Angel Arekin

Oulalala... j'ai eu bcp de mal à le lâcher ce livre !!

J'ai bien aimé la plume poétique de cette auteure. Elle nous fait ressentir les sentiments, émotions des personnages de façon remarquable. J'ai eu le ventre noué et les larmes aux yeux de nombreuses fois.

L'histoire d'Evi et Souline est magnifiquement douloureuse.

La profondeurs de leurs sentiments est sans fin...

Leur histoire d'amour commence dans un passé bien sombre qui est rappelé sous forme de flash-back.

La musique à une place très importante dans l'histoire, ce qui fait de la playlist associée un élément important (pour moi 😊).

Elle est très bien faite... j'ai adoré me plonger dans le livre, mon casque sur les oreilles, l'immersion est totale pour moi...

Si vous aimez les belles histoires d'amour torturés je vous recommande ce livre 😊

J'aime Angel Arekin! Ca c'est dit!

Elle m'a encore une fois transporté dans cette histoire bouleversante qui traite de sujets beaucoup trop lourd émotionnellement.

Comment ne pas s'attacher à Evi et Souline? Une enfance tourmentée, deux jeunes vies abîmées et un futur habité par un amour intense et sans limites.

L'intrigue de se roman vous tiendra en haleine du début à la fin.

Réservé à un public avertit!

Trop de répétitions ça traîne en longueur surtout vers la fin du livre je trouve ... le début est top et après le souffle retombe très vite c'est dommage. je suis légèrement déçue, peut-être en attendais-je trop ? Je ne sais pas mais je ne dénigre absolument pas le travail de l’auteure qui a une plume vraiment remarquable, mais je n’ai pas été entraînée dans l’histoire malheureusement. Je tournais les pages sans vraiment de conviction, la seconde partie au moment où on aborde le présent et le passé m’a quand même beaucoup plu car on arrivait un peu plus à comprendre le fond de l’histoire et je voulais avoir des réponses à mes questions.

Souline et Evi, deux adolescents, dont leur amour les a empêchés de se noyer parmi les terreurs et la honte qui régnait au sein de Fersac, établissement religieux. Tandis que l’une a pu échapper à ce climat néfaste et devenir une violoniste célèbre, l’autre a continué de côtoyer les ténèbres.

Souline a su se relever des épreuves qu’elle a vécues là-bas, même si quitter Evi a été une déchirure et qu’il lui a toujours manqué quelque chose pour être entière, elle a réussi sa vie. Alors quand quinze ans plus tard, le destin la ramène vers lui, elle cherche à comprendre pourquoi il n’a pas tenu ses promesses. Evi qui est bien loin du jeune garçon qu’elle a connu. C’est un homme bien plus sombre qu’elle retrouve, mais elle est bien déterminée à percer tous ses secrets. C’est une femme qui sait ce qu’elle veut, on pourrait la croire fragile mais une force l’anime ! Evi est bien plus énigmatique, quelque chose d’obscure se cache en lui. Il va tout faire pour la rejeter, pour quelles raisons ? Je vous laisse le découvrir en lisant cette histoire.

Angel nous offre ici une incroyable histoire d’amour, je n’ai pas lu ce livre, je l’ai vécu. Mon cœur, mes tripes se sont broyés plus d’une fois en lisant certains passages. J’ai eu mal, pour les Souline et Evi adolescents mais également pour les adultes qu’ils sont devenus. Quoi qu’il arrive, on ne guérit pas toujours du passé…

Cette lecture confirme qu’Angel est une de ces auteures incontournables, elle a une plume incroyable et la psychologie de ses personnages est toujours poussée. Pour moi, ce livre signe un nouveau coup de cœur.

Si vous pensez avoir le cœur assez accroché, laissez-vous entraîner par le son du violon et par la mélodie d’un amour teintée de notes pourpres.

La suite de la famille Mordret. Belle écriture mais en effet ce n'est pas le meilleur de cette famille dysfonctionnelle. Je l'ai quand même bien aimé !

Encore un coup de maître signé Angel Arekin ! Ce roman, j’en ai beaucoup entendu parler, notamment sur l’engouement pour un personnages en particulier. Je ne comprenais pas pourquoi, surtout qu’on le croise dans Hot Blood et qu’il n’a absolument rien d’appréciable. Et maintenant que j’ai lu Hot Gun, je comprends pourquoi :’D C’est un coup de cœur !

Au-delà d’une plume incroyable, Léni a le don pour créer des personnages dont la psychologie est fascinante et criante d’humanité. Personne n’est tout blanc ou tout noir, tout est un nuancé de gris. Chacun de ses personnages possèdent ses blessures, ses faiblesses, ses bons côtés, et sa propre noirceur. Dans Hot Gun, les notions de méchant et gentil s’entremêlent pour offrir une histoire complètement déjantée à la poursuite de diamants volés ; et avant de pouvoir le décider, je me suis retrouvée propulsée sur les routes poussiéreuses du Nevada en compagnie de quatre personnages aux allures particulières.

