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Gérard Glatt

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Biographie

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Note moyenne : 7.18/10
Nombre d'évaluations : 11

0 Citations 8 Commentaires sur ses livres

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de Gérard Glatt

Sortie France/Français : 2022-10-06

Les derniers commentaires sur ses livres

Commentaire ajouté par hcdahlem 2016-01-31T16:29:33+01:00
Retour à Belle Étoile

Il faut peut être remonter jusqu’à Sénèque pour trouver le fil rouge de ce beau roman, rude et âpre comme les terres de ce «coin d’Auvergne serré entre Forez et Livradois» où Gérard Glatt situe son nouveau roman. Le philosophe grec explique qu’ «une des plus belles qualités d’une véritable amitié est de comprendre et d’être compris». Et de fait, la chronique auvergnate qui commence quelques années avant la Seconde Guerre mondiale, est d’abord une histoire d’amitié avant d’être une histoire de famille.

Certes tout commence avec le mariage de Cécile Rochette, fille de grands propriétaires terriens, avec Jules Ferrandon, paysan volontaire bien décidé à faire prospérer les terres dont il hérite à peine un an après son mariage, le 11 mai 1935. «A seulement vingt-cinq ans, malgré un service militaire accompli dans les règles et propre à vous bâtir un homme, c’était là d’un paquetage bien lourd qu’il s’était vu confier la charge.» Pour le seconder, il a bien son épouse «bien ardente au labeur» et la belle-mère Louise, même si sa relation avec son gendre n’est pas des plus tendres. Cependant, pour faire prospérer de si vastes terres, il faut d’autres bras. Jules fait appel à Guilhaume Besse, dit le Guilh. Grâce à lui le domaine prospérerait «Le Guilh, c’était pour Jules la meilleure des choses qui pût leur arriver. Deux bras de plus, apparus dans l’amitié, comme une belle étoile.»

La Belle Etoile, l’autre « personnage » de ce roman, est une propriété située à l’autre extrémité du domaine, difficile d’accès et que Jules envisage d’aménager et d’offrir à son ami. Un beau projet imaginé quelque neuf mois avant la naissance de Marguerite, leur premier enfant, mais qui va se heurter à la folie des hommes. Jules et Le Guilh sont mobilisés et doivent laisser l’exploitation aux femmes, aux enfants – un second enfant vient de naître en avril 1940 – et aux anciens. L’avenir s’écrit alors à l’aune des informations qui parviennent au village par les journaux, la radio et par les courriers contrôlés par la censure militaire. La débâcle et les échos des combats ne semblent pas trop affecter ce coin perdu de France. Pourtant, comme en 14-18, le facteur sera l’émissaire du malheur : Le Guilh est tué, Jules est fait prisonnier. La chronique de l’exode prend l’allure d’une famille désorientée qui vient demander sa route et un bout de pain, les exactions des Allemands et de la Milice font planer des menaces qui prennent un jour la forme de la visite d’un officier se proposant de réquisitionner la ferme. Déjà quelques maquisards choisissent de résister.

Quant à Jules, accompagné d’Etienne le Bourguignon et d’Auguste le Picard, il choisit de s’évader et réussira à rejoindre sa terre natale.

Mais la situation est tendue et il n’est pas question de se faire à nouveau prendre. Il ne pourra vraiment retrouver les siens qu’à l’issue du conflit et envisager à nouveau, au milieu des malheurs et d’un nouveau drame familial au début des années cinquante, de revenir à son rêve. Au lieu de labourer, semer et récolter, il va se lancer dans l’élevage de vaches Salers. Mais qui remplacera Le Guilh ?

Celui qui comprendra son projet, presque sans avoir à échanger une parole…

Une belle leçon de vie et une leçon d’espoir dans un monde troublé.

http://urlz.fr/31cF

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Commentaire ajouté par hcdahlem 2017-04-15T15:22:51+02:00
Les Sœurs Ferrandon

J’avais placé Retour à Belle étoile sous l’égide de Sénèque, «une des plus belles qualités d’une véritable amitié est de comprendre et d’être compris». Avec ce second volume qui peut à la fois se lire comme une suite, mais aussi indépendamment, c’est dans Sophocle que l’on peut trouver la dimension tragique de ce récit. Dans Philoctète, le dramaturge grec écrit «la guerre ne veut pas d'un vaurien; c'est toujours les braves qu'elle choisit!». Dans Œdipe-Roi, il poursuit «Or il n'est peines plus amères que celles que l'on a voulues.» Enfin dans Electre, il nous livre ce qui pourrait être la conclusion de ce fort volume : «Le temps est le dieu qui aplanit tout.»

Nous revoici donc dans cette région des monts du Forez, au moment où l’on panse encore les plaies de la Seconde Guerre mondiale. Car tous les comptes n’ont pas encore été apurés, tous les secrets et toutes les trahisons n’ont pas été dévoilés. L’inimitié entre Marguerite Ferrandon et son voisin Jean Chassaigne date aussi de cette époque, alors que tous deux étaient à l’école primaire, et reste tenace. Pourtant la jeune fille aurait fait un beau parti.

