Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
718 092
Membres
1 029 489

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Margaret Weis

Auteur

642 lecteurs

Activité et points forts

Thèmes principaux

ajouté par katou6464 2010-08-24T14:07:18+02:00

Biographie

Margaret Baldwin Weis (1948 à Independence, Missouri - ) est un écrivain de fantasy et une journaliste américaine. Elle est surtout connue pour avoir développé, avec Tracy Hickman, la série Lancedragon, inspirée du jeu de rôle Donjons et dragons.

Elle s'inscrit à l'Université du Missouri dans la ville de Columbia en 1970, où elle est obtient un diplôme en littérature. Par la suite, elle travaille pendant presque treize ans pour le journal Herald Publishing House à Independence, où elle commença comme relectrice, et finit comme rédactrice en chef du service de la presse commerciale.

Son premier livre, une biographie de Frank et Jesse James, fut publié en 1981.

En 1983, elle déménage à Lake Geneva (Wisconsin), pour occuper le poste de rédactrice chez TSR Inc., éditeur du jeu de rôle Donjons & Dragons. Elle devient membre de l'équipe d'auteurs responsables de l'univers de Lancedragon.

Avec Tracy Hickman, elle écrit les premiers romans de la série Chroniques de Lancedragon, qui fut vendue à plus de vingt millions d'exemplaires à travers le monde.

Par la suite, elle continue sa collaboration avec Hickman sur d'autres romans dont la quadrilogie de L'Épée Noire, le cycle Les Portes de la Mort, la trilogie de La Rose du Prophète ainsi que la trilogie de La Pierre Souveraine.

Elle a part ailleurs écrit une trilogie propre, Dragonvarld. Ses œuvres de science-fantasy comprennent la série inachevée Starshield, sa propre série, Star of the Guardian, et la série dérivée Mag Force 7 écrite avec son ex-époux Don Perrin. Elle avait par ailleurs commencé une série avec son fils, aujourd'hui décédé.

Weis est propriétaire de Sovereign Press, la maison d'édition du jeu de rôle Sovereign Stone, et de Margaret Weis Production, qui publie désormais les nouveaux suppléments D20 Dragonlance sous license, Wizards of the Coast. Elle est co-auteur du livre de règles Dragonlance (Wizards of the Coast, 2003) et co-auteur du livre Dragonlance Age of Mortals édité par Sovereign Press en 2003.

Le premier livre de Weis de sa nouvelle série pour Tor Books, Mistress of Dragons, sortit en mai 2003, et fut acclamé par la critique. Dans cette série ont suivi Dragon's Son (2004) et Master of Dragons (2005).

Weis continue son travail sur Dragonlance avec une nouvelle série de romans pour Wizards of the Coast intitulée Dark Disciple (qui suit le développement du personnage de Mina après la trilogie de la Guerre des âmes) et avec Tracy Hickman, elle poursuit la série des Chroniques perdues. Des contrats de films sont en discussion pour plusieurs de ses romans, notamment pour les Chroniques qui seront finalement réalisées en dessin animé, après être parues en "comics" depuis 2004-2005.

* Margaret Weis a eu deux enfants : Elizabeth et David Baldwin, qui est décédé. Après s'être divorcée du père de ses enfants, elle s'est mariée avec Don Perrin (en:Don Perrin), avec qui elle a coécrit plusieurs oeuvres, avant de divorcer à nouveau.

* Elle a survécu à un cancer du sein et participe aux campagnes de luttes contre ce cancer et pour son diagnostic précoce.

Afficher en entier

Classement dans les bibliothèques

Diamant
788 lecteurs
Or
1 146 lecteurs
Argent
678 lecteurs
Bronze
449 lecteurs
Lu aussi
574 lecteurs
Envies
979 lecteurs
En train de lire
28 lecteurs
Pas apprécié
13 lecteurs
PAL
972 lecteurs

Quelques chiffres

Note moyenne : 7.84/10
Nombre d'évaluations : 546

0 Citations 158 Commentaires sur ses livres

Dernier livre
de Margaret Weis

Sortie France/Français : 2024-01-01

Les derniers commentaires sur ses livres

Les portes de la mort, Tome 4 : Le serpent mage

Mon tome préféré de la série jusqu'ici, avec L'Aile du dragon.