Hot Gun est un roman spin off dont l’action se déroule entre le dernier chapitre et l’épilogue de Hot Blood. A mon sens, il n’est pas forcément nécessaire d’avoir lu Hot Blood avant pour comprendre Hot Gun. Mais mon esprit étroit et étriqué dira que si, quand même, c’est bien de lire Hot Blood avant (et parce qu’il est génial, aussi !) :’D On retrouve donc trois personnages dont on a précédemment fait la connaissance de manière plus ou moins brève : Johnny (John), Cheyenne et Marley. Et on va aussi faire la connaissance de Lilotte, propulsée presque à son insu dans toute cette histoire qui lie fatalement les trois autres. L’histoire est simple : un sac de diamants volés, une lourde dette auprès d’un cartel colombien qui n’hésitera pas à envoyer tout ce beau monde bouffer les pissenlits par la racine. Ils ont une semaine pour tout arranger et c’est dans un road trip entre Las Vegas et les réserves indiennes alentours qu’on se retrouve embarqué.

Le roman alterne entre les points de vue des quatre personnages. Mais pas de panique, Léni maîtrise son histoire avec art et grande dextérité. A aucun moment je ne me suis perdue entre cette alternance. Bien au contraire. Et puis, cela nous permet de connaître nos quatre larrons et de rentrer dans leurs têtes. Et honnêtement, parfois, ce n’est pas toujours beau à voir :’D Johnny, c’est le petit frère de Siana (cf. Hot Blood). Détruit par la mort de ses parents ainsi que son enfance passée loin de sa sœur, John donne l’impression d’être une coquille vide. Il ne sait générer que de la colère, et ne s’ouvre réellement qu’à sa sœur et à Cheyenne dont la première rencontre a laissé un souvenir gravé dans le marbre. Il cache un homme tendre et protecteur qui sait se montrer doux et patient envers celle qui semble faire battre son cœur. Cette dernière a énormément subi par son père et son oncle. Douce et renfermée, Cheyenne ne sait plus ce qu’est vivre, mais survivre. Elle n’a absolument aucune confiance en elle, et pour cause, les sévices ont malheureusement eu raison de son image – ou plutôt ce qu’elle pense être son image. Elle aborde un masque de façade qui la rend vide de toute expression, comme si elle était morte. Lorsqu’elle a eu l’opportunité de prendre la poudre d’escampette, elle l’a saisie, même si cela provoque le début des emmerdes avec Marley. Lui, il est impulsif, arrogant, têtu, et complètement imprévisible. Son truc, c’est la coke, et les femmes de caractère à la silhouette pulpeuse. Il peut aussi être drôle, et hyper sarcastique. Il adore fait le mariolle, et pour cause, c’est son moyen à lui de cacher ses sentiments. Mais ce qu’il ne faut surtout pas oublier de Marley, c’est qu’il est aussi un tueur sans âme. Il n’apprécie pas qu’on la lui mette à l’envers, et il est prêt à tout pour récupérer ce qu’on lui a volé, que ce soit de coller une balle dans la tête d’un ennemi, que de faire une alliance improbable avec une deux âmes en cavale et une hippie prête à tout pour protéger ses amis. Elle, c’est Lilotte, elle étudie les peuples indiens, elle est végétarienne, contre la violence, et elle possède une sacrée répartie lorsqu’il s’agit de tenir tête à Marley dans ses délires. C’est celle qui n’a rien demandé à personne mais qui va s’avérer être plus qu’utile à des moments précieux de l’histoire. Elle donne souvent l’impression d’être un pilier inébranlable, elle est la copine dont Cheyenne a besoin pour surmonter ses peurs, et se battre pour garder auprès d’elle celui dont elle a le plus besoin.

L’intrigue est hyper bien menée. C’est haletant et à l’image d’une course contre la montre, on n’a pas le temps de s’ennuyer. On apprécie même les rares pauses que nos personnages peuvent s’offrir afin de pouvoir souffler avec eux. Les rebondissements arrivent toujours à point nommé, le suspense est toujours mené jusqu’à son comble, les situations rocambolesques, complètement hilarantes. C’est déjanté et à la fois bien ficelé. Rien n’est laissé au hasard, rien ne peut être remis en question. Et puis, la plume de Léni se prête totalement à l’exercice en plus d’être pleine d’humour qui permet de rendre cette histoire loufoque à souhait. On se prête tellement facilement au jeu qu’on n’a pas envie de quitter cette histoire de sitôt – et en même temps, c’est tellement additif que c’est difficile de lâcher le bouquin pour espérer le faire durer dans le temps :’D

