Johanne Seymour
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Note moyenne : 8.09/10Nombre d'évaluations : 11
0 Citations 12 Commentaires sur ses livres
Les derniers commentaires sur ses livres
tres bon roman un peu suspense j aime beaucoup les personnages de l histoires
Afficher en entier2eme livres de cette auteur que je lis et c est toujours tres toujours aussi attacher au personnages
Afficher en entierTrès bon livre policier Kate McDougall est sympathique et est une femme ordinaire qui mène sa vie comme elle le peut. Côté suspense peut-être qu'il en manquait un peu mais bon question de goût.
Afficher en entierhttp://bookivores.over-blog.com
Chapitres courts mais efficaces!
L'auteure ne tarde pas à entrer dans l'action. Dès le départ, on entre dans le vif du sujet par la découverte du cadavre d'une fillette de 9 ans.
Dans ce livre, à la narration omnisciente, le récit ne s'essouffle jamais! Chaque chapitre est construit comme une scène que l'on peut voir dans notre imagination comme si elle était projetée sur notre télévision. D'ailleurs, ce fut chose réelle ce printemps, puisque ce livre a eu droit à une adaptation - sous le nom de Séquelles - de 6 émissions de 60 minutes sur la chaîne de Série +.
Notre personnage principal, Kate McDougall, est une enquêteuse de la SQ traînant un lourd passé qu'elle tente tant bien que mal à garder secret. Elle est aux prises avec de sérieux cauchemars qui hantent ses nuits au point où elle accumule le manque de sommeil, compromettant ainsi son enquête sur le meurtrier du lac - ou encore "la Bête" comme le surnomme le narrateur - ainsi que sa propre sécurité.
Au fil de notre lecture, on côtoie la mort d'une façon qui nous amène à la réflexion sur ce qu'elle représente pour nous. Je crois que dépendamment du vécu du lecteur, le livre l'atteindra de façon différente. Personnellement, ce livre m'a scié en deux. Il est parfait en tout point, tellement que je termine cette lecture avec le besoin de lire la totalité des œuvres de l'auteure.
J'ai toujours eu une grande fascination pour le métier d'embaumeur. Côtoyer la mort de façon aussi intime, chaque jour... j'en ai des frissons. Personnellement, j'en serais incapable, mais j'ai beaucoup de respect pour ceux qui choisissent ce métier.
Le temps d'un chapitre, j'ai eu le sentiment que l'auteure m'offrait une fleur en assistant à l'embaumement de la fillette. Mais plutôt qu'être terrifiant comme je m'y attendait, j'ai été surprise de trouver ça beau et serein. Chaque geste posée est délicat et respectueux.
La plume de Johanne Seymour est vraiment sublime.
Le suspense est si présent qu'il engendre une profonde addiction. On-ne-veut-pas-fermer-le-livre-tant-qu'il-n'est-pas-fini!
Ce qui m'amène à vous parler de la fin!
Soyez sans crainte, je ne vous dévoilerai rien... ce n'est pas mon genre.
Par contre, si vous êtes le genre de lecteur curieux qui à pour habitude d'aller fouiner à la fin du livre PENDANT la lecture... retenez-vous!
Je vais y aller d'une allégorie... Ce livre est en quelque sorte un sundae et l'épilogue est la cerise, mais c'est tout une cerise et il faut absolument la manger à la fin.
Voilà
Afficher en entierUn bon roman policier. La fin m'a un peu laissé perplexe.
Afficher en entierJ'ai bien aimé lire ces histoires autour des animaux de compagnie, c'était léger et agréable à lire!
Afficher en entierUn roman funèbre.
Un roman de désir.
Un roman d’espoir.
Ces mots, simples et pourtant si vrais ont résonné en moi de la manière la plus inattendue qui soit.
Je crois que les meilleures histoires sont celles qui nous chamboulent sans même avoir été invitées à le faire. Les meilleures histoires sont celles qui remettent en question nos plus profondes convictions et qui font chavirer notre univers le temps d’un court récit. Ce fut le cas pour ce roman.
Ce roman fut acheté en l’honneur du 12 août, celui d’encourager les auteurs québécois. Je suis fière de nos écrivains, qui sont si philanthropes et authentiques. Par leurs pensées, leurs croyances et leurs espoirs, je me sens transporté et transcendé au travers de leurs récits durement travaillés.
Pour ce qui est de ce roman, on ne peut rester indifférent face à tant d’injustices, tant de peine et de mal de vivre que porte Simone tout au fond de son cœur.
Cette femme, dont la vie a été malmenée de diverses manières, se voit forcer de changer de nouveau son mode de vie. Amené dans un lieu inconnu entourée de gens à la fois bienveillants et mystérieux, Simone hésite à laisser celle qu’elle est vraiment s’exprimer au grand jour. Le chemin est encore semé d’embauches pour notre libraire mais on sent que cette fois, Simone aura de nouvelles ressources pour l’aider à s’en sortir.
Afficher en entierUn livre vraiment bon, qui raconte l'histoire de Simone, une femme qui ne vit pas sa vie. Elle travaille pour avoir un toit sur la tête et de quoi manger mais derrière ce n'est que le vide. On voit son évolution dans ce roman et je pense qu'on peut s'identifier à Simone, parfois on ce sent un peu comme elle mais qu'on peut s'en sortir avec les bonnes personnes.
Afficher en entierPlus qu’un polar, il s’agit d’un roman touchant sur les séquelles psychologiques que peut subir un enfant exposé à un drame épouvantable dans sa vie personnelle.
Afficher en entierÀ relire, à recommander
Afficher en entierLes gens aiment aussi
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Biographie
(Lachine, 4 avril 1952) Comédienne, réalisatrice et romancière, Johanne Seymour obtient un Baccalauréat en art dramatique de l'Université du Québec à Montréal en 1975 et un certificat en Vidéo de l'Université de New-York en 1995. Elle est aussi diplômée de l'Institut national de l'Image et du Son (INIS), en réalisation, en 1998.
En 1990, Johanne Seymour passe « derrière la caméra », après une carrière de plus de 15 ans comme comédienne, d’abord à titre d’auteur et metteur en scène (Santa Maria, Diva, Merci Beaucoup!), puis comme réalisatrice (Emma, Cent titres et Auteurs libres). Elle a aussi réalisé trois court-métrage dont La dernière pomme, qui a remporté le prix du Meilleur court au festival de Tunis 2000. Depuis 2005, elle se consacre presque entièrement à l’écriture romanesque.
Son premier roman, Le cri du cerf, lui mérite d'être finaliste à plusieurs prix littéraires, dont le Prix Saint-Pacôme du meilleur roman policier 2006 et le Grand Prix littéraire Archambault 2007 et le Grand Prix de la relève littéraire Archambault 2007. En 2008, son roman Le cercle des pénitents est en nomination au Arthur Ellis Award, catégorie « Best crime writing in french ».
Johanne Seymour est membre de l'Union des écrivaines et des écrivains québécois.
(Source : litterature.org)
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