Depuis le tome 1, je n'avais pas trop accroché avec les personnages, hormis Haplo, le chien et Alfred. J'ai enfin renoué avec eux. Globalement, j'ai apprécié tous les nouveaux venus : Grundle, Devon, Alake, Sabia et leurs parents, et j'ai une large préférence pour Grundle et Devon. J’ai adoré suivre le petit groupe des enfants des souverrains, à la fois jeunes et téméraires, mais aussi terriblement braves et responsables. Les menschs, dans ce tome 4, sont particulièrement attachants et touchants. Pour la première fois de la série, les menschs sont unis, vivent en harmonie, et planifient un avenir commun. Pas de guerre entre nains, elfes et humains dans un environnement que je trouve pourtant hostile, même si Chelestra ne l’est pas autant qu’Abarrach. Et tout cela, sans intervention extérieure !

Chelestra, le monde de l’eau, est très intéressant avec son soleil de mer qui se déplace, provoquant le dégel et le gel des lunes de mer, sur lesquelles vivent les menschs.

Côté intrigue, enfin, on en apprend plus, beaucoup plus, sur les mystérieux Sartans, et pas n'importe lesquels en plus. Les différentes place récoltées dans les tomes précédents (je pense en particulier aux nombreuses allusions de Zifnab dans le tome 2 et à la Chambre des Bienheureux dans le tome 3) s’assemblent enfin ! Il aura fallu quatre tomes, quatre mondes, pour enfin découvrir pourquoi tous les Sartans de tous les mondes avaient disparu, ainsi que l’origine de la guerre entre Sartans et Patryns.

Trois thèmes ressortent pour moi dans ce tome. Le premier, toujours présent, mais abordé différemment cette fois, la mort. Le deuxième, la dualité. Les rapprochements entre le Seigneur du Nexus et Haplo, entre Samah et Alfred, sont très très intéressants, il y a vraiment ce rapport maitre/enfant qui se révèle très fort et néfaste. Il y a aussi le rapprochement Haplo/Alfred. Les deux ennemis réalisent que leurs valeurs ne sont pas si différentes. Le problème n’est pas l’homme, c’est le groupe auquel il appartient. Le groupe qui se révèle plus néfaste que l’individu. Enfin, le troisième thème : la peur de l’autre. On l’avait déjà vu dans les tomes précédents, mais là il prend une ampleur dans l’intrigue à laquelle je ne m’attendais pas.

Enfin, le personnage d’Haplo évolue énormément. Il y avait bien des petits changements, des petites réflexions par ci par là dans les tomes précédents, mais pour une fois, Haplo se pose, et il réfléchit au calme, à ses objectifs, aux objectifs de son maitre, aux objectifs des menschs… et à leurs conséquences.

Ce qui ressort de ce quatrième tome, c’est qu’il faut plusieurs générations et beaucoup de recul à un groupe d’individus pour regarder les choses en face et réaliser ses erreurs. C’est vraiment flagrant chez les Sartans, habités par la peur de l’autre, et confrontés à Alfred, le seul d’entre eux à connaitre vraiment les autres races et les conséquences de la Séparation. Au final, tout le monde se porte mieux sans les Sartans…

Un mystère reste encore à éclaircir. Le plus grand mystère de cette série. QUI est vraiment le chien ??

Afficher en entier
Les portes de la mort, Tome 5 : La main du chaos

C’est avec grand plaisir que j’ai retrouvé le monde de l’air, Arianus, et les personnages des tomes précédents (dont certains en particulier) dans ce tome 5, qui reprend directement là où on avait laissé Haplo dans le tome 4. Mais c’est également une suite du tome 1. Quand j’avais fini L’aile du dragon, j’avais eu un sentiment d’inachevé : on ne savait pas vraiment ce qui arrivait aux personnages restés sur Arianus, ni comment la situation allait évoluer, sauf dans les grandes lignes. Enfin, ici, on reprend le fil de l’histoire, certes trois ans plus tard, mais, mieux vaut tard de jamais !

Pour le coup, on sort enfin du schéma des tomes précédents, à savoir un tome = un monde. On commence le livre sur Chelestra et on le termine sur Arianus. J’ai ressenti ce changement comme une porte qui s’ouvre grand au changement : enfin, on atteint un point où on ne se contente plus de suivre Haplo dans ses missions pour le seigneur du Nexus, Xar. Haplo s’émancipe, et même si au début il essaie de suivre les instructions, tout dérape, et finalement ce n’est pas plus mal pour lui.

