Marina Carrère d'Encausse

Dans l'ensemble, j'ai bien aimé ce recueil : il m'a permis de découvrir de nouvelles plumes et de nouveaux auteurs. Les nouvelles étaient toutes agréables, même si j'en ai préféré certaines plus que d'autres. Chouette thème, chouette préface, chouette expérience et surtout : une belle action.

Cette collection est géniale, elle permet de lire des auteurs qu'on ne connaissait pas forcément. Le thème de ce millésime est d'actualité et abordé d'excellentes façons par tout les auteurs.

Certes, c’est pour une très bonne cause d’acheter et de lire le traditionnel recueil de nouvelles écrites au profit des resto du cœur mais personnellement, j’ai trouvé le cru 2023 très très moyen ! Les textes sont très court, pas suffisamment travaillé malgré un thème d’actualité et l’imagination de certaines histoires. Bref, ça manque de travail ; de nouvelles j’ai plus l’impression d’être passer au stade de gentilles dissertations !

Deux, allez poussons à trois coups de cœur tout de même : Les encapuchonnés de Romain Puertolas, la très belle idée des bibliothèques humaines traitées par Raphaëlle Giordano. C’est très beau et touchant. Le dernier est pour la note d’espoir que nous adresse Mohamed Mbougar Sarr avec son orange qui continue de bleuir : l’espoir et la confiance qu’il faut conservé envers les jeunes générations qui ont entre leurs mains la dernière balle. A méditer !

Certes, c’est pour une très bonne cause d’acheter et de lire le traditionnel recueil de nouvelles écrites au profit des resto du cœur mais personnellement, j’ai trouvé le cru 2023 très très moyen ! Les textes sont très court, pas suffisamment travaillé malgré un thème d’actualité et l’imagination de certaines histoires. Bref, ça manque de travail ; de nouvelles j’ai plus l’impression d’être passer au stade de gentilles dissertations !

Deux, allez poussons à trois coups de cœur tout de même : Les encapuchonnés de Romain Puertolas, la très belle idée des bibliothèques humaines traitées par Raphaëlle Giordano. C’est très beau et touchant. Le dernier est pour la note d’espoir que nous adresse Mohamed Mbougar Sarr avec son orange qui continue de bleuir : l’espoir et la confiance qu’il faut conservé envers les jeunes générations qui ont entre leurs mains la dernière balle. A méditer !

Pour sa neuvième édition, "13 à table " a mis à l'honneur un thème d'actualité: la planète et la relation que l'on peut avoir avec elle. C'est donc avec une pléiade d'auteurs, parmi lesquels des fidèles de la première heure, d'autres qui le deviennent et deux petits nouveaux, que nous découvrons les petits textes imaginés. Tantôt drôles, tantôt intelligents, ou encore tendre, les récits offrent une large palette d'angles de vue et de visions, auxquels on ne s'attend pas forcément et qui sont très intéressants. Il y a du bon et du bon moins dans les histoires racontées, comme dans tout recueil de nouvelles, suivant nos goûts et notre sensibilité, mais c'est ce qui fait aussi le charme d'un tel ouvrage. Et si l'on peut constater une diminution drastique du nombre de pages et du nombre d'auteurs qui ont répondu présents, cela ne diminue en rien le plaisir que l'on peut prendre à lire ce nouvel opus.

Treize petites histoires, souvenirs d'enfance et de vacances...facile à lire...

Ce livre permet par un court récit avec un thème, de connaître et d'apprécier différents auteurs . Très intéressants en plus de faire une bonne action.

Le thème de cette année 2023 m'a plu: la planète.

Celle sans qui nous ne serions pas là, celle que nous faisons souffrir...

La nouvelle qui m'a le plus touché est sans hésitation celle de Karine Giebel qui met en avant les massacres des peuples vivant dans la forêt amazonienne.

Quelques nouvelles étaient sympas mais d'autres ne m'ont vraiment pas plu, je suis assez mitigée.

Comme chaque année avec un peu de retard j'ai découvert ce recueil de nouvelles avec plaisir. Comme chaque année il y a des nouvelles que j'apprécie, d'autres moins. J'adore retrouver les personnages d'Agnès Martin-Lugand et de découvrir des nouveaux auteurs.