire ajouté par Lily-Puce 2016-04-18T11:07:46+02:00
Avril enchanté

Lecture sympathique mais rien de fou non plus. Le contexte est rafraîchissant et les idées véhiculées intéressantes : ces femmes qui s'échappent des convenances de la société et partent en vacances dans le secret sans leurs époux. Mais beaucoup de niaiseries dans l'ensemble.

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Commentaire ajouté par Loupiotenpapier 2018-03-30T10:01:27+02:00
La bienfaitrice

Une lecture qui m'a laissé pour le moins perplexe. Je pensais qu'à l'image des lectures que j'ai pu appréciées d'autrices du 19ème siècle, on allait aborder ici des thématiques assez fortes sur le droit des femmes, sur la place de la femme dans la société et son émancipation.

Si la quatrième de couverture le laisse à suggérer, je n'ai, pour ma part, pas eu le sentiment que l'autrice avait ce genre de considérations et souhaitait évoquer ces thèmes dans son livre.

Entre un personnage féminin très naïf et presque crédule et une fin que je n'ai pas appréciée puisque la demoiselle finit tout de même par se marier, je n'ai pas compris le message : où est la dénonciation d'une société anglaise (surtout allemande pour le coup) assez patriarcale, où est la valorisation d'une femme indépendante et émancipée ?

Il y a certes dans ce roman certains points d'ironie (la fin est un pied de nez) et des petites touches d'humour assez agréables. Mais je suis passée à côté du message de l'auteur. Au contraire, pour moi, nous tombons totalement dans l'effet inverse. J'ai eu le sentiment qu'avec ce livre, l'auteur cherchait à nous démontrer qu'une femme indépendante ne pouvait vivre sans l'appui rassurant et protecteur d'un homme.

Alors c'est peut-être le message qu'a voulu transmettre l'autrice mais dans ce cas, ce n'était pas pour ça que je lisais le livre. Il m'a donc paru hors sujet.

A cela s'ajoute qu'en soi, l'intrigue et les personnages ne sont pas particulièrement d'un grand intérêt ni d'une grande originalité. Tout comme l'écriture assez simpliste. Tout cela reste léger et divertissant mais le propos manque cruellement de profondeur.

Voici bien donc une autrice que je ne chercherai pas à suivre à l'avenir.

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Commentaire ajouté par fanfan50 2018-06-23T15:17:21+02:00
Tous les chiens de ma vie

Je n'ai lu qu'un livre de cet auteur mais je l'avais bien aimé. J'ai donc renouvelé l'aventure. Ici, c'est une biographie de l'auteure, légère et très drôle - bien que triste aussi parfois - mais de son enfance à son entrée dans la vieillesse, elle a partagé la vie de quatorze chiens. Dire que ses parents n'aimaient pas les chiens ! Elle a pourtant reçu en cadeau à l'âge de quatre ans un petit chien : Bijou offert par le jeune homme qui courtisait sa soeur. Elle ne l'a pas gardé longtemps. Elle avait quatorze ans quand sa soeur - la même - lui a offert Bildad, un loulou de Poméranie. Son père étant parti travailler à l'étranger, elle a pu le garder un peu plus longtemps. Son troisième chien, Cornelia, un basset, lui fut offert par son premier mari et elle l'a beaucoup aimé car la chienne l'accompagnait dans ses longues promenades dans la campagne en Poméranie pendant que son mari vaquait à ses occupations. Ensuite, elle eut Ingrabam, un grand danois, qui s'est fait tirer dessus par un chasseur car il aimait trop les daims. Son cinquième chien Ingulf fut aussi un danois assez apathique, ce qui l'a décidée à en racheter deux Ingo et Ivo. Comme elle a quitté la Poméranie pour le Devonshire, elle a donné ses deux chiens. Arrivé là-bas, elle a racheté Prince, son huitième chien qui a eu le malheur de s'attaquer aux moutons et a été abattu. Ensuite elle est partie en Suisse et là, elle s'est entichée de Coco, le chien du concierge et l'a adopté. De là, cette belle réflexion : "J'aurais toujours des chiens et des livres pour me tenir compagnie". Son dixième chien, Pincher, fut un tueur de poules et sur les conseils de son garde-chasse, elle a fait faire ce qui faut et Pincher est devenu apathique. D'où le chien numéro onze, Knobbie, une chienne fox-terrier très enjouée. Puis le chien numéro douze, Chunkie, un petit sealyman, très joueur et amoureux de Knobbie, ce qui fait que deux chiots se rajoutèrent à deux deux : Woosie et Winkie. Woosie mourut renversé par une voiture et Winkie piqué par une tique.Elle est en Provence heureuse entourée de ses deux chiens. Chunkie a un bon esprit : il serre les dents et il tient le fouet de sa queue haut levé jusqu'à la fin. Chien plein de sagesse et de bon sens, il se contente de ce qu'il a plutôt que de se soucier de ce qu'il n'a pas.

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Commentaire ajouté par Aline-100 2020-01-24T18:11:19+01:00
Avril enchanté

Attention, pépite !!

Les descriptions sont somptueuses. En lisant les détails du jardin de San Salvatore (le château médiéval loué par les héroïnes du roman) données par Elizabeth von Arnim, on n'a qu'une seule envie : faire ses valises et partir à la recherche d'une telle splendeur. Il doit être bien agréable de passer la journée dans un tel jardin, aussi fleuri et aussi calme...