Du coup, c’est sa sœur Renée qui va se rapprocher de son beau voisin. La promesse d’un beau mariage permettra peut-être d’oublier quelques temps un autre drame resté très vif, celui de la perte de Paulin, le jeune frère de Renée et Marguerite qui s’est noyé à quelques encablures du domaine et dont la perte reste très douloureuse… pour Renée qui adulait son petit frère et pour Marguerite, l’aînée, qui trouvait pourtant que ce petit frère lui volait la vedette, n’hésitant jamais à faire une remarque insidieuse, à le brimer.

C’est dans ce contexte que le service des armées va se rappeler au bon souvenir de la famille Chassaigne. Jean est convoqué pour l’Algérie. Alors qu’à Paris les gouvernements se succèdent les uns aux autres, incapables de régler le problème Jean bénéficie d’une première permission. L’occasion de revoir sa famille et son aimée, avant de repartir au feu. Et tandis que René Coty fait appel à De Gaulle pour s’occuper de la question, la situation devient de plus en plus délicate sur le terrain.

À la veille de se seconde permission, Jean est pris dans une embuscade et va prendre une balle. « Une balle rageuse que Jean n’aurait pas plus mérité de recevoir que n’importe quel autre appelé du 27e BCA. Une balle gratuite, comme toutes les balles, assez précise, destinée à tuer, et il s’effondrerait de tout son long, le visage bientôt en sang, englué dans une boue épaisse. »

Un peu de chance dans son malheur viendra du chirurgien chargé d’opérer le jeune homme, qui voit dans les yeux de la victime le visage de son propre fils décédé et choisit de le prendre sous son aile protectrice.

Si Jean avait jusque là imaginé faire sa vie au Domaine, il lui faut réviser ses plans. Aux côtés de Renée, il part pour Clermont-Ferrand, obtient son bac tandis que sa femme obtient un certificat de licence en lettres modernes.

Gérard Glatt, en retraçant le quotidien des familles Chassaigne et Ferrandon, réussit le joli tout de force de nous faire comprendre quelles sont alors les failles qui secouent le pays. Entre une agriculture en mutation, le respect de valeurs ancestrales, le cercle de famille qui reste le creuset sur laquelle on forge son destin d’une part et l’aspiration à la modernité, une migration vers la ville, voire vers la capitale et l’envie de «faire carrière» d’autre part. Entre les manuels et les intellectuels, entre les campagnes et la ville, le fossé va se creuser. Entre incompréhension et jalousie, entre secrets de famille et volonté d’émancipation.

Les Sœurs Ferrandon avec leurs contradictions et leurs destins contraires sont du reste comme les frères Chassaigne les personnages qui incarnent, dans leur corps autant que dans leur cœur, ces courants contradictoires.

Avec beaucoup de sensibilité et un joli sens du romanesque, l’auteur démontre que nous avons tous quelque chose de Belle étoile en nous. C’est pourquoi ce roman nous touche. C’est pourquoi on imagine déjà une trilogie. http://urlz.fr/57mY

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La chouette idée d'Alexandre Pluche

Je n’ai pas été embarquée par ce livre. Bien que j’ai souri quelques fois aux mots d’enfants ou à l’évocation de scènes attachantes, la narration portée par un enfant de 9 ans ne m’a pas convaincue. L’histoire n’est pas mauvaise, mais perd en intérêt par la longueur du livre.

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Et le ciel se refuse à pleurer...

C’est à un huis clos oppressant à l’ombre du géant des Alpes, le Mont-Blanc que nous invite Gérard Glatt.

Toute la beauté de la montagne contraste avec l’ambiguïté des personnages, leur noirceur, leur faux-fuyant.

L’auteur signe là un roman éprouvant par la complexité des états d’âmes de ces protagonistes, où les rebondissements roulent comme un torrent furieux dévalant la pente abrupte des sentiments des uns et des autres.

La figure principale de ce livre, bien que décédée, nous hante à chaque page de sa méchanceté, de sa perversité. La psychologie de cette femme qui tend vers la perverse narcissique en devient presque fascinante. Elle nous parle avec sa brusquerie paysanne, en peu de mots, mais toujours avec efficacité.

L’atmosphère, aussi rude que la vie de montagne avec les bêtes peut l’être, est admirablement bien rendue, les descriptions sont riches d’images écrites comme des photos de vacances.

Le doute, cet ennemi pernicieux qui s’infiltre partout, même chez le lecteur, qui court de pâtures en places de village est présent tout au long des pages de ce roman de terroir.

C’est cette mentalité des gens de la terre, de ces familles souvent détentrices de secrets lourds à porter, de non-dits, ces gens pour qui chaque mot est savamment pesé, qui n’en disent jamais trop, où chaque parole prononcée à la valeur qu’on lui accorde.

