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Margery Allingham

Auteur

44 lecteurs

Activité et points forts

ajouté par brausten 2011-08-12T01:35:21+02:00

Biographie

Margery Allingham est une romancière britannique née le 20 mai 1904 à Londres et décédée le 30 juin 1966 dans sa maison de l'East Anglia. Elle est considérée, dans les années 1930 et 1940, comme une figure importante de la littérature policière, au même titre que Dorothy L. Sayers et Agatha Christie. Sa création la plus célèbre demeure le personnage d'Albert Campion, détective excentrique qui apparaît dans dix-sept romans et de nombreuses nouvelles.

Margery Allingham vient au monde dans le faubourg d'Ealing, fille aînée d'Emily et Herbert Allingham. Son père est alors propriétaire d'un magazine publiant des romans de gare dont les affaires marchent mal. La famille déménage un temps dans un petit village de l'Essex, région qui inspirera considérablement Margery dans l'écriture de ses futures romans, puis retourne à Londres. Emily et Herbert s'essaient à la littérature populaire, ambition qui passionne la jeune fille. Margery suit sa scolarité dans un collège pour filles de Cambridge et prend aussi des cours de théâtre tout en désirant toujours devenir écrivain. Elle écrit son premier vrai roman, Blackkerchief Dick après la déclaration de guerre.

Dans le Londres d'après-guerre, elle fait toujours du théâtre en amateur et fréquente des milieux bohèmes. C'est là qu'elle rencontre son futur époux, le fils d'une famille d'artiste, Philip Yougman-Carter, écrivain, peintre et rédacteur en chef du journal Tatler. Leur mariage a lieu en septembre 1927. Le jeune couple emménage dans un appartement d'Holborn Street où Philip conseille les essais littéraires de son épouse dont il réalise parfois les illustrations. Avec Crime à Black Dudley, Margery s'impose en 1929 comme une romancière policière : c'est aussi à l'occasion de ce roman qu'elle crée le personnage d'Albert Campion. Ce dernier sera le héros de toute une lignée d'autres romans très populaires. En 1931, Margery fait l'acquisition d'une maison au cœur du village de Tolleshunt d'Arcy dans l'Essex : d'Arcy House. Elle lui sera dorénavant toujours associée.

Margery continua à écrire jusqu'à sa mort rencontrant toujours un beau succès. Malheureusement, ces romans n'auront pas la chance d'être traduits à l'étranger comme ceux de ces consœurs les plus célèbres. Elle passe les dernières années de sa vie dans l'ombre des infidélités de son mari et de la maladie qui la ronge. Elle s'éteint à d'Arcy House atteinte d'une tumeur incurable.

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Note moyenne : 5.44/10
Nombre d'évaluations : 9

2 Citations 10 Commentaires sur ses livres

Dernier livre
de Margery Allingham

Sortie Poche France/Français : 2010-05-14

Les derniers commentaires sur ses livres

Commentaire ajouté par brausten 2011-12-08T07:28:42+01:00
Petits crimes de Noël

plusieurs nouvelles écrites par des grands écrivains, certains connus d'autres moins, de la littérature policière ou fantastique le thème principal se situe a noël, je dirais que c'est un livre de circonstances. j'ai bien aimé.

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Albert Campion, Tome 1 : Crime à Black Dudley

J'ai été assez déçue par ce roman policier.

Je pensais que j'allais lire un bon roman de détection à la Agatha Christie, mais l'hameçon n'a pas pris, il ne semblait pas y avoir d'indice ou quoi que se soit...

Peut-être n'étais je pas assez en forme ou peut être en attendais-je trop.

Mais pour moi ce roman reste une déception et m'a refroidie pour le reste de l'œuvre de l'auteur.

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Commentaire ajouté par Avalon 2017-06-16T15:19:17+02:00
Petits crimes de Noël

Un très bon roman, qui regroupe plusieurs nouvelles parlant de Noël. A lire.

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Albert Campion, Tome 1 : Crime à Black Dudley

Sur la foi de la phrase attribuée à Agatha Christie louant "l'élégance" de Margery Allingham, je me suis embarquée dans ce livre qui a inauguré une recherche de romans policiers "vintage".

Je m'attendais à un roman à énigme, avec de l'humour.

Pas d'énigme, hélas, et des rebondissements un peu rocambolesques avec un héros comme je les apprécie peu (ni assez héroïque, ni assez cynique).

