John Farris
Auteur
Activité et points forts
Thèmes principaux
Classement dans les bibliothèques
Quelques chiffres
Note moyenne : 7.82/10Nombre d'évaluations : 17
0 Citations 15 Commentaires sur ses livres
Les derniers commentaires sur ses livres
Ce livre raconte l'histoire d'une famille aisée qui petit à petit sombre dans l'horreur, en commençant par le fils tuant sa femme puis se suicidant le jour de son mariage. Mais les tueries ne s'arrêtent pas là et l'on est vite transporté vers d'anciens rituels de tribus africaines surnaturels et sanglants... Mais quel est le rapport entre tout ça ?
L'intrigue est plutôt bien amenée, l'histoire vraiment sombre... Dommage que l'on ne s'attache pas assez au personnage, ce qui aurait permit d'être bien plus touché au moment où l'un d'eux est en mauvaise posture.
Ça reste un bon bouquin d'horreur qui nous plonge au feu de l'action et ne s'arrête qu'à la toute dernière ligne.
Afficher en entierun roman tres prenant à l'intrigue subtile qui repose sur un folklore inhabituel mais riche
Afficher en entierRetour très mitigé sur ce roman qui ne m'a pas laissé un souvenir impérissable. Ce sera pareil pour mon retour, du reste... absolument sans intérêt.
Pourtant, John Farris fait partie des bons et il le montre encore par la qualité de son écriture, donc quelques points pour le style, mais une fois que vous avez lu la 4e de couverture, on peut dire que vous avez lu le livre.
Je n'ai pas accroché sur grand-chose, au niveau du ressenti, aussi bien émotions que frissons ou coups de coeur pour les personnages, tracé plat, je n'ai pas ressenti la moindre empathie.
Tout ce que je m'attendais à voir se produire s'est produit et si la plume vaut le détour, l'histoire est très brouillon et j'ai parfois eu du mal à m'y retrouver.
Afficher en entierJ'enchaîne sur un autre livre de John Farris parce que je ne voulais pas rester sur une mauvaise impression sur cet auteur qui vaut vraiment qu'on s'intéresse à lui. Une qualité d'écriture irréprochable, une histoire qui tient la route et nous tient nous en haleine, bien qu'ayant mis un petit moment à s'installer.. mais pour la bonne cause.
Nous suivons trois personnages, Sharissa Walker, une ado déjà presque femme, Greg Walker, son père, et et C.G.Butterbaugh, ami de la famille qui craque pour Sharissa et excerce la profession de détective. La majeure partie du livre lui est consacrée et j'ai beaucoup aimé ses imperfections et sa complexité. Personnage auquel on peut facilement s'identifier, un peu héros malgré lui, parce qu'il préférerait se faire oublier.
L'histoire se passe essentiellement au Guatemala, la civilisation Maya nous enveloppe et nous ressentons presque la chaleur étouffante et les vêtements qui nous collent à la peau. On perçoit même le cri du singe hurleur quand on est bien immergé dans le récit. Assez terrifiant même si on n'en a jamais entendu de notre vie. Mais l'auteur a rendu son récit tellement réel, vous l'aurez compris, qu'on s'y croirait vraiment.
Si la première partie de l'histoire nous promène assez tranquillement, le dernier tiers va crescendo et on embarque pour le coster roller sans problème. Attachez vos ceintures, ça décoiffe. Et bien entendu, un final qui nous laisse pantelant. Bravo, Monsieur Farris.
Afficher en entierLe fils de la nuit éternelle, long et dense, parle de possession et d'exorcisme, malgré son côté roman policier, et les deux genres se mêlent très harmonieusement.
Nous suivons l'histoire de Richard Devon, étudiant, qui se retrouve sous l'emprise de la meneuse d'une secte satanique, jusqu'à ce qu'un démon prenne possession de lui. Ce qui l'a mené là ? Son amitié pour la petite Poly.
