Gaston Leroux
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Note moyenne : 7.37/10Nombre d'évaluations : 969
2 Citations 544 Commentaires sur ses livres
Les derniers commentaires sur ses livres
Une bonne lecture ! C'est la manière d'entrer la plus fidèlement dans la légende du fantôme de l'Opéra pour découvrir sa naissance et son évolution au sein du livre !
Afficher en entierL’histoire est cohérente, assez bien écrite et sympa. L’enquête est vraiment très bien et le coupable est un choc !
Mais…
J’ai mis 3 semaines à le lire, alors qu’il fait une centaine de page et qu’en général je fais 100 page/jour. En fait j’ai eu du mal à le continuer, j’ai lu un peu, quelques jours plus tard j’ai relu un peu etc…Dommage mais c’est un classique de la littérature française à lire quand même !
Afficher en entierQuand j’ai commencé à lire ce livre je me suis dit « Chouette ! Ça à l’air super ! » et je me suis bien trompée, une fois la situation initiale expliquée, le livre devient lourd, avec des descriptions à n'en plus finir et des passages interminables ! Heureusement, la fin est correcte, mais je ne le relirai plus, surtout que je n’ai rien compris au milieu tellement je m’ennuyais
Afficher en entierDepuis quelque temps, je suis totalement fascinée par l’histoire du « Fantôme de l’Opéra ». Ma découverte du film de Joël Schumacher ainsi que de la comédie musicale d’Andrew Lloyd Webber (dont le film est l’adaptation) y est pour beaucoup. Je suis tombée sous le charme de l’univers, des décors et surtout des chansons. De ce fait, j’ai voulu lire le roman à l’origine de tout cela : « Le Fantôme de l’Opéra » de Gaston Leroux.
Honnêtement, je ne suis pas déçue. La lecture fut très agréable et fluide. L’histoire du Fantôme est passionnante et touchante : celle d’un être difforme, rejeté à cause de sa différence mais qui possède de multiples talents artistiques et dont l’amour pour la belle cantatrice Christine Daaé est profondément tragique. En effet, n’ayant jamais reçu la moindre marque d’affection, sa passion pour la jeune femme vire malheureusement vite à la folie et engendre bon nombre de ses mauvaises actions au sein de l’Opéra.
Je ne pense pas que son vécu soit une excuse à son comportement mais plutôt une réponse. Car l’histoire du « Fantôme de l’Opéra » parlera à toutes les personnes qui se sont un jour senties différentes et rejetées à cause de cela. Erik (le Fantôme) est avant tout un laissé pour compte ayant trop souffert du rejet de la société. Un thème universel en somme, puisque encore aujourd’hui bon nombre de personnes perçoivent leurs différences comme problématiques du fait qu’elles ne correspondent pas aux normes sociales. Leroux nous propose une belle leçon de tolérance et d’humanité car au fond, si les actions du Fantôme sont bien plus monstrueuses que son physique, en vérité, elles sont le reflet des propres défaillances de la société qui, au lieu d’assumer sa propre part de noirceur, préfère la rejeter sur des êtres, des « monstres », qu’elle a elle-même engendrés.
Afficher en entierUn bon roman, mélange de mystère, d'histoire d'amour, d'intrigue policière... avec un fond de tragédie. Un classique qui mérite d'être lu.
Afficher en entierCe livre m'a fait mourir de rire.
Gaston Leroux se moque ouvertement de ses caractères, ce qui m'a étrangement aidée à conserver ma suspension d'incrédulité devant ce récit fantasque et fou.
Je connaissais l'histoire, mais j'ai beaucoup aimé la lire. J'ai détesté presque tous les personnages, et j'ai adoré ça, ce qui m'a beaucoup surprise.
Pour comprendre si la plume de Leroux m'a vraiment marquée ou si mon cerveau a surchauffé, j'ai acheté sa bibliographie - affaire à suivre !
Afficher en entierJ'ai vraiment beaucoup aimé ce roman ! C'était très intéressant d'en apprendre davantage sur ce classique ! Il mérite vraiment d'être lu au moins pour connaître l'histoire du Fantôme de l'Opéra (qui diffère un peu des films vu que Erik est plus "romantisé" dedans)
Afficher en entierUn très bon classique que j'ai aimer parcourir, suivre les pas d'Erik était fascinant. Je n'ai maintenant qu'une envie, suivre ces pas et découvrir tous les secrets de l'opéra
Afficher en entierUn titre de roman à la Sherlock Holmes et un personnage à la Sherlock Holmes mais tout est français dans ce mystère de la chambre jaune. Je ne me souvenais pas de ma première lecture dans mon enfance et j'ai suivi les méandres de l'investigation sans être dérangé par les longueurs ni deviner la fin. Rouletabille n'est pas le plus sympathique des personnages mais je m'y suis habitué. Son caractère et les longueurs vont ennuyer beaucoup de lecteurs en 2024
Afficher en entierGaston Leroux, ou Michel Bussi avant l'heure.
