Beatrice Masini

Ce roman n'est à l'évidence pas un livre d'action mais le récit de vie de deux fillettes, vivant au même endroit à deux époques différentes et qui ont des aspirations diverses. Il est bien mené de bout en bout, tendre, amusant, les personnages sont très attachants, y compris celui du vieux comte, avec un coup de coeur pour la fillette du Moyen Âge. Je le conseille vivement.

J'ai été très déçue par ce roman car j'avais eu envie de le lire après avoir lu de bonnes critiques à son sujet.

Je ne l'ai pas compris même en le relisant !

Je me suis forcée à le lire deux fois en faisant bien attention. Je me suis dit que c'était peut-être la traduction, mais je ne vois pas pourquoi car c'est bien rédigé. Alors je ne comprends pas.

Le découpage est très maladroit et le prologue nous embrouille. Une fois le livre terminé, je l'ai relu et je n'ai toujours pas compris.

Les personnages sont froids. A aucun moment je n'ai été émue par leur histoire. Spoiler(cliquez pour révéler)Il y a même un viol..et on ne sait pas qui le fait...J'ai été horrifiée par l'acte mais l'auteure n'arrive même pas à ce qu'on soit touchée pour le personnage: c'est inadmissible

Il y a de nombreuses références culturelles si bien qu'il a fallu sortir le dictionnaire...Ce serait bien de mettre des explications en bas des pages, non?

Le sujet est pourtant original avec cette jeune peintre, et puis il est question d'un épisode historique important mais même là on n'adhère pas à l'histoire des révolutionnaires qui sont fades...

Je pense que c'est le style de l'auteure qui ne convient pas car à force de vouloir découper et éviter de nommer les personnages, on s'y perd.

Quel dommage!

A la lecture de la 4ème de couverture je m'attendais à tout autre chose. Or je découvre un roman à l'eau de rose ce qui n'est pas mon truc. Grosse déception

L’Aquarelliste se découvre lentement, posément. Il n’est pas de ces chatoyantes fresques historiques modernes, pleines d’action, de gloire et de passion ; il évoque plutôt les sentiments feutrés et les soupirs, avec art et poésie. L’histoire se développe par à-coups, passant soudainement de calmes et innocentes semaines régies par les fleurs autant que par la famille à des drames, petits ou grands, qui émaillent le séjour de Bianca en Lombardie.

Il m’a bien fallu une vingtaine de pages pour m’habituer au style fait de suggestions, de métaphores et d’allégories, mais une fois cela fait je n’ai pu qu’admirer son élégance et la maîtrise dont fait preuve Beatrice Masini.

12.5/20

J'ai terminé ce livre la nuit dernière et je suis ressortie un peu abattue de cette lecture. J'ai vraiment une impression d'inachevé et la fin est si décevante.

On ne comprend pas le pourquoi du comment. Pourquoi ces enfants sont enfermés là ? D'accord, il y a eu une bombe atomique qui a tout détruit et ils se sont retrouvés tous plus ou moins orphelins. Mais pourquoi sont-ils donc enfermés ici ?

En fait, je n'ai pas compris le sens de l'histoire.

Bon, reprenons du début. Ce sont des enfants, orphelins ou de laboratoire, répartis en groupe dans une Base, livrés à eux-même et que des adultes surveillent de très loin. Ça m'a beaucoup rappelé le Labyrinthe de James Dashner au départ.

Le livre est divisé en trois parties, Spoiler(cliquez pour révéler)la première quand ils sont encore dans le camp, la deuxième quand ils partent enfin, et la troisième quand ils sont forcés de retourner au camp.

La première partie est longue. Il ne se passe tout simplement rien. Dès lors, je pensais que l'action commencerait à la deuxième partie mais je me trompais encore ! Je pensais qu'on allait voir Spoiler(cliquez pour révéler)leur périple loin de la Base etc. mais non, ils décident de s’arrêter à quelques km et de s'installer là. Je veux bien que ce soit des enfants mais ils ne sont pas très futés ni très aventureux. Donc, pendant une bonne centaine de pages, l'auteure nous raconte leur nouvelle petite vie dans la clairière dans laquelle ils ont élu domicile et ce n'était pas très intéressant.

