Peter James

Une éternité que je n'avais pas ouvert un livre de Peter James.

Mais vous le savez, vous qui attendez patiemment que je vous narre la suite des aventures de Roy Grace.

Dans ce tome 13, Lorna Belling, une coiffeuse à domicile s'évertue à mettre de l'argent de côté dans le but de quitter son mari qui a coché option boxe comme loisir.

Sauf que c'est assez dramatique pour elle dans la mesure où le triste individu se sert de sa femme comme punching ball.

Lorna s'est même mise à vendre des chiots pour arrondir son pécule...

Depuis plus d'un an qu'elle voit un homme censé quitter sa femme pour vivre avec elle, l'avenir s'annonce plutôt radieux.

Le midi, le soir, ils en faisaient des projets dans le studio que Lorna louait pour qu'ils s'y retrouvent.

Mais comme le titre l'indique, Lorna meurt.

Mort violente... sinon il n'y aurait pas de roman.

Roy Grace mène l'enquête avec son équipe.

Entre le mari violent, l'amant inconnu, le type auquel elle a vendu sa voiture qui se pense arnaqué, les suspects ne manquent pas.

Si vous vous en souvenez, dans les tomes précédents, Roy venait de retrouver son ex-femme disparue qu'il croyait morte.

Cette fois c'est fait, et en plus d'organiser les obsèques, il doit récupérer son fils d'une dizaine d'années, ce qui l'occupe un brin.

De ce fait, il laisse l'affaire entre les mains de son subordonné (pas Glenn qui est en vacances, mais Guy, dont c'est la toute première enquête criminelle).

Un très bon polar, comme sait les écrire Peter James, l'un de mes chouchous.

Il y a beaucoup de personnages, mais faites comme moi, laissez couler, la plupart ne font que passer.

Je n'ai pas retenu le nom du légiste non plus, Cloé étant encore en congé maternité.

Pour ceux qui auraient la mémoire courte, elle est mariée à Roy et ils ont un bébé : Noah.

J'espère mettre moins de temps à lire le tome 14.

Et les suivants ne sont pas encore traduits, donc je les lirai en anglais ou bien j'attendrai.

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Un thriller avec du suspens jusqu'à la dernière page. Et une fin qui fait froid dans le dos.

Ce n'est pas le premier livre de Peter James que je lis, et ne nous mentons pas, ce ne sera pas le dernier. Mais j'avoue avoir été quelque peu déstabilisée, même si j'ai beaucoup aimé ce que j'ai lu. On suit ici l'histoire de Jason et Emily qui emménagent dans leur nouvelle maison, pièce maîtresse d'un lotissement dernier cri à la pointe de la technologie. Petit détail mais qui a son importance, il est construit sur l'ancien emplacement d'une grande maison au passé tragique.

J'ai dévoré le livre, clairement. L'écriture de Peter James m'accroche toujours autant, sa façon de faire monter la tension et de rentrer rapidement dans le vif du sujet m'a accrochée de suite et j'ai eu du mal à me résoudre à poser mon bouquin. Les personnages sont bien construits, on aime les suivre dans leur quotidien, les voir interagir avec leurs excentriques voisins d'en face et surtout les voir se perdre entre ce qui est réel et ce qui ne l'est pas. Et le problème, c'est que j'avoue m'être perdue aussi. Arrivée à la fin, je me suis demandée à quel moment tout avait basculé, et même si la conclusion est claire, le chemin pour y arriver ne l'est pas, du moins pas pour moi. Quelques détails m'ont échappés, mais globalement j'ai adoré, je me suis laissée emporter par le tout. J'aurais juste apprécié une délimitation plus nette entre le quotidien et le moment où tout déraille, un déclic qui me fasse me dire "ah ben oui c'est là", même si on a quand même assez d'indices pour deviner la fin.

En tout cas ce fut une bien bonne lecture, j'avais très envie de découvrir ce livre et je ne regrette pas, il m'a juste donné envie de lire un autre livre de l'auteur qui est dans ma pile à lire !