Intriguant que ce roman dans lequel une tentative d'assassinat est commise dans une chambre complètement close.
Mais par où est donc sorti l'assassin ?
Tout au long du roman, Rouletabille tient le suspens.
Comme dans un roman de Michel Bussi, tout est là, sous nos yeux, à portée de mains mais il n'y a pas de pire aveugle que celui qui ne veut pas voir.
Au delà du ton suranné, mais c'est celui de l'époque, le suspens est bien maintenu.
Le roman ne manque pas d'humour.
Rouletabille ne manque pas d'audace.
Un grand classique que j'aurais mis longtemps à découvrir mais qui m'a beaucoup plu.
Afficher en entierOn parle de Gaston Leroux ici :
2018-01-13T01:27:02+01:00
2016-04-22T17:14:26+02:00
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Dédicaces de Gaston Leroux
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Editeurs
LGF - Le Livre de Poche : 16 livres
Gallimard : 7 livres
Flammarion : 3 livres
Gallimard Jeunesse : 3 livres
RBA : 3 livres
Le Serpent à plumes : 3 livres
Amazon Publishing : 3 livres
Pierre Lafitte et Cie : 2 livres
Biographie
Gaston Louis Alfred Leroux, né à Paris le 6 mai 1868 et mort à Nice le 15 avril 1927, est un romancier français, connu surtout pour ses romans policiers empreints de fantastique.
Il est élevé en Normandie et suit sa scolarité au collège d'Eu. Après avoir obtenu le baccalauréat de lettres à Caen, il s'installe à Paris en octobre 1886 et s'inscrit à la faculté de droit. Il devient avocat en 1890 et exerce cette profession jusqu'en 1893. Pour arrondir ses fins de mois, il écrit des comptes rendus de procès pour le journal L'Écho de Paris.
Sa relation du procès d'Auguste Vaillant, auteur de l'attentat de la chambre des députés, tombe sous les yeux de Maurice Bunau-Varilla, directeur du journal Le Matin, qui propose à Leroux de devenir le chroniqueur judiciaire de ce quotidien, à l'époque le plus important de Paris. Leroux a ainsi l'occasion de suivre le procès de personnages qui auraient pu figurer dans ses romans, en particulier les anarchistes poseurs de bombes. À partir de 1901, devenu grand reporter, il effectue de nombreux voyages en France et à l'étranger, notamment en Espagne et au Maroc. Au Matin, il fait paraître en 1903 un feuilleton, Le Chercheur de trésors, qui paraît l'année suivante sous le titre La Double Vie de Théophraste Longuet. De juin 1904 à mars 1906, il est l'envoyé spécial permanent du Matin en Russie et assiste, à ce titre, aux sanglantes prémices de l'écroulement de l'empire des tsars.
En 1899, il épouse Marie Lefranc, dont il se sépare très vite. En 1902, il rencontre Jeanne Cayatte à Leysin, en Suisse, avec qui il vit bientôt maritalement et dont il a deux enfants, Alfred Gaston, dit Miki, né en 1905, et Madeleine, née en 1908. Marie Lefranc ayant fini par accepter le divorce, il épouse Jeanne en 1917.
Son roman le Mystère de la chambre jaune, chef-d'œuvre d'ingéniosité qui inspirera les surréalistes, lui vaut le succès en 1908. Il continue à écrire des romans dans la même veine, Le Fantôme de l'Opéra en 1910, La Poupée sanglante en 1923 et la série des Chéri-Bibi à partir de 1913. Son dernier roman, Mister Flow, paraît en 1927.
Son personnage Joseph Rouletabille, jeune apprenti reporter à l'intelligence déductive hors du commun, qui apparaît pour la première fois dans le Mystère de la chambre jaune, devient le héros d'autres romans tels que Le Parfum de la dame en noir, Rouletabille chez le tsar et Le Crime de Rouletabille.
En 1918, avec notamment René Navarre, l'interprète du Fantômas de Louis Feuillade, et Arthur Bernède, il fonde à Nice la Société des Cinéromans. Avant qu'elle ne soit rachetée par Pathé-Cinéma, il contribue à titre de producteur, scénariste et raconteur (dans Le Matin) aux quatre premières productions de cette société :
* La Nouvelle Aurore (1919), 16 épisodes
* Tue-la-mort (1920), 12 épisodes, dans lesquels sa fille Madeleine, âgée de 13 ans, tient le rôle de Canzonetta
* Le Sept de trèfle (1921), 12 épisodes
* Rouletabille chez les bohémiens (1922), 10 épisodes
Les œuvres de Gaston Leroux ont fait l'objet de nombreuses adaptations au cinéma, à la radio et à la télévision.
Gaston Leroux a été par ailleurs un adversaire résolu de la peine de mort, contre laquelle il a milité notamment à travers sa pièce La Maison des juges.
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