Walter Lucius
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Note moyenne : 7.67/10Nombre d'évaluations : 3
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Je quitte un peu les polars nordiques et je me lance cette fois sur un policier Néerlandais. Très bonne surprise. Ça vaut un bon policier suédois. Et c'est un compliment. Un petit regret, c'est que l'auteur nous laisse dans l'attente de la suite de l'histoire. Mais c'est jouissif comme d'habitude dans ce genre de situation.
Afficher en entierUn livre vraiment complet, haletant! 700 pages et pas un seul émis mort!
Afficher en entierhttps://mademoisellemaeve.wordpress.com/2017/05/31/un-papillon-dans-la-tempete-walter-lucius/
Ma lecture des romans de DOA, il y a quelques semaines et particulièrement de Pukthu m’a conduite à passer pas mal de jours en Afghanistan (virtuellement bien sûr). Et je ne sais pas si j’étais prête à y repartir si vite. Du coup, je n’ai pas sauté de joie en lisant le résumé du Papillon en pleine tempête.
En fait, dans ce roman, il s’agit plutôt d’importation aux Pays-Bas d’une « tradition » afghane, le Bachi Bazi. En clair, de vieux riches qui se paient des petits garçons qui dansent déguisés et fardés comme des femmes avant de les faire venir dans leur lit. J’avais entendu parler de cela dans Pukhtu. Et je vous rassure, ce n’est pas pour autant que j’ai pu m’habituer à cette horreur.
Quand la journaliste Farah Hafez découvre un jeune garçon afghan habillé en fille à l’hôpital, elle pense tout de suite au Bachi Bazi et se met à enquêter. Pas facile quand une autre journaliste en veut à sa réputation et tente de la faire tomber pour tout et n’importe quoi… Ajoutez à cela des flics qui ne sont pas droits dans leurs bottes et un fantôme russe qui refait surface et vous avez la trame du premier volet de la trilogie Hartland de Walter Lucius.
Ce roman a obtenu le prix du meilleur roman policier aux Pays-Bas. Et c’est vrai qu’il est pas mal du tout. Une vraie enquête menée par des personnages bien construits et bien campés. 700 pages découpés en très courts chapitres qui s’avalent comme on respire. Et une fin qui donne envie de se plonger dans la suite, pour en savoir plus – je vous rassure, on ne s’arrête pas non plus en plein milieu d’une phrase…
J’ai bien aimé et j’ai trouvé ça moins violent que Pukthu – j’ai compris aussi sue j’avais besoin de douceur pendant encore quelques temps, histoire de panser les traumatismes infligés par l’écriture de DOA.
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