Gérard Chevalier

Je me suis régalée en lisant ce livre. Un vrai moment de détente, si vous aimez, comme moi, la Bretagne et les chats.

J'ai commencé ce roman ce matin même, j'avais dans l'optique de lire un polar léger et sans prise de tête (après avoir fini Les Suicidées de Val McDermid).

Le "spitch" de base me paraissait plutôt alléchant. Je commence donc ma lecture ttoute en douceur dans le train.

L'histoire se met en place rapidement et les événements s'enchaînent cependant mon envie de continuer reste à la traîne. Pourquoi? a cause du comportement plus qu'insupportable de la Chatte Catia (elle est très, très narcissique), donc, à certains moments, je faisais une lecture en diagonale.

C'était, malgré tout, une bonne petite pause entre deux romans plus conséquent.

Note Personnelle: L'auteur est une personne vraiment très sympathique et juste pour ça je ne regrette guère de mettre procurer ce roman ^^

Comme qui dirait : chat valait le détour !

Découvert par hasard en passant devant une librairie qui avait mis en avant cet auteur dans sa vitrine, j'avoue avoir été séduite par l'idée d'un chat qui mène l'enquête, me rappelant aussitôt "l'espion aux pattes de velours".

J'ai tout de suite adorer fréquenter Catia. Sa vision, son humour, ses manières.

Côté scénario, j'ai parfois eu du mal à suivre le tout, à cerner certains moments en particulier. Bon, faut avouer que la miss Catia semble tomber facilement et rapidement dans le sommeil, me surprenant avec ses cauchemars en plein milieu de ses pensées sur l'enquête. Egalement, j'ai eu un peu de mal à suivre la résolution finale de l'enquête. Mais peut-être parce que j'ai terminé le roman à 3h30 du matin (encore un roman qui vient s'ajouter à la liste "roman qui a volé une partie de ma nuit mais il fallait que je le finisse ça pouvait pas attendre demain matin"). Ces deux seuls points seront mes bémols. Sinon, c'était rafraichissant, décapant, accrochant, un roman policier comme il en faudrait plus. Ce regard perdu sur la vitrine de cette librairie valait le coup !

Pour les amoureux des chats. Au demeurant, après avoir lu Catia, j'imagine tout à fait mes chats exprimer les mêmes pensées que notre enquêtrice à mon encontre...

Bon j'admets avoir commencé par "ron ron ça tourne"... je suis tombée sous le charme de Catia et j'ai pris sa première enquête. C'est un pur délice que de faire sa connaissance, découvrir son univers et elle.

Son humour décapant est rafraîchissant, éclatant et tellement vrai !

Gérard Chevalier me charme vraiment par son écriture et son inventivité.

Je suis sûre qu'il y a un matou dans son entourage. Seul un propriétaire de félin peut imaginer ce que son compagnon à quatre pattes peut penser de son bipède !

Bref, c'est pour les amoureux des chats. Et aux adeptes de l'humour. Des enquêtes policières pleines d'humour, moi, j'adhère et je redemande !

Lire les aventures du chat Catia est rafraîchissant. C'est toujours facile de se laisser embarquer dans son humour. La plume est agréable à lire.

Cependant, le scénario, s'il en reste bien monté, ne montre rien de très surprenant. La résolution est d'une facilité sans surprise. Grandement dommage sur ce point. Cela s'éloigne tellement d'une enquête policière !

Le classement en diamant est mérité pour l'humour, la qualité de la plume mais mériterait plus un classement en bronze pour la qualité du scénario et les digressions de Catia qui égarent amplement et noie le sujet du livre...

Ouf ! Ce volume se rattrape largement par rapport au précédent ! Encore une fois, je l'ai dévoré en très peu de temps : quand on commence, il faut finir absolument ! Certes, pour le coup, il faut avoir lu les aventures précédentes de Catia.

Cette fois-ci, il faut avouer que l'enquête, avec un sujet pour le moins original, est brillamment menée et offre des rebondissements inédits et très drôles.

Rythmé, rafraîchissant, Catia offre encore une fois un très bon moment de lecture avec une écriture qui tiendrait presque du carnage mais qui change tour à tour de registre avec une facilité déconcertante, changements qui s'intègrent naturellement dans la lecture.

J'adore toujours autant le chat Catia ! Si le cadre de l'enquête prête un peu moins à rire, il n'en reste pas moins que les jeux de mots de Catia poussent à sourire, voire à rire !

Pour une fois, j'admets que le suspens fait durer un peu le plaisir de l'enquête.

L'enquête reste néanmoins simpliste, se prêtant bien à une lecture sans prise de tête avec des personnages originaux et toujours attachants.

Toutefois, je reprocherais un léger "je ne sais quoi" qui rend parfois Catia agaçante. Comme si l'auteur en avait assez de son héroïne... Dommage.

Une enquête un peu bâclée à mon goût sans vraiment de recherche. J'ai eu l'impression de n'avoir que le début, la suite étant la fin laissée en suspension, là où je me pose le plus de questions à vrai dire. Bien dommage dans l'ensemble alors que Catia est un bon personnage quand même dans l'ensemble. J'ai eu aussi la sensation que l'auteur en a marre de ses personnages alors que la qualité de son écriture est toujours au rendez-vous.

Bien dommage même si j'ai passé un bon moment à lire cette enquête avec l'humour du chat enquêteur.

Un roman original notamment au début, mystérieux au milieu et débridé sur la fin. À partir d’un sujet médical principal maîtrisé par l’auteur, le livre nous entraîne dans une énigme liée au trafic d’organes tout en liant une histoire romantique entre les protagonistes. Du rythme, de l’écriture aisée, du suspense, font de ce livre une belle réussite pour un auteur fiable, qui par ailleurs, nous fait réfléchir sur le sujet des AVC.

Avec son commandant Garnier, Gérard Chevalier immerge avec Meurtre en pleine page au cœur du département de l’Orne où la nature règne impétueuse et magnifique pour une enquête façon polar, type France 3 le samedi soir mais sans attraction touristique ni dépliant d’office de tourisme. Ici, nous sommes au royaume de la nature, des maisons anciennes à rénover et de la diversité ornithologique.

Car en plus d’être un flic, Le commandant Garnier aime plus que tout contempler la nature, rebâtir des vieilles bâtisses et se laver l’esprit en plantant sa méditation au bord de l’eau.

L’enquête commence par la découverte d’un cadavre dans un manoir près de Silly. Puis, les morts s’enchaînent faisant penser à un tueur en série. Sauf qu’au fil des meurtres, un comité de lecture semble visé.

Gérard Chevalier propose un roman policier des plus classiques, sans grande surprise, avec des références littéraires, historiques et culturelles disséminées de-ci de-là.

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