Le langage courant des personnages, à la fois cru et sincère apporte un côté très réaliste à l’histoire. Mais ce que je préfère chez cette autrice, c’est aussi la manière dont elle réussit à véhiculer les émotions et à me les faire ressentir. A chaque fois, j’ai l’impression d’être le personnage (peu importe lequel), s’il a un pincement au cœur, j’en ai un aussi, s’il a du mal à respirer, le souffle en vient à me manquer… La colère, la haine, la peur et la honte se côtoient et s’entremêlent. Elles créent des tensions entre les personnages. Personnellement, j’ai été prise au ventre, mais aussi au cœur. Le moche se mélange aussi au beau, parce que malgré tout, il y a l’amour, la puissance des sentiments, et l’amitié. Malgré ce qu’on peut croire au début, nos quatre personnages vont finir par former une unité indissociable. On n’a pas envie de les voir se séparer. Fatalement, on en redemande encore, comme des camés qui ont besoin de leur dose quotidienne. Mais Léni a su comment terminer son histoire en nous donnant le sourire, et l’idée que les folles cavalcades ne se termineront jamais.

Très bon livre

Cette lecture m'a été conseillée par mon chéri. J'avoue que je n'en avais jamais entendu parler et je pense que je ne l'aurai certainement pas lu de moi-même.

L'univers est dans les faits assez basique pour de la fantasy. Des querelles entre royaumes qui mènent à une guerre, une paix fragile est instaurée, mais un ennemi puissant arrive et veut tout posséder... C'est simple mais efficace, comme souvent.

Il s'agit du premier tome d'une série et forcément, il y a les bases de tout un univers à poser. J'avoue ne pas avoir tout assimilé encore, mais ça a été intéressant de suivre les débuts de Seïs en tant que Tenshin. Alors qu'est-ce qu'un Tenshin vous allez me dire. Eh bien il s'agit d'un guerrier immortel au service des plus grands. On découvre donc tout l'apprentissage de ces jeunes hommes sélectionnés pour tenter leur chance. J'aurais toutefois souhaité que cela soit plus poussé. Il n'y a au final que peu de scènes pour 5 années de vie et celles présentes étaient souvent trop longue. J'aurais préféré qu'elles soient plus courtes mais plus nombreuses. Du coup j'ai cette impression de ne pas connaître les autres apprentis puisqu'on ne voit jamais Seïs interagir avec.

Dans ce roman on a deux points de vue. Celui de Seïs et celui de Naïs. J'avoue que malgré le fait qu'ils étaient moindre, j'ai préféré les passages sur cette dernière. Ils étaient plus intéressants, il y avait plus d'action, et c'est un personnage fort. Seïs aussi est un personnage fort, mais il est aussi très agaçant. Toujours à faire son intéressant, à se plaindre...

Certains passages de narration m'ont un peu dérangée. À aucun moment il est précisé que les personnages nous racontent leur passé, hors, à plusieurs reprises, ils nous parlent de choses qu'ils ne sont pas censés encore savoir. Par exemple, lorsque Seïs rencontre les autres apprentis, il nous parle directement de leur passé ect alors qu'il ne les connait pas du tout à ce moment là. Et il y avait parfois beaucoup trop de détails donnés d'un seul coup et j'avoue que j'ai oublié certaines choses à cause de ça car j'avais trop à assimiler.

En conclusion, il y a des moments que j'ai trouvé vraiment longs, qui m'ont fait douter de mon appréciation finale, mais d'autres mon vraiment donné envie de découvrir la suite. Je ressors donc de cette lecture avec un bon sentiment, mais ce ne fut pas non plus un moment inoubliable. Mais comme la suite m'attend dans la bibliothèque, j'ai tout de même hâte de me replonger dans cette histoire.

Et encore un ovni de romance sombre pour Angel Arekin où la phrase « aimer à la folie » prend tout son sens ! Un amour forgé dans la souffrance comme le dit si bien l’autrice, elle m’a encore baladée, malmenée, au cœur des cerveaux torturés de ses personnages ! Une excellente lecture, encore une fois…

Ce deuxième tome me conforte dans mon amour pour cette saga, qui correspond en tous points à ce que j’attends d’une fantasy : il y a un savant mélange entre la complexité de l’univers et la profondeur des interactions entre les personnages. Le tout est sublimé par la plume de l’autrice qui est franche, impactante, immersive, sans perdre sa poésie. Ce tome pose encore les bases et s’avère plus politique que son prédécesseur. La tension monte d’un cran. Il y a encore tellement d’interrogations, de révélations à venir, de combats imminents, de magie à explorer et exploiter ! Seïs et Naïs en ont bavé dans ce tome et ce n’est sans doute que le début. Je soupçonne leur évolution incroyable, ensemble ou séparés ! Tout ne semble pas aussi manichéen qu’il n’y paraît… Je sais que j’aime un livre quand même ses lenteurs me semblent lues trop rapidement.