Alors, avis mitigé. J'ai trouvé le début moyen et me suis demandé quand 'l'action' allait venir. A partir du moment où il y a eu davantage de manifestations, j'ai commencé à rentrer dedans. J'étais intriguée, inquiète et je me suis mise à dévorer les pages. De mystère en mystère, d'angoisse à frisson jusqu'à la presque toute fin ! Et puis la fin, donc. Juste la fin. Tout est retombé. Plus fade. J'ai pas compris... c'était si bien, la tension était là, étouffante, parfaite, puis elle s'est essoufflée et éteinte sans atteindre l'explosion. Les mystères le restent et c'est bien dommage ! Ce livre est passé de bronze, à argent, à or pour retomber à bronze brutalement quand il aurait pu se poser dans ma catégorie diamant, mais la fin, le dernier chapitre l'a fait chuter à mes yeux. Je garde le frisson et l'addiction d'une bonne partie cela dit, ce qui est suffisant pour ne pas me faire regretter de l'avoir lu.

Un livre qui ce lis assez rapidement. En ce qui concerne l histoire rien de bien transcendant

Après cet éprouvant Oui-Oui, il me fallait une lecture relaxante et un Peter James m'a semblé un excellent choix.

La maison des oubliés m'a tendu les bras, dans lesquels je me suis empressée de me lover.

Qui dit auteur hors du commun dit récit hors du commun.

Je n'avais pas entre les mains une bête histoire de fantômes et d'esprits lambda.

C'est bien plus profond que ça.

Si vous choisissez de me suivre et de lire ce roman, attendez-vous à être ému, bousculé ; les nerfs à fleur de peau, mais perplexe aussi.

Quelle magnifique demeure, à seulement 15 km de Brighton.

Se dressant entre forêts et vallons à perte de vue, la Maison de Cold Hill s'impose en grande maîtresse des lieux, au sommet de la colline.

À ses pieds, moutons et alpagas paissent tranquillement dans les pâturages de la propriété loués à un fermier.

La famille O'Hare, parents de deux jeunes enfants, viennent d'acheter le "château" comme le dit la petite Daisy quand elle aperçoit la maison que ses parents viennent d'acheter.

Johnny et Rowena savent que beaucoup de travaux les attendent dans leur nouvelle demeure, mais cela ne leur fait pas peur, anticipant leur bonheur futur dans ce coin de paradis.

Alors qu'ils rejoignent le porche de la maison, le vent se lève, la pluie s'abat Rowena distingue le visage d'une femme derrière une fenêtre de la bâtisse.

Peut-être des gens finissent-ils le ménage avant leur arrivée.

Le ciel s'assombrit soudain et un grondement menaçant se fait entendre. Le tonnerre ?

Une ardoise se détache du toit, entraînant d'autres tuiles coupantes en avalanche...

Bah oui ! Fallait pas se garer si près, il faut dire aussi...

Des années plus tard, Ollie, Caro, et leur fille de 12 ans Jade, arrivent à Cold Hill.

Nouveaux propriétaires de la maison, ils ont mis tout ce qu'ils avaient dans son acquisition.

S'attendant à quelques travaux, ils anticipent de belles et heureuses années dans La Maison de Cold Hill.

Les "quelques" travaux se transforment en chantier, la maison n'étant pas décidée à se laisser faire.

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J'avais déjà lu ce loivre il y a des années, mais figurez-vous que je l'ai redécouvert avec autant de sensations que la première fois.

Quel auteur ! Quel génie !

Entre rêve et réalité, le récit m'a emportée, subjuguée, envahie d'émotions contraires.

Les certitudes volent en éclats, passé, présent, futur, se mélangent sans qu'on en ait conscience.

Les personnages sont très attachants. La plume... ai-je besoin d'en parler ? Peter James n'est pas l'un de mes auteurs préférés pour rien.

