Francesco Muzzopappa

La comtesse Maria Vittoria dal Pozzo della Cisterna descend d’une grande famille fort aisée. Mais à la mort de son mari, tout se complique. Son fils, Emanuele, très beau, mais très bête, ne porte aucun intérêt au patrimoine familial qu’il dilapide en offrant tout ce qu’elles souhaitent à ses conquêtes qui ne demandent que ça. Mais lorsqu’il offre le diamant de la famille, celui qui permettait à la comtesse de garder la maison sans à avoir l’hypothéquer, ça devient trop !

A la banque, le rendez-vous se passe plutôt mal, mais lorsqu’un gentleman cambrioleur braque la banque et se sert d’elle comme otage pour sortir de l’impasse, elle décide de prendre les choses du bon côté. C’est-à-dire de simuler un véritable enlèvement et de faire en sorte que le diamant réintègre la famille !

Dans les premières pages, on fait connaissance avec la comtesse, son fils et son majordome, et c’est vraiment très drôle (si vous aimez l’humour anglais). La suite du roman continue dans cette veine, mais si le texte reste enjoué et amusant, j’ai un peu moins ris que dans ces premières pages !

L’intrigue quand à elle est assez simple, mais bien tournée (même si la fin est un peu facile), les personnages un peu caricaturaux, mais peu importe, l’essentiel c’est de passer un bon moment et le pari est réussi !

Une écriture très particulière + un humour très anglais + scénario pas très original ni imprévisible, mais une petite histoire et des petits personnages qui font sou-rire :)

Agréable à lire, bon moment à passer pour les adeptes de cet d'humour!

Un livre simple et qui ce lit rapidement, pas mal d'humour même si parfois la logique n'est pas le fort du livre, une fin un peu trop "heureuse", une lecture assez agréable dans l'ensemble même si le final m'a déplu par la simplicité de "l'enquête" et Spoiler(cliquez pour révéler)le fils qui change du tous au tous aussi rapidement...

C'est un livre qui se lit d'une traite et facilement. Il est plein d'humour et de joie.

Petit roman distrayant. On passe un bon moment. Un livre sans prise de tête. L’ecriture est fluide.

Une lecture très sympathique. On passe un bon moment avec Fabio qui -part ego- a refusé de travailler dans la pub car pensant être tout de suite pris dans un studio de film. Malheureusement, rien ne se déroule comme prévu dans la vie et il se retrouve à devoir écrire des scénarios pour films pornos, histoire de toucher un salaire pour survivre. Mais, bien qu'il soit pris dans l'engrenage, il essaie de quitter le milieu pour celui du Grand Cinéma.

L'histoire (suivit du point de vue de Fabio) est gorgée de références cinématographiques allant des grands classiques jusqu'aux plus récents des dernières années. Le tout est agrémenté de sarcasme, d'humour scabreux et d'humour noir qui m'a fait rire plus d'une fois ! Ses mésaventures professionnelles, familiales et sociales nous font vraiment de la peine pour lui et, on ne souhaite qu'une chose : qu'il obtienne ce pour quoi il a tant étudié.

De l'humour , des situations cocasses en bref une petite comédie sympa, légère idéale pour les vacances!

"affaires de famille" en VO m'a beaucoup fait rire. De l'humour, des situations cocasses (et on ne les voit pas arriver), c'est plein de joie et avec une écriture fluide (merci les traducteurs), c'est foufou et léger? Bref un très bon moment !

Un ton pétillant, un livre qui fait sourire, un vrai plaisir de lecture !

À Turin, dans son palais qui a connu des heures plus glorieuses, la comtesse Maria Vittoria dal Pozzo della Cisterna, 71 printemps, se désole : alors qu’elle est en pleine débâcle financière, son unique rejeton, le beau et fort limité intellectuellement Emmanuele, s’est entiché d’une bimbo à la cuisse légère, lui a offert une paire de seins siliconés qui a coûté un bras, et pour faire bonne mesure, rien moins que le Koh-i-Noor, le dernier joyau de la famille. Comment le récupérer et par la même occasion comment se débarrasser de la dispendieuse starlette ? Il lui vient une idée de génie quand elle se trouve mêlée malgré elle au hold-up de sa banque mené par le « gentleman braqueur », à ses heures perdues, sculpteur sur bois de voiliers plus ou moins hideux pilotés par de vilaines marionnettes borgnes…

« Tout va très bien, Madame la Comtesse » se présente comme un roman humoristique léger et pétillant. C’est amusant sans plus. Tous les personnages sont assez caricaturaux. Dans une post-face, l’auteur ose se réclamer de Tom Sharpe et de P.G. Woodehouse, deux géants de l’humour dont il n’arrive pas à la cheville ! Son style se rapproche d’ailleurs plus d’auteurs français comme Frédéric Dard ou Alphonse Boudard, mais avec nettement moins de truculence et de malice. Un ouvrage distrayant, assez drôle, mais sans grande envergure ni originalité. Il lui manque le décalage, le « non-sense » british ou l’ironie et la dérision française. Muzzopappa reste italien, qu’il l’assume.