Mais je crois qu'il s'agit de la première œuvre publiée de l'auteur, alors il se trouve peut-être des pépites dans la suite...

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Albert Campion (T1 à T4 + 4 nouvelles)

Je viens de découvrir Margery Allingham et son héros Albert Campion.

Je trouve ce personnage formidable. Sous ses airs d'idiot, il avance dans ses réflexions et souvent aidé d'amis comme Lugg, son homme à tout faire, l'inspecteur qui deviendra le superintendant Oates de Scotland Yard et d'autres plus ou moins des voyous, il arrive toujours à la solution de l'énigme.

Ses enquêtes nous entraînent dans une Angleterre d'un autre âge, dans des endroits reculés où le train ne passe pas et où les voitures sont encore rares et qui sont encore imprégnés de légendes et de surnaturel.

Franchement, c'est dommage que cette écrivaine ne soit pas aussi connue qu'Agatha Christie, qui fut une de ses rivales.

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Albert Campion, Tome 1 : Crime à Black Dudley

George Abbershaw, pathologiste respecté ayant à de nombreuses reprises collaboré avec Scotland Yard, se rend au château de Black Dudley pour passer le week-end, invité par son ami Wyatt Petrie dans le but d'y rencontrer Margaret Oliphant dont, à sa grande surprise, il est tombé amoureux.

Le soir, à la table du dîner, George est pris d'un curieux pressentiment, comme s'il anticipait des ennuis à venir. C'est alors que les convives, après avoir écouté l'histoire de la dague contée par Wyatt, décident de jouer au Rituel de la Dague, basé sur une ancienne superstition qui affirmait que "tout cadavre touché par la main de son meurtrier se remettait à saigner de la même blessure mortelle, et que si l'arme du meurtre se trouvait à nouveau placée dans la main criminelle, elle se couvrait de sang comme au moment du crime." La règle du rituel devenu un jeu consiste à éteindre toutes les lumières pour que le chef de famille, un Petrie pure souche, remette la dague à la première personne rencontrée dans le noir, laquelle devait en faire autant avec quelqu'un d'autre. Le jeu se poursuivait une vingtaine de minutes, chacun essayant de se débarrasser de la dague avant que le chef de famille sonne le gong du dîner. A ce moment, la personne en possession de la dague perdait la partie et devait s'acquitter d'un gage.

Le soir même, le colonel, oncle de Wyatt, est retrouvé mort d'une soi-disant crise cardiaque. Pourquoi son médecin personnel et Gidéon semblent-ils si presser de procéder à l'incinération? Pourquoi n'ont-ils pas laissé Abbershaw examiner le corps pour la déclaration de décès? Cette mort serait-elle suspecte? Pourquoi le colonel portait-il un masque de son vivant? Bientôt, tous les invités et leur hôte se retrouvent prisonniers dans la maison, gardés par une bande de malfrats prêts à tout. Mais Albert Campion veille...

Toute l'action du roman se déroule dans le château de Black Dudley, dans le Suffolk, comté situé à l'est de l'Angleterre. Les décors dans lesquels évoluent les personnages bénéficient de descriptions très soignées, les détails parfaitement en accord avec l'atmosphère lugubre et les événements dramatiques qui vont se dérouler dans ses murs: "...une imposante bâtisse grise, nue et laide comme une forteresse. Aucune plante ne venait habiller sa façade; les hautes fenêtres étroites étaient obscurcies par des tentures sombres...La négligence qui régnait dans le parc se retrouvait à l'intérieur, et pourtant une majesté désuète et plaisante émanait des boiseries sombres, des peintures aux cadres noircis, des meubles de chêne massif patinés, minutieusement sculptés, mais désespérément vierges de toute cire. La maison n'avait jamais été modernisée. Les candélabres en fer forgé du hall portaient toujours des cierges, et leur lumière animait des ombres immenses, comme des mains gigantesques et fantomatiques, qui se tendaient jusqu'au plafond de chêne." (Pages 9-11).

