Batya Gour
Auteur
Activité et points forts
Thèmes principaux
Classement dans les bibliothèques
Quelques chiffres
Note moyenne : 7.4/10Nombre d'évaluations : 5
0 Citations 4 Commentaires sur ses livres
Les derniers commentaires sur ses livres
Un polar d'ailleurs, une auteur sorte de P.D. James israëlienne: une histoire classique certes mais un inspecteur charismatique (personnage récurrent de l'auteur) Michaël Ohayon, policier intelligent, confronté pour l'enquête à une communauté d'intellectuels vivant dans le monde clos de leur université (on en connaît tous...et on savoure certains portraits au vitriol de ces personnages imbus de leurs savoirs, condescendants et avides de notoriété). A découvrir.
Afficher en entierLecture vraiment fastidieuse si l'on n'est pas fan et/ou fin connaisseur de musique classique.
Afficher en entierCe polar tourne autour de deux décès auxquels va s'intéresser le commissaire Michaël Ohayon. Ces meurtres concernent un département de l'université dans lequel les universitaires vivent en vase clos autour de leurs recherches littéraires. L'auteur confronte ici les égos des différents personnages. Elle en fait d'excellents portraits.
L'enquête avance à pas lents mais elle est menée intelligemment par l'enquêteur, personnage cultivé et charismatique qui ressemble à Adam Dalgliesh (héros des polars de PD James).
Je dois dire que j'ai trouvé ce livre excellent. C'est une agréable découverte qui change des romans policiers que j'ai l'habitude de lire et qui m'a permis de faire une incursion dans la société israélienne.
Afficher en entierLes gens aiment aussi
Dédicaces de Batya Gour
et autres évènements
Aucun évènement prévu
Biographie
Batya Gour enseigne la littérature dans un lycée, puis à l'Université hébraïque de Jérusalem, où elle avait fait ses études. Elle collabore également, en tant que critique littéraire, au quotidien israélien Haaretz.
Gour se met à l'écriture sur le tard, à l'âge de 41 ans.
En 1988, elle publie Le Meurtre du samedi matin (Reṣaḥ bšabat babwqer : rwmaʾn balašiy), un premier roman policier qui met en scène son héros récurrent, le commissaire Michaël Ohayon, « directeur des affaires criminelle de Jérusalem »1. Ohayon revient dans cinq autres titres. Dans Meurtre à l'université (Maṿet ba-ḥug le-sifrut), nombre des personnages sont inspirés d'individus réels, issus des milieux académiques israéliens. Presque toujours, les enquêtes poussent le commissaire à s'introduire « dans des milieux fermés décrits avec réalisme et force de détails, apportant au lecteur des éclairages précieux sur certaines réalités politiques israéliennes »1, notamment dans Meurtre au kibboutz (Liynah mšwtepet : reṣaḥ baqiybwṣ, 1992). Dans Meurtre au philharmonique (ha-Merḥaḳ ha-nakhon : rotseaḥ musiḳali, 1996), l'intrigue policière compte de nombreuses anecdotes sur la musique baroque.
Afficher en entier