Écartelé par sa double personnalité, il en arrive au meurtre de son amie Karyn. On l'emprisonne et son frère deviendra le narrateur. Il veut comprendre ce qui s'est passé, mais bien entendu, les forces du mal s'en prendront à lui également. Pour l'aider, un exorciste et une psychiatre.
La tâche va se révéler ardue, puisque les témoins disparaîtront au fur et à mesure qu'ils se manifesteront.
Encore un roman dont le thème est la lutte entre le bien et le mal, certes, mais tout est dans la façon de mener le récit. On s'identifie parfaitement aux personnages sous la plume habile de l'auteur. Grands frissons garantis tout au long du livre, images fortes et vivaces... Je l'ai lu il y a déjà un moment et il m'a marquée.
Afficher en entierAprès L'ange des ténèbres qui m'avait laissée sur ma faim pour les raisons exposées dans mon retour, je suis une nouvelle fois déçue, par Écailles cette fois.
Pourtant John Farris écrit bien, très bien même. Je ne sais pas s'il est capable du pire comme du meilleur ou si je passe à côté de certains écrits, mais force est de constater que là encore, le récit m'a laissée de marbre, voire ennuyée. On n'arrive pas à cerner les personnages, pour lesquels on n'éprouve absolument rien, et on attend de grands frissons... qui n'arrivent pas.
Pour tout avouer, je n'ai même pas vraiment tout compris, en fait, les événements n'étant pas creusés.
Ce livre peut intéresser les passionnés de vaudou, certains passages sur la culture africaine relevant un peu le niveau, mais bon, ce n'est pas ce que j'attends d'un roman horrifique.
Afficher en entierL'employeur de Whitman Bowers veut édifier un complexe pour vacanciers avec pistes skiables et l'envoie étudier la faisabilité du projet. Celui-ci part donc visiter la forêt de Wildwood, dans les Great Smoky Mountains. Dans le même temps, son fils adolescent, Terry, vient passer les vacances avec son père et ils profitent de ce projet pour partir en excursion ensemble.
Là, Whitman retrouve un ancien compagnon d'armes, Arn Rutledge, ainsi que sa femme, Faren. Cette dernière se montre réticente à l'annonce de la randonnée, la forêt de Wildwood ayant la réputation d'être maléfique, en plus de mystérieuse et enchanteresse.
Il semblerait que 40 ans auparavant, Edgar Langford dit Edgar le Fou, pretidigitateur, aurait donné une réception dans son château, au cours de laquelle ses 500 invités auraient disparu ainsi que ledit château. La forêt serait également peuplée d'être mi-humains mi-animaux qui apparaissent et disparaissent tout aussi mystérieusement que le gigantesque château.
John Farris nous offre un roman addictif et angoissant, à l'ambiance oppressante comme on les aime.
Nul besoin que j'évoque la qualité de sa plume, il nous trimballe magistralement comme il le veut. J'ai adoré, mais nul besoin de le préciser non plus.
Afficher en entierPas le meilleur livre de Farris
Afficher en entierDeuxième volume de la trilogie des pouvoirs.
Afficher en entierMon préféré de la trilogie!
Afficher en entierLes gens aiment aussi
Dédicaces de John Farris
et autres évènements
Aucun évènement prévu
Editeurs
Gallimard : 3 livres
Denoël : 3 livres
Pocket : 3 livres
J'ai lu : 3 livres
Gallmeister : 2 livres
Presses de la Cité : 1 livre
Biographie
John Farris est né en 1936 à Jefferson City, dans le Missouri. Écrivain, dramaturge et scénariste, il est l’auteur d’une quarantaine de romans noirs, fantastiques ou d’horreur. Trois de ses livres ont été adaptés au cinéma. Il a vécu à New York, en Californie du Sud et à Porto Rico, avant de s’installer à Atlanta, en Géorgie.
Il est le père du romancier Peter Farris, également publié chez Gallmeister.
Source/Éditions Gallmeister
Afficher en entier