Jinan

Terrible témoignage de cette rescapée des bourreaux de Daech.

Jinan a été capturée avec sa famille par les combattants de Daech puis séparée d'eux...les vieux d'un coté, les mères et enfants de l'autre et les jeunes filles encore ailleurs.

Pendant 3 mois elle va vivre un enfer avec la crainte des représailles, les viols, les sévices et la mort.

Cette jeune fille n'as que 18 ans mais elle est mariée et va craindre de ne jamais retrouvé son mari.

Dans son lieu de détention, elle raconte avec une grande force et un ,immense courage comment avec l'aide d'autres filles détenues, elle vont s'entraider pour tenter une évasion.

Refusant de se convertir a l'islam, elle sera jugée de mécréante, séquestrée et vendue pour devenir esclave sexuel, Jinan et ses amies vont vivre et nous faire partager leur terrible périple.

Un livre fort sur le sort de ces femmes qui risquent leurs vies

Un récit poignant où on a plus l'impression d'être dans une fiction !

L'horreur écrit par Jinan est révoltant ! Personne au monde ne mérite un tel traitement !

L'Etat Islamique bien entendu ne le mentionne pas mais fort heureusement des femmes arrivent à s'en sortir ! A ces femmes, je dis bravo et courage !

Un récit qui mérite d'être lu par tous.

Un témoignage sur l'horreur de Daech qui mérite réellement d’être lue, de plus ce récit en apprend énormément sur la communauté Yézidie, c'est vraiment très intéressant.

J'ai aimé ce livre par la façon dont l'histoire est racontée, Jinan parle de son périple sans tabou mais avec une certaine"pudeur" je dirais. Les mots comme le viol y sont mentionné, mais les faits ne sont jamais raconté de façon choquante.

Je recommande cette lecture, qui est une lecture "simple", le texte est fluide, pour le sujet évoqué.

C’est un témoignage qui est une façon de combattre et qui honore ces femmes yézidis résistantes et combattives. Car si des femmes telle de Jinan ne racontent pas ce qu’elles ont vécus, qui le fera pour faire mesurer au monde entier l’étendue des horreurs perpétrées envers des hommes et des femmes? Ne pas parler, n’est-elle pas une forme de complicité ou de mise sous silence des crimes de Daech ?