Jody Revenson

Un tome qui ravira tous ceux avides de trivia que Harry Potter et qui met en lumière le formidable travail de Stuart Craig et son équipe au cours de toute une décennie.

L'architecture changeante de Poudlard, la minutie des éléments, le décor des Highlands... Truculent !

Ce livre est super, autant par le visuel que par ce qui est écrit. Il y a quand même pas mal de personnage (professeurs, personnel et même fantôme), il y a plein de "secrets" de fabrications des costumes, des détails pour les baguettes des professeurs, des croquis des tenus, parfois des échantillons de tissus,...

Bref, pour les fans qui veulent en savoir plus sur cet univers, ce livre est la pour ça.

Un sublime livre de collection qui nous en apprend beaucoup sur le tournage des films. Je suis fière de l'exhiber dans ma bibliothèque !

De manière générale, on ne peut pas dire que ce livre est une mine d'informations dans le sens où il récapitule principalement les événements marquants des films, en les replaçant dans un lieu donné. Quelques anecdotes retiennent malgré tout l'attention et c'est aussi intéressant de voir comment le château a évolué au fil des films, et pour qu'elles raisons. J'aurais juste aimé plus de photos sur l'envers du décor, quand bien même les illustrations sont agréables à regarder.

Un livre créatif sur l'univers de Harry Potter, et tout spécialement sur Dobby, je me devais de le posséder pour allier lecture et loisir créatif.

Nous avons donc un kit en bois pour construire la maquette de Dobby sans colle ! Ludique et accessible même aux plus jeunes. Ajoutez à cela un guide sur le personnage fort intéressant et vous avez un super combo qui plaira à tout grand fan de l'univers de J.K. Rowling.

De prime abord, ce n'est pas le plus affriolant des sujets a fortiori quand on a déjà lu le "Quidditch à travers les âges". Pourtant, je suis toujours soufflée par l'ingénuité des graphistes, des accessoiristes et des équipes de Stuart Craig, chef décorateur.

C'est étonnant le nombre de concepts et d'éléments qu'il faut imaginer à partir des vagues descriptions des livres. Et c'est sans compter sur les détails qui ne rendraient pas bien à l'écran ou sur la façon dont rendre le tournage possible !

Par exemple, les gradins de la seconde tâche au beau milieu du lac et dont il n'est pas fait mention à l'écrit. Ou alors l'œuf de la première tâche qui est uniquement décrit comme "une chanson" et qu'il a fallu créer de toutes pièces. Les dents en or de Rita Skeeter qu'on remplacera par un diamant, plus chic tout de même. Voire la doublure de Madame Maxime qui n'est autre qu'un basketteur déjà bien grand, juché sur échasses et surmonté d'une tête d'animatronique. Oui, ça commence à faire beaucoup !

Il y a peut-être moins de texte que dans les ouvrages précédents mais les concept art et les anecdotes bien choisies compensent largement.

Un tome truffé d'anecdotes sur nos membres de l'Ordre du Phénix et les Mangemorts préférés (même si Greyback, Rogue ou encore McGonagall sont évoqués dans d'autres tomes).

La part belle est donc faite aux costumiers ainsi qu'aux acteurs (très impliqués) qui développent la garde-robe de leurs personnages à mesure qu'ils travaillent leurs rôles.

Citons par exemple les tenues nigérianes de Kingsley ou l'iconique canne de Lucius.

C'est également l'occasion de s'attarder sur des baguettes moins connues mais ô combien intéressantes ainsi qu'aux différents styles de combat avec baguette (ce qui s'apparente beaucoup à l'escrime).

En bref, c'est dommage qu'il y manque un peu de monde.

Un tome qui se lit plus rapidement que les autres dû au grand nombre de documents photos et à très peu de texte.

Juste de quoi s'émerveiller de l'ingéniosité de l'atelier des créatures et des artistes numériques.

En bref, plein d'exemples parlant pour ceux qui voudraient se lancer dans le concept art.

Ah ! Les villages et maisons de sorciers ! Pile de quoi donner envie d'aller crapahuter parmi la campagne britannique... ou de se mettre au maquettisme, au choix.

Parce qu'en plus d'anecdotes sur la conception et le tournage de ces lieux emblématiques - comme les mouvements véritables de la Cabane Hurlante qui a donné le mal de mer à certains acteurs - c'est l'occasion de s'attarder sur les secrets de leurs décors.

Si on propose un jour une expérience VR à fouiner chez les sorciers, je suis partante !

En bref, pour apprendre que la table de Square Grimmaurd fait 6 mètres de long ou qu'Alan Rickman a fait retirer les tableaux de l'impasse du Tisseur parce que Rogue n'aurait jamais fait ça, c'est par ici !

La tant attendue édition spéciale professeurs de Poudlard !

Admirer les bottines de McGonagall, les prothèses de Flitwick ou la robe de chambre de Slughorn, c'est fait !

Un tome qui fait évidemment la part belle aux costumiers même si la prouesse derrière l'œil artificiel de Maugrey vaut le coup d'être connue.

En bref, un tome qui n'a rien à envier aux précédents et qui n'oublie pas non plus les fantômes (même ceux qui n'apparaissent pas à l'écran comme Peeves...).