Les paysages sont décrits à la perfection ; le récit foisonne de détails, sans la moindre longueur.

Il vous attend !

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Ollie et Caro un jeune couple proche de la quarantaine et leur ado de 12 ans s'installent dans une magnifique demeure répondant au mystérieux nom de "Cold Hill".

Ollie est webmaster et confectionne des sites web, Caro quand à elle est avocate. Nos deux tourtereaux ont l'habitude d'acheter des demeures, de les rénover puis de les revendre en se faisant de jolis bénéfices sur chaque vente.

Sauf que là.. "Cold Hill" n'est pas d'accord...

Et c'est le début des emm***s si je puis dire...

En effet, très vite, la demeure va s'avérer un gouffre sans fond qui va accumuler moults problèmes concernant la rénovation, entre la plomberie qui éclate, les murs qui s'effondrent, les ampoules qui éclatent, l'électricité à refaire, etc... notre joli petit couple n'est pas au bout de ses peines !

Et ça c'est sans compter les fantômes qui s'invitent au menu ! Car oui ectoplasmes et poltergeist s'en donnent à coeur joie, les nouveaux propriétaires du manoir n'échapperont aux nombreuses apparitions et phénomènes étranges qui vont peu à peu rythmer leur vie, et la leur rendre infernale. Et ils semblent êtres nombreux ces fantômes...en même temps quand chaque occupant qui achète la demeure, passe de vie à trépas incessamment sous peu, forcément...ça fait une jolie équipe de foot de fantômes 😅 Mais ces invités malvenus sont ils gentils ? ou bien malveillants ? le doute s'immisce dans l'esprit d'Ollie, et si certains des fantômes semblent "pacifiques" d'après sa fille, d'autres n'ont pas la même vision des choses. Ollie voit sa vie devenir un véritable enfer, ses clients lui filent entre les doigts un à un, sa maison tombe littéralement en ruine et avale son argent comme un ado qui dévore sa tartine et il est submergé de visions, d'apparitions et de manifestations paranormales. Caro quand à elle est terrifiée par tout ça, mais semble moins ciblée par les phénomènes.

On suit donc au fil des pages et des chapitres, leur lente descente aux enfers, la peur qui les tenailles, la tension qui leur enserre le cou, les doutes qui effritent petit à petit leurs certitudes. On plonge avec eux dans une mélasse d'ennuis avec cette sensation qu'il est trop tard... trop tard pour s'échapper...de Cold Hill...

J'ai adoré cette lecture, j'ai beaucoup aimé les chapitres qui permettent à la tension de s'installer doucement mais sûrement, on rentre direct dans le vif du sujet et l'auteur sait parfaitement nous mener en bateau.

J'ai supputé et echafaudé des théories tout au long du récit 😅 et là... la fin..qui m'a laissée, je dois l'avouer, un peu sur le cucul...

Trop rapidement bâclée à mon goût car elle n'apporte pas toutes les réponses à l'intrigue. Je comprend le fond mais comme on dit le diable se cache dans les détails et même si je suis assezgros bémol..

C'est comme si l'on disposait une délicieuse assiette de poulet frites du dimanche midi devant vous et qu'une fois dévoré votre poulet on vous retirait l'assiette en vous disant "ha c'est bon t'as bien mangé ton poulet t'es contente ? ben t'auras pas les frites !" 😳😳 c'est la même sensation de se voir privée du "meilleur pour la fin" (car oui on sait tous que les frites c'est la vie ! 🤷).

Quel dommage...j'espère que les quelques personnes avec qui je pourrais échanger sur des groupes de thrillers au sujet du livre sauront certaines sur certains points d'autres restent sans réponses et ça pour moi c'est hélas un me rendre mes frites 👻🍟

Ma.note : 8,5/10

Un jeune homme meurt dans un accident. Sa mère est sûre de l’avoir vu le matin même et des phénomènes étranges commencent à se produire chez elle.