Mise en scène lugubre, digne des films gothiques tel que Le Corbeau avec Vincent Price: "Tout un côté de cette salle longue au plafond bas était éclairé par des fenêtres à vitraux. Quelques bûches flambaient dans un grand feu ouvert, et sur la table huit chandeliers éclairant seuls le décor. Des portraits ornaient les murs." (Page 11)..."le passage était recouvert de planches et très poussiéreux...Ce n'était qu'un boyau étroit, offrant juste assez d'espace pour servir de passage à un homme rampant à quatre pattes, mais Abbershaw s'y engagea avec détermination. L'atmosphère y était presque insupportable et sentit le moisi. Les rats détalaient devant lui tandis qu'il rampait en s'éclairant avec sa torche. Enfin, il atteignit les escaliers dont Campion avait parlé. Ils étaient raides, solides, et disparaissaient dans l'obscurité au-dessus de sa tête." (Page 104).

Crime à Black Dudley, première apparition du fantasque détective privé Albert Campion, est un whodunit dans la pure tradition: atmosphère victorienne, manoir vétuste perdu dans la campagne anglaise, personnages disparates réunis pour un week-end. Toutefois, l'originalité apportée par Margery Allingham est la façon dont elle raconte certaines scènes décisives d'un point de vue indirect: lorsque les prisonniers enfermés dans une chambre du manoir regardent par la fenêtre les conséquences de l'arrivée des chasseurs. Tout comme la description des personnages par le regard de George: le lecteur ne sait d'eux que ce que ce dernier en sait ou en voit, point de vue réducteur qui a l'avantage d'amplifier le suspense d'une manière insinuante.

Tout comme cette façon très particulière qu'a l'auteur d'éveiller la curiosité du lecteur en distillant des détails importants de façon apparemment anodine: "Par la fenêtre, on ne voyait que tristesse et indicible solitude. Sur des kilomètres, jusqu'à la mer au-delà de l'horizon, la plaine uniforme étendait ses pâturages négligés. Une monotonie incommensurable." (Page 9) 

Un roman policier classique résolument moderne, voilà comment je décrirais Crime à Black Dudley en quelques mots...Captivant !!!

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Albert Campion, Tome 7 : Des fleurs pour la couronne

1911. Tom Barnabas, neveu et associé de la prestigieuse maison d'édition Le Carquois d'Or, disparaît un matin sans laisser de traces, alors qu'il se rendait à son travail...sans jamais refaire surface sous une forme ou une autre.

1931. Paul R. Brande, un des directeurs de la même maison d'édition, disparaît à son tour, dans des circonstances quasi identiques. Paul devait rentrer  le jeudi soir précédent pour discuter avec Gina de sujets importants. Quelques jours plus tard, la jeune femme, bien qu'habituée aux absences de son mari, demande à Albert Campion de s'occuper de cette affaire, en toute discrétion, bien entendu: "Ce que j'essaie de dire, c'est que ce n'est pas vraiment inhabituel que Paul s'en aille comme ça pour un jour ou deux sans penser à me prévenir, mais il n'est jamais arrivé qu'il reste absent si longtemps sans que j'aie des nouvelles, même indirectes, et ce matin, j'ai eu le sentiment que je devais...eh bien...simplement en parler à quelqu'un. Vous comprenez, n'est-ce pas?" (Page 23).

Cette curieuse disparition aurait-elle un rapport avec Le Coureur, un manuscrit précieux détenu par Barnabas et Company, le manuscrit inédit d'une pièce de Congreve écrit de sa main et jamais imprimé, jamais copié et jamais lu, jamais mis à la disposition des érudits et des collectionneurs? C'est alors que le cadavre de Paul est retrouvé dans la chambre forte, sans doute mort depuis plusieurs jours, intoxiqué par les gaz d'échappement de la voiture de Mike, garée de l'autre côté de la petite pièce, elle-même fermée à clef de l'extérieur. Pourquoi Mike, qui s'est rendu la veille dans la chambre forte chercher des documents pour son cousin John, n'a-t-il pas vu le corps?

Que cache la façade lisse et bien pensante de Barnabas Limited? A la suite de l'enquête menée par le coroner, le jeune homme est accusé de meurtre avec préméditation. S'agit-il d'un crime passionnel selon le banal schéma du triangle amoureux? D'une vengeance liée au manuscrit précieux? Ou de la malédiction qui, vingt ans, a déjà frappé?

Les personnages:

Gina Brande: épouse de Paul, américaine, styliste amatrice; quelque chose de fondamentalement féminin dans sa personnalité qui incite à la protéger.

