Jean-Christophe Derrien
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Note moyenne : 7.51/10Nombre d'évaluations : 105
0 Citations 45 Commentaires sur ses livres
Les derniers commentaires sur ses livres
Un retour aux sources, aux origines de la série éponyme destinée autant aux petits qu'aux grands.
Le coup de crayon change, donne de la nouveauté au récit ce qui est agréable.
Je recommande !
Afficher en entierUne suite et fin du premier épisode (dans le sens chronologique) d'une série destinée autant au petits qu'aux grands.
Je conseille !
Afficher en entierPeu de surprises dans cette adaptation, où le studio s’est attaché à respecter le style et la réalisation de l’animé.
Afficher en entierBonne adaptation en bande dessinée, fidèle à l'oeuvre originale.
Afficher en entierCool
Afficher en entierJe continue l'exploration des différentes adaptations graphiques du roman de George Orwell. Il y en a cinq au total. Celle de Jean-Christophe Derrien et de Rémi Torregrossa est la quatrième que je découvre. Elle aussi se démarque, tant par les textes que par les graphismes.
Commençons par ce qui m'a un peu déçu : les dessins. Non pas dans la qualité des traits, fins et précis. Mais plutôt par l'absence ou la pauvreté dans les couleurs. Quasiment tout est représenté dans des nuances de gris. Il y a certes quelques touches de couleurs de temps à autre, pour marquer notamment l'événement le plus heureux, sans contrainte et sans surveillance, ou encore pour démarquer un objet bien précis ou bien un visage. Mais globalement, tout se déroule dans la grisaille. Alors oui, voilà qui dépeint bien l'ambiance générale, souvent oppressante, dominée par la peur, mais j'ai trouvé quand même l'ensemble plutôt fade, terne.
Quant à l'histoire, je suis étonnée qu'elle soit aussi fidèle au roman malgré le nombre de pages (124) et le peu de texte. Pas de narration, uniquement des dialogues et des extraits du journal de Winston, la lecture est donc très dynamique, bien plus facile que dans certaines adaptations que j'ai lues auparavant, bien plus rapide également. Il est vrai que l'ensemble se déroule assez vite, on s'attache peut-être moins aux personnages aussi, mais j'ai trouvé que c'était tout de même bien rendu. Il faut en fait savoir observer chacune des vignettes, qui en disent aussi long que les parties à textes.
Globalement, bien que je déplore un peu les dessins monocordes, ce roman graphique est tout de même appréciable, facile d'accès, un peu léger ou plutôt qui va droit à l'essentiel, très rythmé également.
Je le trouve également plus adapté et donc plus accessible à un plus jeune public, la violence (et notamment les scènes de tortures des derniers chapitres) n'étant pas (ou très très peu) représentée, rien de choquant en tout cas (on voit tout de même la poitrine dénudée de Julia à deux ou trois reprises). Ce pourrait être l'occasion pour les jeunes lecteurs, qui ne seraient pas encore en âge ou peu motivés à lire le roman, de découvrir cette œuvre classique d'une autre manière.
Afficher en entierIl y a peut-être une raison pour le manque de couleurs, mais je trouve ça dommage d'avoir des dessins aussi bien fait et qu'il n'y ait que des nuances de gris. D'après moi, les dessins étaient assez expressifs et qualitatifs, pour qu'en plus, il n'y ait pas de couleurs.
Sinon, l'histoire en elle-même est fidèle au roman.
Afficher en entierUn premier tome accrocheur, je suis curieuse de lire les suivants !
Afficher en entierUne suite toujours aussi sympathique, à voir si cela se confirme avec le dernier tome.
Afficher en entierUn dernier tome qui clôture bien la saga.
Afficher en entierLes gens aiment aussi
Dédicaces de Jean-Christophe Derrien
et autres évènements
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Editeurs
Soleil : 27 livres
Le lombard : 12 livres
Glénat : 4 livres
Bamboo Édition : 2 livres
Nucléa² : 1 livre
Glénat BD : 1 livre
Biographie
Né en 1971, le scénariste Jean-Christophe Derrien voit sa carrière décoller dans le 9e art depuis son entrée aux éditions du Lombard. Il se révèle au grand public d’abord avec le double album victorien Miss Endicott avec Xavier Fourquemin.
En fin 2009, il lance une série Poker sous forme d’un thriller dans l’univers du jeu, que dessine le frère de son copain d’enfance, Simon Van Liemt avec qui il avait déjà réalisé une trilogie Incantations chez Glénat.
En juin 2010, il propose sa vision de la résistance française pendant la Seconde Guerre mondiale dans une autre série Résistances avec Claude Plumail au dessin.
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