Les personnages sont également très agréables. Mes préférées sont Mrs Wilkins et Mrs Arbuthnot (les deux instigatrices du séjour en Italie), mais Mrs Fisher et Mr Wilkins ne sont pas mal non plus dans leur genre.

En bref : On peut dire que la "magie" de San Salvatore, celle à laquelle Mrs Wilkins croit avec tant de ferveur, a réussi à me toucher. Je suis d'ailleurs passée à la Fnac pour commander ce merveilleux roman en anglais. Je prévois de le relire en V.O. lorsque les fleurs seront enfin écloses dans notre jardin. Même s'il ne sera jamais aussi fleuri que celui de San Salvatore, cela me donnera tout de même l'impression d'être un peu plus proche de ce véritable paradis terrestre.

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Commentaire ajouté par Aline-100 2020-01-24T18:12:27+01:00
* Christopher et Colombus

Ce roman est une véritable pépite (une habitude avec les récits de von Arnim) !

Tout d'abord, une petite explication s'impose en ce qui concerne le titre de ce joli roman : les jumelles se baptisent Christopher et Columbus afin de se donner courage. Elles s'identifient ainsi à Christophe Colomb, ce qui leur permet d'imaginer leur départ pour l'Amérique comme une aventure agréable.

Ce qui est pourtant loin d'être le cas puisque, par le biais des aventures de Anna-Rose (Christopher) et Anna-Felicitas (Columbus), Elizabeth von Arnim traite d'un thème que tous les Européens peuvent trouver actuel en ce moment : la difficulté de l'immigration et les préjugés que certaines personnes ressentent envers certaines nationalités. Déjà bien vivace à l'époque dont on nous parle (1916), la méfiance envers les étrangers est encore plus prononcée envers Anna-Rose et Anna Felicitas, qui sont considérées par les personnes qu'elles rencontrent comme encore "plus étrangères" que d'autres réfugiés européens. Car les jumelles sont allemandes, ce qui est très mal vu à leur époque, même en Amérique.

Mais malgré ce sujet difficile et en dépit de la vie assez compliquée des jumelles, Elizabeth von Arnim parvient à rendre cette histoire extrêmement belle. La personnalité des jumelles n'y est pas étrangère, puisque les deux sœurs ont tendance à se montrer assez optimistes et à voir le bien partout (sauf dans la personne de leur oncle !) Les jumelles sont naïves, même si je n'aime pas utiliser ce terme, que je trouve trop péjoratif pour de belles personnalités comme les leurs. Elle ne comprennent pas que l'on puisse vouloir du mal aux autres ou que ces mêmes autres les snobent en raison de leur nationalité. Elles croient dur comme fer (ou du moins veulent croire) que l'Amérique va leur permettre de prendre un nouveau départ et se retrouvent, bien malgré elles, plongées dans des aventures assez rocambolesques.

Heureusement, tout le monde n'est pas hostile envers ces deux jeunes filles. La chance, parfois, va croiser leur chemin...

En bref : Si vous aimez la plume d'Elizabeth von Arnim, foncez. Christopher et Columbus devraient vous séduire !

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Commentaire ajouté par Aline-100 2020-01-24T18:13:09+01:00
En caravane

Une fois de plus, Elizabeth von Arnim est parvenue à me séduire avec ce roman au charme très bohème. Les personnages sont totalement amusants, malgré leurs petits défauts.

Le narrateur est Otto von Ottringel, officier prussien persuadé que des vacances dignes de ce nom doivent se dérouler en toute quiétude et, surtout, être empreintes d'ordre.

Malheureusement pour lui, fasciné par l'une de ses compatriotes dont la sœur a épousé un anglais, il perd tous ses moyens et se laisse embarquer, avec son épouse, dans un voyage en roulotte.

Dès le début du périple, Otto se montre peu coopératif : il critique tout et tout le monde, geint et se plaint à tout propos et s'esquive dès que possible dès que commencent les corvées de la vie en commun telles que préparer et servir le repas ou encore faire la vaisselle. Pour Otto, ces tâches sont réservées aux domestiques et aux femmes, pas aux officiers de l'armée prussienne.

Edelgard (l'épouse d'Otto), par contre, apprécie le voyage et commence même à se rebeller : elle porte les mêmes tenues que ces Allemandes qui ont renié leurs origines en épousant des Anglais et, comble de l'horreur, répond à Otto, chose qu'elle n'aurait jamais osé faire avant ces terribles vacances !

Otto regrette donc bien vite son impulsivité. D'autant que la météo se ligue contre nos amis : seuls quelques jours de beau temps rendent l'expérience de la roulotte agréable.

Ce qui est surtout très amusant dans ce roman, c'est que le narrateur ne se rend pas compte de son caractère épouvantable. Tout le monde le fuit, l'antipathie grandit de plus en plus à son égard, mais Otto reste persuadé qu'il est un homme parfait. Si le voyage est un échec retentissant, ce n'est pas de sa faute : c'est la bande de romanichels (pourtant des nobles anglais) qui l'accompagne qui est en tort !

Même si ce personnage est absolument tyrannique, le récit est savoureux à souhait ! Elizabeth von Arnim se moque des défauts d'Otto en les exagérant jusqu'à la caricature, pour notre plus grand plaisir.

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Dédicaces de Elizabeth Von Arnim
et autres évènements

Aucun évènement prévu

Editeurs

10/18 : 4 livres

Editions Bartillat : 3 livres

L'Archipel : 2 livres

Bartillat : 1 livre

Vintage Classic : 1 livre

salvy : 1 livre

Élizabeth von Arnim : 1 livre

Les Belles Lettres : 1 livre

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