John Widdwson: aîné des cousins Barnabas, fils de la sœur du fondateur, directeur administratif de la maison d'édition; tempérament colérique, pompeux et entêté; forte personnalité.

Michael Wedgwood, dit Mike: le plus jeune des cousins; directeur adjoint de la firme; jeune homme poli, aimable, digne de confiance, calme; belle allure; ami de Campion.

Miss Florence Curley: secrétaire du Vieux, le fondateur, puis de John, d'un dévouement et d'une fidélité sans faille, fait presque partie de la famille; on lui reconnaît une intelligence bienveillante et omnisciente; à l'extérieur, crainte et respectée mais tenue un peu à l'écart.

Richard Barnabas, dit Ritchie: frère de Tom, le cousin disparu vingt ans plus tôt; le seul cousin à ne pas avoir hérité une partie de l'entreprise familiale; assume la fonction de lecteur de manuscrit.

Paul Brande: mari de Gina, préoccupé avant tout à démontrer son importance; fanfaron, menteur; personne agréable, qui s'enthousiasme facilement; a beaucoup fait pour la maison d'édition.

Mrs Austin: femme de ménage de Gina.

Alexander Barnabas: avocat et cousin de Mike, fils unique de Jacob Barnabas, excellent dans les affaires criminelles, très bonne réputation.

Scruby: avocat de la famille.

Albert Campion: détective privé, peu porté à l'introspection, ni à l'action.

Malgeforstein Lugg: ancien bagnard, valet de Campion.

Sergent détective Pillow: de la section spéciale.

Des Fleurs pour la Couronne, Flowers for the Judge dans la version originale parue en 1936, a été publié la même année sous le titre Un Homme Disparaît par la Nouvelle Revue Critique numéro 19, puis en 1994 par la Librairie des Champs-Elysées dans la collection Le Masque. Le style est fluide, le ton désinvolte et léger, guère plus engagé qu'un article de dictionnaire: "Même si on dit qu'il suffit de neuf jours pour qu'un sujet d'étonnement devienne un sujet d'amusement, et vingt ans pour qu'il ne soit guère plus qu'un souvenir désagréable, il n'en demeure pas moins que l'étrange disparition de Tom Barnabas en 1911 créa une sorte de précédent dans la maison. Si bien que, conformément à la façon curieusement paradoxale dont l'esprit fonctionne, personne n'y repensa quand, en 1931, Paul R. Brande, un des directeurs, ne se montra pas pendant deux jours." (Page 10).

Les détails revêtant une importance capitale dans la conception des whodunit, Margery Allingham apporte un soin tout particulier aux descriptions et au déroulement des actions: "Mike entra dans la pièce, évitant la chose pitoyable sur le sol, et commença à poser les papiers poussiéreux par terre. A cause de la chaudière de l'autre côté du couloir, l'endroit était sec, avec de temps en temps des courants d'air glacés qui venaient de la porte de la cour. Mike travaillait comme un homme dans un cauchemar, sa haute silhouette mince et son visage sensible profondément creusé paraissaient curieusement enfantins et pleins de désespoir." (Page 33).

Construction: certaines scènes importantes, sont racontées selon le point de vue d'un seul personnage: l'enquête préalable par Gina et le procès par Miss Curley; contrairement aux autres passages du roman, racontés par un narrateur omniscient. Ce procédé suscite des lacunes dans les informations dont le lecteur dispose pour résoudre l'énigme, ce dernier se retrouvant lésé par rapport aux personnages.

Je vous invite à re-découvrir Des Fleurs pour la Couronne écrit en 1936, un roman caractéristique du Whodunit britannique en vogue dans les années 1930-1940: sa construction simple: un crime, plusieurs suspects de l'entourage du mort ayant tous un mobile et l'occasion, des secrets de famille, une disparition inexpliquée des années plus tôt, tout cela dans un style très agréable à lire, vous fera passer un bon moment de lecture, mettant à contribution vos petites cellules grises, comme dirait un certain Hercule Poirot !!

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Dédicaces de Margery Allingham
et autres évènements

Aucun évènement prévu

Editeurs

Librairie des Champs-Elysées : 5 livres

Omnibus : 3 livres

HarperCollins : 2 livres

Le masque : 2 livres

Éditions du Masque : 1 livre

Editions Baker Street : 1 livre

Nouvelle Revue Critique : 1 livre

Dupuis : 1 livre

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