Véronique Deiss

Un livre d'humour trés chouette. Tous comme les tome precedent mais reste un livre pour les jeunes.

une aventure très drôle du chat assassin, on l'on retrouve vraiment un esprit chat : interdiction de jouer avec les boules du sapin, de grimper dessus, de défaire les paquets, obligation de supporter les invités... les chat assassin enchaine bêtises sur bêtises, pour nous montrer comment il en est arrivé à être enfermé dans le garage. Il faut dire que, le pauvre, doit supporter un trio d'enfant qui veut lui donner le premier rôle dans un spectacle théâtral !

Adaptation en bande dessinée du roman d'Anne Fine...

Très amusant de voir Tuffy en BD mais le texte est dès lors moins accrocheur que dans le livre.

Un esprit de noel facon chat, tout est mélanger mais chaqu'un trouve son bonheur

Adaptation en BD du roman jeunesse éponyme d'Anne Fine. On suit l'histoire de Tuffy, bon chat chasseur, qui ramène un jour le corps sans vie de Thumper, son voisin et ami lapin. Ses maitres, pour ne pas faire d'histoire de voisinage, mettent en place un stratagème afin de de brouiller les pistes d'assassinat.

Mais, comment est réellement mort Thumper ? La rencontre avec la voisine remet les choses en place.

Cette BD humoristique m'a bien fait rire, mais n'ayant pas lu le roman original je ne peux pas comparer.

Deuxième tome de l'adaptation en bande dessinée du roman éponyme, écrit par Anne Fine.

Quand toute la famille part en vacances, en laissant Tuffy, il s'imagine que la vie va être formidable, délivré des contraintes que lui imposent les parents.

Hélas, le pasteur Barnham, qui remplace la "cat-sitter" habituelle a des idées très rigides sur la façon de s'occuper d'un chat, ce qui n'est pas du tout du goût de Tuffy, qui va lui en faire voir de toutes les couleurs.

Heureusement (ou malheureusement ??) la jeune voisine Mélanie rêve que le ciel lui offre en cadeau un petit animal à choyer .... Ces deux-là étaient faits pour se rencontrer !

Troisième et avant-dernier tome de l'adaptation BD des romans éponymes. Dans ce tome la mère de famille se cherche un nouveau loisir et décide de se lancer dans la peinture. Elle prend comme premier sujet : le chat. Bien sûr le tableau est immonde et le chat refuse que son portrait soit exposé dans le salon. S'ensuit une succession d'oeuvres d'art toutes du même acabit, que Tuffy va vite s'empresser de saboter à chaque fois.

Après avoir connu un véritable succès en version roman jeunesse, le chat assassin d'Anne Fine, revient en version bande dessinée pour un quatrième et dernier tome.

Comme à son habitude, ce gros matou égocentrique et narcissique s'attire de gros ennuis. Rien de tel pour imaginer des situations grotesques pour faire rire le jeune public à qui est destiné cette bande dessinée. Tous les ingrédients sont réunis pour passer un bon moment de lecture.

Ce livre est très sympa, comme introduction à la protection de l'environnement. Mais il manque vraiment de mise en perspective.

Quand l'auteur écrit :

"Et tout ça par la faute d'adultes nuls, à cause de la négligence de générations entières de parents irresponsables p. 12. "

("Tout ça", d'après l'auteur, c'est les mers qui s'assèchent, la vache folle, la pollution dans les villes, etc.) (voir extrait publié).

Assener la responsabilité de ces problèmes systémiques aux "parents irresponsables", c'est un raccourci que je ne ferais pas.

Ceux qui détournent les mers (Aral, mer morte, etc) pour irriguer les cultures, c'est tout de même d'abord les politiques, les financiers, les industriels, pas les parents.

Les parents ne sont responsables qu'en bout de la chaîne, par leur vote, leur inertie, leurs choix de consommation, leur laisser-faire, leur aveuglement, leur égoïsme. Tout le monde est responsable, certes, mais à un degré moindre. Tout ça manque de nuances.

Effectivement plus tard, on parle des déchets répandus à travers la ville après un match de foot. C'est là que l'auteur aurait dû évoquer le rôle de l'éducation par les parents au sujet de nos déchets qui se retrouvent dans les égouts, puis dans les rivières, les fleuves, et dans la mer et qui, de façon ultime, tuent très fréquemment les tortues, les oiseaux, les poissons, les baleines, etc. En 2021, les chercheurs dénoncent une hécatombe.

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Donc en conclusion ce livre sera bénéfique s'il est étudié en classe ou accompagné d'une discussion avec les parents.

Sinon, une réédition revue et augmentée serait bénéfique, car édité en 1999, la problématique écologique s'est affinée et surtout est devenue une certitude : 6ème extinction des espèces, la 1ère due à l'homme et réchauffement climatique.

Par exemple l'effet de la consommation de matières plastiques a mieux été mis en lumière, son effet délétère sur la faune est incontestable et dramatique ("continents" de plastique). Et sur ce sujet là, effectivement, les parents par l'exemple qu'ils donnent aux enfants sont les premiers responsables. La pollution plastique des mers vient des continents majoritairement.

Une chose à corriger également, c'est au sujet de la population mondiale. Mathilde utilise le nombre de 6 milliards (en 1999) pour élaborer des calculs savants. Mais le plus important pour l'environnement n'est pas tant la population mondiale à un instant t, que sa progression exponentielle. Par exemple, depuis que ma mère est née, la population mondiale a quadruplé ( 2Md vs 8 Md). Depuis que je suis née, elle a presque triplé. Ce sont des exemples concrets comme ceux-ci qui permettent de comprendre, plutôt qu'un nombre abstrait brut.

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Je recommande néanmoins ce livre. Mathilde est une petite fille très intelligente, qui réfléchit par elle-même et cherche des solutions activement.

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Moi, en plus de la lecture, j'ai colorié les dessins en noir et blanc, qui prennent plus de vie et d'humour.