Le mensonge et l’intrigue sont omniprésents. Je m’étais fait la remarque, dès le tome 1, que j’avais du mal à discerner les gentils des méchants, et c’était le cas aussi dans les tomes 2 et 3. Chelestra avait confirmé en partie ce ressenti, et en même temps, on voyait l’apparition d’un plus grand mal. Dans ce cinquième tome, c’est aussi compliqué. Le « plus grand mal » prend une ampleur que je n’avais pas imaginé. « La main du chaos » est un titre qui correspond très bien au récit. Et si clairement les intérêts de tous les protagonistes divergent, ça pourrait justement être l’occasion de s’unir contre ce chaos. Bref, ça tire dans tous les sens et sur tout le monde, et si il y a au moins un personnage sur lequel on peut compter pour escroquer tout le monde, il y en a d’autres qui finissent par retourner leur veste, et c’est très satisfaisant et étonnant.

J’ai été très contente de voir enfin les Elfes d’Arianus de plus près, mais je suis un peu déçue que le prince Rees’ahn et Noire Alouette ne soient encore une fois qu’évoqués. J’aurais voulu voir ces personnages intervenir dans le récit.

Plus encore que le tome 4, la fin donne envie de lire la suite.

Tout de même, je note que c’est de plus en plus difficile de se procurer les livres au fur et à mesure que j’avance dans cette série. Une réédition serait la bienvenue, et une nouvelle passe sur la traduction également, car parfois, le récit est tourné de manière étrange.

Afficher en entier
Les portes de la mort, Tome 6 : Voyage au fond du labyrinthe

Encore une fois, un bon tome en terme de scénario et de personnages. l'intrigue avance bien, les personnages évoluent.

Je me pose toujours autant de questions sur le chien, mais depuis les "révélations" des Kenkaris dans le tome 5, on avance progressivement sur ce sujet.

Je suis un peu déçue du Seigneur du Nexus, Xar, qui semblait beaucoup plus menaçant au début de la série, quand on le voyait peu et qu'une aura de mystère l'entourait. Il semble se perdre dans ses rêves de grandeur, abandonne limite son peuple pour atteindre ses objectifs, fait confiance à des nouveaux venus carrément suspects au lieu de ses propres hommes, se fait mener par le bout du nez, n'admet pas ses limites.... Bref, c'est devenu un méchant plein de failles. Les serpents-dragons, en revanche, sont toujours aussi terrifiants et mènent le jeu. On en apprend enfin un peu plus sur Zifnab, maintenant c'est plutôt sur son dragon que je m'interroge.

Le gros point noir de ce tome, c'est la traduction ( à moins que le texte original ne soit bourré de fautes lui-aussi, mais je me base sur ce que j'ai lu, à savoir la version française). Il y a toujours eu quelques formulations étranges, des conjugaisons bizarres depuis le début de la série, mais là on tient quand même le pompom je trouve... à tel point que j'ai fini par les noter :

- dans le chapitre 4, Marit se demande si Xar n'aurait pas changé d'avis concernant sa mission "sur Pryan" alors qu'il voulait l'envoyer sur Arianus...

- dans le chapitre 5, Ciang, qui rappelons le est une femme, est "mécontent"

- toujours dans le chapitre 5, un certain personnage "fut surpris cette remarque"

- dans le chapitre 9, en parlant de la lassitude du désespoir dans le labyrinthe "Elle voulait dire qu'on renonçait ?" apparemment, le désespoir des habitants du labyrinthe n'est pas certain, ce serait une interrogation...

- dans le chapitre 17 : "- Tu peux faire quelque chose pour ça ?" et la réponse "C'est une rune Sartane. Non, je ne peux rien. Mais je peux t'aider à trouver celle qui peut". Celle ? donc on parle d'une personne, pas d'une rune ? Formulation étrange...

- dans le chapitre 39 : "Nous ne le l'avons pas dit"

- dans le chapitre 41 : Pathan est écrit "Patha" à un endroit

- dans le chapitre 41 : "les titans étaient en tranche hypnotique" ...