Le début est plutôt prometteur. Une ambiance lourde s’installe peu à peu, les questions s’enchaînent et le suspens monte graduellement. Et puis, malheureusement, comme souvent avec cet auteur, ça ne tient pas la distance. Les incohérences s’accumulent, les personnages ont des réactions qui ne sont pas logiques – plusieurs passent du scepticisme à la peur sans raison apparente pour revenir ensuite au scepticisme – et on commence à s’ennuyer. La fin est quant à elle relativement abracadabrante tout en étant fortement prévisible, ce qui est en apparence paradoxal mais c’est le cas, et je suis ressortie plutôt déçue de cette lecture.

Une intrigue prévisible, des personnages prévisibles, des actions prévisibles...Quand on devine la fin du livre a même pas la moitié, forcément le livre a moins d'intérêt. L'intrigue est trop longue a se mettre en place, je n'ai pas réussi a me plonger réellement dans l'univers, les personnages n'ont pas réussis a me toucher. Certains chapitres sont inutiles très honnêtement bien que la plume soit agréable. Elle est fluide et facile a comprendre, mais globalement je me suis ennuyée en lisant ce livre.

Pour ceux qu'il s'en souviennent, j'avais relu La maison des oubliés pour pouvoir enchaîner avec la suite, 47 Allée du Lac.

Ce vieux et gigantesque manoir hanté avait un charme et une "présence" presque inoubliables.

En tout cas, j'avais beaucoup aimé.

Je me suis donc jetée avec enthousiasme sur la suite, parce que c'est pas le tout, mais je me demandais où étaient passés tous ces morts... fantômes.

C'est kif-kif.

Après l'incendie qui a réduit le manoir en poussière, tout a éé rasé pour construire un lotissement de maisons modernes et classieuses.

Un couple sympathique visite la plus grande d'entre elles et tombe sous le charme dès le premeir regard.

De plus, ça tombe bien, le second étage fait toute la dimension de la maison, des baies vitrées partout... idéal pour un atelier.

Et justement, Jason est artiste peintre. Il commence à se faire une certaine popularité, les clients se bousculent, les galeries lui organisent des expositions.

Au rez-de-chaussée, une cuisine professionnelle a remplacé le garage, ce qui tombe également très bien, puisque la femme de Jason, Emily, est traiteur.

Commande de tout ce qui est électrique à la voix, etc. aménagement de la maison à la pointe de la technologie.

Bon, le bidule tombe en panne dès les 5 premières minutes, mais qu'à cela ne tienne, ça marche même débranché. Sauf que ça marche comme ça veut.

Parce que les entités, qui ont évolué au même rythme que quand ils étaient vivants, font mumuse avec les gadgets.

Je ne sais pas vous, mais moi je suis certaine que j'en ferais autant.

Ils se montrent, parlent, répondent, font du boucan. La durée de leur absence ne les a pas rendus plus aimables qu'auparavant.

Hormis Jason et Emily, dans la maison d'en face, nous avons un couple un peu extravagant que je vous laisse découvrir.

Ils m'ont bien amusée, ces deux-là.

Et puis il y a l'homme au cigare, j'ai failli l'oublier !

J'ai été déçue par ce roman. Les phénomènes se multiplient mais Jason cherche une explication rationnelle à tout ce qui se passe, et la trouve.

Il voit des choses qui ne se sont jamais produites, même si sa femme les voit aussi, puis le nie.

Rencontre des gens apparemment en chair et en os...

Je n'ai pas trouvé l'histoire crédible, je n'ai pas frissonné du tout. J'ai beaucoup ri par moments, c'est toujours ça de pris.

J'attendais quand même autre chose, d'autant que j'aime beaucoup Peter James.

Il s'est sans doute autant amusé que moi, en fait.

Sa plume est toujours aussi belle, mais aucune émotion n'en est ressortie pour ce qui me concerne. Les personnages ne m'ont pas touchée du tout.

Plus qu'à passer au suivant.

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