A travers un suspens admirablement entretenu, l’auteur nous dresse une galerie de portraits aux caractères bien trempés.

L’étude de l’âme humaine semble être pour Gérard Glatt un pur moment de délice scriptural.

On sent qu’il connait ses antagonistes, qu’il sait où il veut les emmener et avec eux, nous le lecteur.

A noter toutefois quelques longueurs au début du livre mais qui sont vite oubliées au fur et à mesure que cette intrigue palpitante se dévoile à nos yeux.

Un roman qui fleure bon la montagne, le foin coupé, l’eau vive et dans ce décor idyllique, qui reflète aussi la profonde détresse des hommes.

©Kariane Maxwell, 17 février 2018

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Et le ciel se refuse à pleurer...

Ma chronique : http://freelfe.blogspot.fr/2018/03/et-le-ciel-se-refuse-pleurer-de-gerard.html

Je tiens à remercier les Editions PRESSE DE LA CITE pour m’avoir fait parvenir le roman de Gérard GLATT, Et le ciel se refuse à pleurer…, dans le cadre d’une opération « Masse Critique » avec Babelio.

Et le ciel se refuse à pleurer… est paru aux Editions Presse de la Cité, Collection Terres de France. Son prix est de 20 euros. La couverture est très belle et nous invite au voyage. L’écriture de Gérard GLATT est très agréable à lire. C’est un livre de bonne qualité avec un bon format d’écriture.

L’histoire se déroule en Haute-Savoie, près du Mont-Blanc, pendant l’été 2016. Joseph Tronchet retrouve sa femme, Germaine, morte, visiblement écrasé par un sapin. Avec cette mort, beaucoup de souvenirs vont réapparaitre, beaucoup de questions restées sans réponses…

Joseph Tronchet est un fermier. C’est un homme simple, que la vie n’a pas forcément gâté. Il épouse très jeune Germaine dont il est follement amoureux.

Germaine Tronchet était une belle femme, infidèle à son mari, méprisante, méchante avec son entourage, vénéneuse.

Antoine est le fils de Joseph et de Germaine. Il a grandi sans l’amour de sa mère qui l’a détesté dès sa naissance. Pourquoi tant de haine ? Heureusement, Edmé, son frère de cœur à toujours été là pour le soutenir.

Dans son roman, Gérard GLATT met en scène une famille qui a toujours vécu dans le tourment.

Un homme follement amoureux de sa femme. Une femme vénéneuse qui n’a jamais aimé ni son mari, ni son fils. Un fils à qui une mère a refusé son amour. Gérard Glatt a su décrire avec beaucoup de précisions ses personnages, tant physiquement qu’émotionnellement. On a vraiment l’impression d’être avec eux tout au long du roman, de ressentir ce qui ressentent.

Beaucoup d’amour dans ce roman, mais aussi beaucoup de haine. Du suspens aussi et ceci jusqu’au dernier chapitre.

Je recommande ce roman pour les sujets qui y sont traités mais aussi pour les belles descriptions de la Haute-Savoie qui y sont faites

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Et le ciel se refuse à pleurer...

http://jldragon.over-blog.com/2018/03/et-le-ciel-se-refuse-a-pleurer-de-gerard-glatt.html

Voilà bon, la sauce n’a pas pris chez moi en ce qui concerne ce roman.

Je n’ai pas aimé, voilà tout.

Les raisons sont diverses.

Nous commencerons par la plume de l’auteur qui ne me convient pas.

Certaines phrases manquent de fluidité en raison de certaines longueurs et de nombreuses virgules.

Dans un roman, je vois les chapitres, les paragraphes et les phrases comme une partition musicale et, dans la musique, ce qui est important, c’est le rythme.

Vous voyez un peu ce que je veux dire ?

Le rythme change tout.

Et dans un roman également, le rythme est important.

Trop de virgules tue la phrase.

Cela peut produire un effet imbroglio.

C’est après mon avis qui reste subjectif, mais le rythme imposé par Gérard Glatt ne me plaît pas.

Je n’ai pas non plus aimé l’intrigue.

En fait, je l’ai trouvé décousue et surtout peu captivante.

Et la fin… C’est confus, un peu, non ?

En raison aussi des personnages qui manquent de profondeur.

En tout cas, on a du mal à s’attacher à eux.

Cette difficulté à s’attacher peut être due au style en lui-même.

À partir du moment où tu n’adhères pas une plume, il t’est difficile d’aimer l’ensemble.

C’est dommage… Mais bon voilà ça arrive.

J’ai eu aussi du mal à m’imaginer en Haute-Savoie…

On va s’arrêter là.

Bon voilà quoi, quand ça prend pas, ça prend pas.

Un peu à l’image du titre d’ailleurs.

Note globale : 08/20

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Dédicaces de Gérard Glatt
et autres évènements

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Editeurs

Presses de la Cité : 6 livres

De Borée : 2 livres

Editions du Signe : 1 livre

France Loisirs : 1 livre

C.Bonneton : 1 livre

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