George Mann

Je raffole des histoires Steampunk et des thrillers. Alors quand j'ai découvert ce roman et vu qu'il alliait ces deux univers, je n'ai pas hésité une seconde à me le procurer.

Mais maintenant que je l'ai terminé, je suis partagée.

L'univers Steampunk est bien là : les décors, les engins, l'ambiance sont respectés mais l'enquête, quant à elle, m'a ennuyée. Elle est loin d'être aussi passionnante, que je l'espérais. Non seulement, l'intrigue n'est pas intéressante mais en plus, il n'y a aucun rebondissement à l'enquête.

Rien en tout cas, qui ne m'est marqué. C'est plat et sans saveur.

On découvre les tenants et les aboutissants, sans mal, avant les cent premières pages.

Cet aspect de l'histoire est décevant.

C'est dommage, car le style de l'auteur est excellent.

En fait, la seule chose que j'ai aimée dans ce roman, ce sont les personnages. Certains diront qu'ils ne sont pas assez développés -un peu comme l'histoire- mais pour ma part, je les ai vraiment adorés. Ils sont drôles, intelligents et leur manque de savoir vivre est amusant et cocasse.

La complicité entre Veronica et Newbury est rafraîchissante et plaisante à suivre. Je me suis surprise à guetter le moindre geste ou parole, qui laisserait sous-entendre des non-dits et il est clair, que leur relation à un sacré potentiel ! Je suis impatiente de voir une romance prendre forme dans les prochains romans.

J'attends de lire les autres tomes, pour me faire un avis définitif sur cette saga mais j'espère, vraiment, que les prochaines enquêtes seront plus passionnantes que celle-ci.

Un livre qui nous plonge dans toute l'horreur et la folie de la Grande Guerre du Temps. On découvre un peu plus le caractère et les motivations du "War Doctor" qui restent tout de même fondamentalement proches de celles des autres Docteurs. Le désespoir des Seigneurs du Temps face aux Daleks est bien illustré et toute la chaîne d’événements décrite est un lien important avec l'épisode du 50ème anniversaire de la série.

Une nouvelle aventure originale avec des nouveaux ennemis, les Squall.

Trenzalore... Presque quatre ans après le départ de Matt Smith c'est toujours avec émotion que je pense à ce moment. Dans ce livre, nous découvrons 4 histoires au cours desquelles le Docteur protège la petite ville de Christmas des Guerriers des Glaces, des Krynoïds, des Autons et de Mara. Les différentes histoires sont bien écrites et se lisent avec plus ou moins d'addictivité selon le style de l'auteur mais restent intéressantes pour en connaître plus sur le siège de Trenzalore, la vie de ses habitants, leurs coutumes ainsi que sur les 900 ans passés par le Docteur à combattre ses ennemis.

Le douzième Docteur revient en force accompagné de son très cher humour noir que seul Roal Dahl peut surpasser (mais seulement le mardi et le jeudi...) et de ses prises de karaté vénusien ! Les dessins sont sublimes et les traits plus marqués ce qui redonne tout son sérieux à cette aventure toujours marquée par les piques du Docteur. Je l'ai vraiment adorée.

J'ai pas trouvé ça terrible, autant les dessins sont très beaux et l'univers bien sombre comme j'aime. Mais côté scénario c'était pas très captivant, on voulait surtout nous montrer de l'action donc c'était des enchaînements de combats, certes bien faits mais il y en a beaucoup trop. Les combats prennent tellement de place dans la BD qu'on n'a pas non plus le temps de s'attacher aux personnages, car au final on ne les connait pas tant que ça.

Bon aussitôt lu aussitôt oublié.

Enquête sur fond de steampunk, des personnages que l'on découvre peu à peu, un Londres mystérieux, ... ce livre m'intriguait et j'ai eu droit à une lecture bien agréable. Dommage que les autres tomes n'aient pas été traduits...

Le livre s’est révèle sympathique mais il manque un peu de saveur. L’intrigue commence avec deux enquêtes différentes mais le lecteur n’est pas surpris quand elles ne finissent pas se rejoindre, c’était malheureusement facile de à deviner. L’univers victorien et speampunk manque lui aussi de saveur car si l’auteur introduit zeppelin er automate, faute d’une riche description, l’imagination du lecteur est peu stimulée et le récit reste un peu plat. De même, les scènes d’actions ont bien pensé mais leur écriture manque de dynamisme. Dans l’ensemble un livre plutôt pas mal malgré quelque déception due au style de l’auteur.

Ce roman a été pour moi une très agréable surprise. Il ne faut pas se fier à la quatrième de couverture, car il est bien plus.

L'on plonge dans une enquête diligentée par la Rein Victoria dans un monde ayant des traces de Steampunk.

Mysticisme, nouvelles technologies, croyances occulte et réflexion sont les maîtres mots de ce roman qui passionne et tient en haleine du début à la fin.

Chouette lecture sans plus. Je trouve que celle-ci n'a pas été un échec complet grâce aux personnages "secondaires", qui ont réussi à rendre l'histoire plus attrayante. L'IA surnommé Arven (par Amy, passage très mignon) et son futur que l'on connait à l'avance qui semble tragique et le professeur Angelchrist, un ancien d'UNIT à la retraite qui lui accompagne de manière un peu random l'aventure. Mais ils ajoutent tous les deux de la vie à une aventure un peu clichée.