- dans le chapitre 45 : "personne n'aurait besoin d'un chien d'un bon moment"

- dans le chapitre 47 : "le corps brisé d'Haplo, qui de débattait"

- dans le chapitre 43 : Haplo donne un ordre alors qu'il n'est pas sur place...

- de manière générale, Jonathan, un personnage de La mer de feu, a pour l'occasion été rebaptisé Jonathon...

Je pense que Les Portes de la Mort est une bonne série. Certes pas un monument de la littérature, mais une série agréable à lire, avec une bonne intrigue, des personnages intéressants, alors c'est vraiment, vraiment dommage, car j'ai franchement l'impression que la traduction est bâclée et qu'il n'y a pas eu de relecture. On n'a apparemment pas été fichu d'écrire sans faute de frappe, ou au moins de les corriger, avant de publier. Pas étonnant que la série soit tombée dans l'oubli avec une version française pareille. Ce n'est vraiment pas rendre honneur à la série...

Afficher en entier
Les Portes de la mort, Tome 7 : La Septième porte

Et hop, une série terminée ! Ce dernier tome était plus court que les autres d'une bonne centaine de page, donc plus rapide à lire.

J'ai apprécié de retrouver Haplo et Alfred une dernière fois à la recherche de la Septième Porte.

Globalement, j'ai vraiment bien apprécié la série : les personnages sont approfondis au fil des livres (et je me souviendrai longtemps du chien, deZifnab et de son dragon de Pryan), l'intrigue est très intéressante, les différents mondes vraiment uniques. La guerre entre Sartans et Patryns, à peine évoquée dans le tome 1, prend une dimension de plus en plus importante, les informations sont disséminées par ci par là dans chaque tome. Aussi, les différents mondes, que l'on pensait au départ indépendants, sont en fait reliés et forment les éléments d'une grosse machine qui est malheureusement tombée en panne. Enfin, j'ai beaucoup apprécié les réflexions sur la peur, la haine, le racisme et le combat pour les ressources naturelles.

Donc, SI on fait abstraction de la traduction (bâclée) et/ou relecture (absente), et c'est un grand SI, je recommande cette série qu'il est agréable de découvrir.

Enfin, je poursuis sur ma lancée, et je constate que le tome 7 est une suite conforme au tome 6, bourrée de fautes et de traductions obscures, qui m'ont profondément agacée, parmi lesquelles (édition 1996) :

- chapitre 6 : Jonathan (La mer de feu) s’appelle encore une fois Jonathon

- chapitre 11 : « les runes protecteurs » (nom féminin d’après le dictionnaire)

- chapitre 18 : « tiens-toi prêt, juste en cas » (just in case ? au cas où ??)

- chapitre 18 : « libérée de toutes rêves »

- chapitre 18 : « Il ne savait pas ce que méditait Haplo » - non, Haplo ne fait pas de yoga

- chapitre 19 : « Xar se souciait comme d’un os-runes de ce qui pouvait advenir aux lazars »

- chapitre 20 : « les runes patryns protégeant la nef patryn étaient presque tous détruits » - elles devraient être détruites

- chapitre 23 : « as-tu compris… quelque chose à ce que tu viens d’entendre. » - c’est censé être une question il me semble

- chapitre 25 : « pour soulager un peu l’inconfort de cette longue station debout » - façon très étrange de dire qu’on attend debout depuis longtemps

- chapitre 25 : «  il n’était pas claustrophobe, mais la tension, la peur et la presse lui donnaient l’impression que les murs allaient se refermer sur lui » - « pressure » ? la pression ??

- chapitre 27 : « ils ne suivraient aucun chef que le leur » - je trouve la formulation bizarre

- chapitre 31 : « Alfred entreprit la magie de Xar » - pas compris

- chapitre 32 : « il lança son propre rune » - UNE rune !!

