Lilian Bathelot

Je devais lire ce livre en français et je ne l'ai pas finit il ne ce passe absolument rien et le peut de choses qui arrive on ne les comprend pas car il faut attendre la page 67 pour avoir un début d’explication seulement moi arriver là j'avais déjà totalement décrocher.

Bref je le dé-conseil.

Un livre qui nous raconte l'histoire de Telma et d'Esteban à travers leur correspondance et leur jounaux de route. Au départ le fait que ce soit écrit sous forme de lettre m'ennuyait un peu, mais finalement elles étaient si bien rédigés qu'on se serait cru en train de vivre nous même leurs aventures jusqu'à en oublier que ce ne sont que des lettres.La fin est assez triste mais pourtant prévisible. Dans l'ensemble ce livre se lit assez rapidement.

J'ai beaucoup aimé le concept du recueil qui était de s'intéresser au lieu de l'école, à différentes époques et dans différentes circonstances. Le recueil est à mon goût très inégal alternant réussites et textes plus moyens. C'est en tout cas à nouveau une occasion pour visiter plusieurs époque, quelques unes très étonnante et d'aborder la question de l'éducation sous de nombreux angle. Au final si ce livre n'est pas très passionnant il fait réfléchir, et c'est déjà ça...

J'ai adoré les voyages, autant de lieu que d'époque, avec une originalité pour certains texte que j'ai trouvé surprenante ! Une belle surprise pour ma part, car je ne m'attendais pas à autant "d'écoles" différentes.

Une bonne lecture, même si je n'ai pas réussi à m'attacher aux personnages (le format recueil n'est pas vraiment fait pour ça), j'ai aimé ces histoires qui m'ont fait voyager et trembler.

Malgré un résumé alléchant, je reste malheureusement sur ma fin.

Pourtant, l'idée était bonne ; faire un roman épistolaire me plaisait, cela change de l'ordinaire et cela apporte d'autres choses, plutôt originales au livre. Mais les personnages ne m'ont pas convaincue.. Je les ai trouvés survoler, pas assez "profonds". Pour vous dire, je ne me rappelle déjà plus vraiment de leur nom.

J'étais également très curieuse de découvrir cette partie de l'histoire que je ne connaissais pas, car outre l'histoire de la France, nous n'en apprenons guère à l'école.. Et là aussi, ma déception pointe le bout de son nez.

Le contexte historique y est. On se situe bien, on comprend plutôt bien les choses (quoi que parfois cela reste flou) mais là aussi, ça manque de profondeur. Pourquoi ne pas faire vivre les choses, les événements ? Nous faire "subir" des actions pour qu'on se rende compte à quel point la tension, à cette époque, était palpable ?

J'ai lu deux cents page mais je n'ai pu continuer, pas assez emballer. Je n'ai pas, "pas aimé", mais je ne peux pas dire non plus que j'ai apprécié "L'étoile Noire", loin de là.

Alors malgré une histoire qui peut paraître intéressante, je pense que ça peut en décevoir certains. (:

En bref, L’école de la mort est un excellent recueil de nouvelles noires. Si toutes comportent un aspect historique, certaines tirent sur le fantastique quand d’autres vont flirter avec le polar. Que cela soit sur le fond comme sur la forme, il est mené d’une main de maître et ne souffre d’aucun défaut.

Malheureusement, ce recueil n’est pas distribué par Gulf Stream Éditeur, un acteur indépendant spécialisé dans les ouvrages pour la jeunesse. Il faudra donc vous tourner sur le marché de l’occasion pour dénicher cette petite merveille.

Un livre à lire absolument, mais aussi à réfléchir (voire méditer), qui nous donne à voir l’histoire sous un angle différent. Novateur et ludique, il se révèle surtout riche d’enseignements.

Chronique Complète :https://biblideleona.wordpress.com/2020/12/12/anthologie-lecole-de-la-mort/

Avec ce roman, nous sommes sur un récit d'anticipation géopolitique aux enjeux de liberté ethnique et écologique.

L'occident contrôle et surveille tout, les peuples originels ayant vus se faire restituer leurs terres, vont vouloir vivre en paix et sans surveillance.

S'en suit une course contre la montre entre action et traditions ancestrales, dans un décors désolé mais magnifique (le Groenland).

Les personnages sont bien construits, surtout la jeune Inuit "Kisiimi" que l'on prend plaisir à découvrir de part son courage, son intelligence et sa manière de vouloir respecter les traditions de son peuple.

Le roman à tout d'abord été écrit en 2006 et s'est vu entièrement remanié par l'auteur pour cette édition Pocket, c'est là que l'on se rend compte que les choses n'évoluent pas vraiment dans la conscience globale de l'humanité sur la mondialisation car 14 ans après le discours reste très actuel, moderne.

https://unbouquinsinonrien.blogspot.com/2020/12/cest-linuit-qui-gardera-le-souvenir-du.html

https://songedunenuitdete.com/2020/12/23/cest-linuit-qui-gardera-le-souvenir-du-blanc-de-lilian-bathelot/

On peut le dire, C’est l’Inuit qui gardera le souvenir du blanc est un beau roman d’anticipation qui donne matière à réfléchir sur le futur que nous souhaitons à nos enfants. Si j’ai été dubitative au début, je dois dire que j’ai vraiment aimé la toute fin avec Kisimii. C’est triste et beau à la fois et… ça a su me parler.

Un roman intéressant à découvrir pour les questions qu’il apporte et les valeurs qu’il véhicule.

La SF pas trop mon truc à part Barjavel. Et bien celui-ci m’a fait penser à La nuit des temps. En 2089 les autorités savent tout sur le moindre individu puisque les informations sont transmises par un implant incrusté dans le corps. Toute la population terrestre, sauf quelques peuples résistants comme chez les Inuits où les scènes essentielles du roman s’y passent. Une jeune scientifique y applique les gestes de ces ancêtres comme la chasse au caribou. Seule dans l’immensité du blanc, apparaît un traîneau tiré par des chiens avec un européen inconscient.

Roman court parsemé de belles pensées sur l’écologie, les valeurs, les traditions à perpétuer.

Roman intéressant pour son thème et ses personnages. Ça se passe en France, c'est plutôt bien amené. Il est réaliste car n'offre pas de happy end convenue. Ça peut être frustrant.