Le pire, ça reste la troisième partie : ils reviennent au camp ! Tout ça pour rien. Moi qui pensais que ce petit groupe d'enfants allaient changer le monde ou au moins, changer leur vie et élucider ces mystères autour de leur perte de mémoire. Encore une fois, Amel, tu avais tort ! Et le fait que leur petit groupe soit séparé à la fin, que chacun parte avec les gens qui les ont adopté... Je ne sais pas, j'ai pas compris.

Comme je disais plus haut, on ne comprend pas le pourquoi du comment. Je n'ai même pas su comprendre clairement si cette histoire se passait sur Terre ou sur une autre planète, avec le délire de "Pionnier", d'Aster vert et de je ne sais quoi d'autres.

Et pourquoi les adultes droguaient-ils les enfants pour anesthésier leur mémoire ? Que cachaient donc leur mémoire ?

C'est comme si l’histoire n'avait aucun but car au final, on a aucun contexte qui nous permettrait de replacer cette histoire. Ce livre n'a aucun fond.

La seule conclusion, à la limite, que je peux tirer à l'issue de cette lecture, c'est que ces enfants de la forêt, qui ont tenté de s'échapper, se sont apparemment mieux sortis que les autres.

C'est dommage, j'aurais bien voulu que l'intrigue soit plus développée car avec un sujet comme celui-ci et des personnages si attachants comme Tom, Hana et même Jonas, il y avait vraiment de quoi faire.

Pour moi, ce bouquin n’est pas le meilleur de sa catégorie et je le trouve fort peu documenté pour un roman historique. En effet, les références brillent par leur absence, si bien que la fiction prend le dessus. Cependant, il se lit bien et m’a emmené dans l’univers de l’auteure, teinté de contes de fées qu’elle égraine çà et là comme un rappel à ses précédents écrits. Tout ceci, porté par un protagoniste féministe avant-gardiste donne toutefois un effet rafraîchissant à l’ensemble.

Le style poétique demeure son grand point fort, car il adoucit les choses les plus horribles qui se produisent dans la vie de ces femmes. J’ai eu l’impression qu’elle tentait d’imiter les grands classiques de la littérature en plus simple, comme pour fédérer tous les âges.

Enfin, dans une note, la romancière explique comment lui est venu l’idée de ce roman et apporte un peu de crédibilité. Néanmoins, ça change radicalement le rôle des personnages et enlève, malheureusement, un peu de charme à la narration. Sorte de pied de nez aux idées reçues, ce qui apparaît comme important ne l’est pas forcément. Si vous désirez lever ce dernier mystère, il vous faudra, encore une fois, passer outre les apparences.

Chronique complète :

https://biblideleona.wordpress.com/2017/10/09/roman-historique-laquarelliste-par-beatrice-masini/

a la fin c'est tros énervent

Ce petit album propose 101 bonnes raisons d'apprendre une langue étrangère. Le duo Masini/Long décline, en mots et en images, de nombreuses raisons d'aimer parler d'autres langues pour communiquer avec d'autres personnes et découvrir d'autres mondes.

Entre documentaire et bande dessinée, le texte et les illustrations, en noir et blanc, se complètent parfaitement, souvent de façon humoristique, dans une panoplie de réponses savoureuses et farfelues. On peut citer quelques exemples tels que : « On peut écouter des chansons sans qu'elles soient seulement du bruit. C'est mieux de bien comprendre ce qu'elles disent », « On peut apprendre [...] les expressions. Parfois, elles sont absurdes, oui. Mais très amusantes » (le dessin illustre l'expression anglaise « It's raining cats and dogs ») ou encore « On peut voyager seul, avec une carte et un sac à dos, sans trop se perdre ».

Un livre qui plaira aux petits comme aux grands.

De la délicatesse et de la finesse dans cet échange épistolaire de deux adolescents qui découvrent l’amour.

Un lecteur qui est déçu est un lecteur qui n'a pas encore trouvé le livre qui lui convient. Même si ce livre est destiné aux enfants de plus de 6 ans, c'est un livre qui rend l'utilité aux autres livres en ajoutant une touche d'humour.