- Epilogue : « Lambic Serre-Boulon » est devenu « Lambic Serreboulons »

- Epilogue : « Qu’il suffise de dire qu’à la suite d’une curieuse série d’incidents, je rencontrai Haplo et son remarquable chien » - j’ai l’impression que la phrase n’est pas finie

Enfin, pendant six tomes, « patryn » et « sartan » ont toujours été mis au masculin. Dans ce tome, il y a par exemple des « runes patrynes » et des « runes sartanes », mis aussi des « runes sartans » et des « runes patryns »… Il faudrait choisir, quoi…

Bref, si ça avait été comme ça depuis le début, je n’aurais pas continué cette série. Il me restait deux tomes, donc bon…. En tout cas, je constate que les erreurs de la version 1996 ont été fidèlement conservées dans la réédition de 2006…

Autre chose : le tome 7 est le seul dans lequel il y ait des sauts de lignes pour mettre en évidence les ellipses temporelles ou le changement de point de vue.Avant tout était collé et on avait du mal à comprendre qu’on avait changé de personnage ou de lieu, on passait du coq à l’âne. Ce changement est très appréciable, et c’est dommage qu’il n’ait pas été ajouté dans les six premiers tomes de la réédition de 2006, en tout pas dans les miennes (tomes 1, 2, 3 et 6).

Afficher en entier
La légende de l'épée noire, Tome 3 : Le triomphe de l'épée

Après dix ans passés dans l'Outre-Monde Joram est de retour au Thymhallan, il retrouve Saryon enfermé dans la pierre qu'il délivre de sa prison grâce à l’Épée Noire. Au Thymallhan une seule année s'est écoulée. Mais son retour ouvre une brèche dans la barrière magique et un corps expéditionnaire venu d'Outre-Monde, envoyé pour coloniser la planète, attaque alors que Sharakan et Mérilon étaient en conflit armé selon la tradition de l'échiquier. Un sorcier exilé venu avec les envahisseurs veut éradiquer les mages pour détenir seul le pouvoir.

Avec de nombreux combats et un récit moins centré sur les personnages ce troisième tome s'avère de meilleurs qualité que les deux premiers offrant une dynamique de lecture bien meilleure.

Si les personnages de premier plan sont moins présents un personnage secondaire vient sur le devant de la scène. On a toujours autant de mal à appréhender le personnage de Simkin très agaçant et qui perturbe la lecture.

Bien que la plume des autrices n'ait pas changé elle paraît ici plus fluide due à une action omniprésente.

Avec le dénouement on se serait attendu à ce que la série prenne fin et on craint un manque d’intérêt pour le quatrième volume.

Au final un tome nettement plus intéressant que les deux premiers.

Afficher en entier
La légende de l'épée noire, Tome 4 : La Renaissance de l'épée

aryon a quitté le camp de réfugiés du Thimhallan et vit paisiblement à Oxford où il effectue des recherches en mathématiques. Mais sa quiétude est troublée par la visite de Mosiah devenu Vigile et qui lui annonce la future visite de dirigeants de la planète qui vont lui demander d'intercéder auprès de Joram pour qu'il leur remette la nouvelle épée noire qu'il a forgée. Bien que peu désireux de troubler la vie paisible de Joram il finit par accepter devant leur insistance, l'épée leur permettant de sauver le peuple face à l'invasion imminente d'extra-terrestres. Il part pour le Thimhallan mais il est suivi par les Technomanciens, descendants des quatre ordres de magie noire écartés lors de la scission, et dont le but final est d'asservir les peuples.

Bien que la nouvelle épée soit l'enjeu du récit, Joram qui était le lien de la série est peu présent dans ce quatrième tome. Si le récit débute simplement par la suite les auteures vont présenter deux vues différentes qui vont embrouiller les lecteurs pendant une bonne partie du roman, et ceci est du au fait de la magie résiduelle du Thimhallan.

Un récit qui aurait pu être intéressant s'il avait été les prémices d'une nouvelle trilogie en prenant pour personnage central la fille de Joram. Mais ce seul tome qui n'apporte aucun plus à la trilogie précédente s'avère peu convaincant.

Afficher en entier
Chroniques de Dragonlance, Tome 2 : Dragons d'une nuit d'hiver

Les plans de batailles sont bien réalisés.

Et c'est bien scénarisé.

Bien réussis coté scénario.

Sauf sur un point que j'ai remarqué, absence totale de magie ; il n'y a pas d'incantations ou de formules, ce qui fait la force des elfes dans la fantaisie.

J'ai l'habitude de lire de la fantaisie, mais là je suis déçus.

Sinon, c'est un bon livre malgré lui.

