Marc-Louis Questin
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Note moyenne : 8.17/10Nombre d'évaluations : 6
0 Citations 7 Commentaires sur ses livres
Les derniers commentaires sur ses livres
ce livre est super on apprend beaucoup sur l'origine de la wicca et son fonctionnement
Afficher en entierLivre sur-ligné, bourré de petits papiers et accepté tel quel. Petites illustrations en N&B également appréciables et qui renvoient vers le dictionnaire des symboles, si besoin de plus d'affinité.
Afficher en entierun super livre si on s’intéresse au monde de la Wicca son fonctionnement etc.
Afficher en entierCe n'est pas le meilleur livre sur la Wicca en lecture francophone ... il y'en a de bien meilleurs.
Malheureusement, la plupart des bons ouvrages sur ce thème sont anglophones :/
Afficher en entierUn livre intéressant sur la wicca, les rites et le contexte historique de celle-ci. Donne des outils pratique dans sa pratique et des références.
Afficher en entierLes gens aiment aussi
Dédicaces de Marc-Louis Questin
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Editeurs
Trajectoire : 10 livres
Editions Grancher : 1 livre
Editions Trajectoire : 1 livre
Editions du Rocher : 1 livre
Unicité : 1 livre
fernand lanore : 1 livre
Grancher : 1 livre
Biographie
Dès son adolescence, Marc Questin se lance en littérature. À ses seize ans, en 1969, il autoédite une première plaquette : À William. Elle est suivie, l'année suivante, d'une seconde intitulée William's Cocktail, précédé de : inéditionnellement, œuvres oubliées volontairement ou non. En 1974, à vingt-et-un ans, il publie encore deux plaquettes : L'Ange noir en arc-en-ciel et Les Kalices de Bali. Manifeste tantrique2. Cette dernière est préfacée par le journaliste Alain Pacadis et compte, selon Jacques Coly, « parmi les classiques de la contre-culture hexagonale »3. La notice biographique y précise que Marc Questin préparait alors « une Thèse Nouvelle sur l'Archéologie et une Étude sur DALI : "Raison Pure/Révolte Dure" (Pierre Blanche de l'Artisanat) ».
En 1978, il participe, aux côtés notamment de Michel Bulteau, au tout premier numéro de la revue Bunker, fondée par José Galdo4. Il collabore par la suite au second titre du collectif, Blockhaus, et édite plusieurs nouvelles plaquettes sous son égide : Armageddon (1979), Hiéroglyphiques Incantations (1980), La Traversée du labyrinthe (1980), Norvegicus Polaroïd (1981) et La Nuit des nymphes (Passage au noir) (1982)5. Robert Sabatier, se penchant sur ces textes dans la cadre de son Histoire de la poésie française, note le goût de Questin pour l'inventaire, le narratif et l'immaturité, qu'il associe à celle de Witold Gombrowicz6. À la même époque, Questin contribue également à la revue Sphinx, sous-titrée « Cahiers trimestriels d'alternatives artistiques & culturelles ».
En 1979, il collabore avec le peintre cubain Ramón Alejandro pour un ouvrage intitulé L'Astre des nerfs, qui paraît au Castor astral. Deux ans plus tard, toujours au Castor astral (en coédition avec L'Atelier de l'Agneau), il participe à l'Anthologie 80, dirigée par Jean-Louis Roux et sous-titrée « Bilan et perspectives de la poésie franco-belge-québecoise : auteurs nés après 1930 ». Par la suite, il contribue encore à deux anthologies d'importance : L'Aventure en poésie dirigée par Jean-Pierre Begot (Gallimard, 1984) et l' Anthologie de la poésie mystique contemporaine dirigée Jean-Luc Maxence (Presses de la Renaissance, 1999). Entre 1981 et 1984, Questin collabore à trois des huit numéros de la revue Foldaan, animée par le poète Jacques Josse7.
En 1997, Marc Questin cosigne, avec Charles Dreyfus, Henri-Jean Enu, Florence Roqueplo et Xavier de la Salle, la Résolution constitutive de la 11e internationale surmoderniste, texte manifeste publié dans la revue Inter : art actuel. Le collectif y dénonce la domination culturelle de l'Occident, présentée comme une « prédation » menant à l'absence d'invention artistique, remplacée par la « répétition de reproductions formelles venues d'ailleurs ». Au terme de sa tribune, il exprime le souhait d'une « dégénérescence accélérée de l'Occident » qu'il estime par ailleurs « indispensable à la naissance de la Culture »8.
À partir des années 1990, il change son prénom en Marc-Louis. Il signe sous ce nom ses quatre recueils de poésie : Le Renard de corail (préfacé par l'écrivain Michel Camus et édité par Jean-Luc Maxence aux éditions Le Nouvel Athanor, en 1999), La Vision d'Osiris (préfacé par Thomas Roussot et édité chez Publibook, en 2007), Les Diamants d'Aphrodite (préfacé par le poète Jean Hautepierre, illustré par Jean-Louis Ricaud et publié chez l'éditrice Rafael de Surtis, en 2008) et Le Crépuscule des Otaries (également préfacé par Jean Hautepierre, illustré par Prisca Poiraudeau et paru en 2015 aux éditions Unicité). En 2012, il publie également aux éditions Unicité un premier recueil de nouvelles baroques et décadentes, préfacé par Pierre Brulhet.
Parallèlement à cette activité littéraire, il est aussi l'auteur d'une vingtaine d'ouvrages consacrés aux arts occultes et à la spiritualité, publiés notamment aux éditions Trajectoire. Il en signe plusieurs en qualité de pratiquant, notamment du néodruidisme dont il fut un officiant9.
Marc-Louis Questin est en outre le directeur des éditions Éleusis et de la revue gothique et fantastique La Salamandre. Journaliste, il notamment contribué aux revues Nouvelles Clés, Le Monde de l'inconnu, Contrelittérature, L'Autre Monde, Dragon & Microchips, Chemin de Traverse et Diableries10. Il est également peintre et comédien11, de même que l'animateur du Cercle Dionysos (1997-2000) et du Cénacle du Cygne.
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