Afficher en entier
Chroniques de Dragonlance, Tome 1 : Dragons d'un crépuscule d'automne

La série des Lancedragon est vraiment comme je l'imaginais. En tant que mère du jeu Dongeon dragon, elle a certaine importance dans cet univers, mais elle a aussi une valeur en tant que livre. Pour l'instant, je dirais qu'elle représente un vieu classique de fantasy qui fait penser à Tolkien comme beaucoup d'autres romans.

Cette série a l'avantage de s'adresser à un large public : autant un jeune ado qu'un adulte nostalgique pourrait aimer ces livres. C'est sûr que le ton est léger, est souvent à la rigolade, mais cela ne tourne pas l'histoire en dérision au contraire ! Cette légéreté fait du bien, fait rire, fait s'évader et rend la lecture simplement facile. Elle se trouve dans les dialogues drôles, les scènes drôles et aussi les merveilleux paysages décrits.Si vous aimez les histoires classiques avec des dragons, des elfes, des nains, des magiciens, des hobbits insouciants ( ou kenders comme on les appelle dans cette histoire ), des licornes, pégases et bien créatures avec des dieux, de la bataille de l'amour et de la magie, cette série est pour vous ! Mais elle ne l'est pas pour les fans de fantasy nouvelles, des originales.

L'histoire rend nostalgique, car son genre vintage ramène en arrière. C'est simple, mais tellement bon ! C'est la bataille du bien contre le mal et pour une fois, dans une ancienne série fantasy, c'est une femme, une déesse, la reine des ténèbres qui est l'ennemie. Pour les personnages, ils ne sont pas encore tant développés dans le tome 1, mais je les aime bien. Où je suis rendue, les ténèbres reviennent, une bataille a été remportée, des objets ont été trouvés pour retrouver peut-être la lancedragon, une ancienne arme pour s'armer contre les dragons de la reine des ténèbres et je viens de rencontrer un mystérieux élu ( à la fin ) à la pierre verte, incrustée à sa poitrine.

Afficher en entier
Chroniques de Dragonlance, Tome 2 : Dragons d'une nuit d'hiver

J'attendais un peu plus de ce deuxième tome. L'histoire et l'univers sont toujours dans le même genre classique de haute fantasy que le premier à n'en pas douter. Mais j'ai regretté que pas mal de passages importants n'ont pas été relatés. Comme ce qui sépare les derniers évènements du premier tome 1 du début de celui-ci. C'est résumé, mais c'est un gros manque à l'histoire qu'il a manqué à l'histoire comme d'autres événements par la suite. Mais l'histoire progresse. J'ai aimé exploré l'univers, son historique, découvrir les dragons du bien et les fameuses orbes draconiques. La fin de ce tome 1 était assez cool. Très prenante bataille avec une Laurana en partie transformée ! Bien sûr, elle s'est aguerrie avec les épreuves et plus fortes, mais il n'y a pas eu tant d'évolution dans son personnage comme dans tous les autres. Non, les personnages ne se développent pas de beaucoup. C'est dommage, mais on s'y attache tout de même. Et l'humour et la légèreté donnée au récit sont toujours là et font du bien.

Afficher en entier
Chroniques de Dragonlance, Tome 3 : Dragons d'une aube de printemps

J'ai vraiment été déçue par ce dernier tome. La fin a été véritablement bâclée. Elle fait du sens, mais elle manque beaucoup de travail. Tout était précipité à la va-vite comme pour finir le livre plus vite. J'avais l'impression qu'il manquait des bouts à d'autres chapitres. La guerre n'était pas épique du tout et la présence de la reine des ténèbres à la fin n'était pas à la hauteur. C'est vraiment dommage. Certaines idées centrales restaient intéressantes et prenantes, mais vraiment mal développées. L'évolution de Raistlin est mal montrée par exemple et surtout la guerre, on ne voyait rien dans celui-ci. C'est comme si les auteures avaient tout donné dans le premier et le deuxième qui, bien que légers, étaient plus complets. Il y avait des batailles cool à la fin du deux. Pourquoi pas dans celui-ci ?

Afficher en entier

Dédicaces de Margaret Weis
et autres évènements

Aucun évènement prévu

Editeurs

Milady : 25 livres

Pocket : 19 livres

Hachette : 19 livres

Bragelonne : 10 livres

Fleuve Noir : 8 livres

Milady Graphics : 3 livres

Presses pocket : 2 livres

HarperCollins : 1 livre

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode