Jêrome Verne

J'ai beaucoup aimé cette revisite du Petit Chaperon Rouge. J'ai été agréablement surprise sur le dénouement de l'histoire, les personnages principaux sont très attachants et j'ai beaucoup apprécié leur rencontre. Les plumes des auteurs sont très agréables et fluides, de plus, le livre est très court donc c'est très rapide à lire. Je recommande chaudement cette petite histoire !

Bon ce roman décrit parfaitement ce qu'est la frustration car il instaure un univers très intéressent mais il est tellement court !!!!! Seulement 141 petites pages !!!!! Je suis juste trop triste !!!!!!!!!!!!!!!!

Si vous êtes intéresser par les réécritures de contes foncer. Lecture rapide mais super agréable.

Mais qu'est-ce que j'aimerait que les auteurs puisent écrièrent un tome voir une série bien plus conséquent car il y a matière avec ce qui est installer dans le roman. Car le conte principal est certes le petit chaperon rouge mais il y a bien d'autres contes ou histoires références dedans qui ne demande qu'à ce voir développer.

Si cela est le cas dans un avenir proche ou lointain je serais au rendez-vous car ce roman m'a donner l'eau à la bouche ;).

Ha, j'allais oublier, il y a aussi 4 illustrations faites par Shealynn Royan. Petit bonus que j'adore. Il y a la carte du monde ou du moins une partie qui donne vraiment envie de parcourir cette univers et 2 portraits de personnages mais aussi la couverture. Cela permette une immersion plus grandes.

En sommes, j'adore!!

Je conseille cette petite lecture vraiment sympathique autant si vous êtes à la rechercher de réécritures de contes, de lecture simple mais entrainante ou pour soutenir les auteurs.

Bonne lecture à tous et toutes :).

Une belle découverte !

J'ai beaucoup aimé ce roman ! J'ai apprécié les personnages qui m'ont vraiment intriguée, qui sont assez attachants et complexes à la fois.

On a une histoire vraiment addictive, prenante et qui se lit très bien.

L'univers m'a intrigué et j'aurai aimé qu'il soit plus développé.

Seul bémol : je le trouve trop court pour avoir une histoire bien développée, un univers bien mis en place et du coup il manque vraiment quelque chose au roman.

Par contre, j'ai beaucoup aimé les plumes : fluides, agréables à lire et qui m'ont happée dans cette histoire.

Cela reste une très bonne revisite du chaperon rouge !

Je viens de terminer ce roman, qui nous laisse une touche d'envie d'en savoir plus encore.

L'univers est parfaitement construit autour du thème du "chaperon rouge" et quelle plaisir de pouvoir redécouvrir ce conte revisité. 143 pages s'est très court pour un roman d'une telle ampleur mais il ne vous laisse pas de marbre.

Les actions s'enchaînent, tout comme les problèmes.

Les personnages sont très intéressants et parfaitement développés tout autour du thème. Chani représentant le "chaperon rouge", est bien construite, une peur qui se fait régulièrement ressentir et sa fidèle arbalète qui la suit partout !

C'est personnellement, le genre de femme que j'apprécie voir dans les romans, elle tient tête et n'hésite pas à agir sans l'accord des autres. Elle a un caractère bien trempé malgré ses peurs.

Emeric est un des personnages qui ma le plus intrigué. Au début, je ne comprenais pas tout de sa situation jusqu'à que les pièces du puzzle s'assemblent !

Les plumes des auteurs sont uniques en leurs genres. D'une fluidité sans pareil, l'histoire s'enchaîne sans qu'on est le temps de respirer. Les pages défilent très rapidement.

Les illustrations, au début, du roman sont un véritable plus ! C'est toujours un plaisir d'avoir la chance de visualiser les personnages, ou bien la carte.

Je conseille cette histoire à tout ceux qui aiment les contes, qui aiment continuer à rêver grâce à ces histoires.

Voilà un très bon roman policier historique. L'auteur s'il est novice dans ce type de littérature nous a déjà offert d'autres livres où il a montré l'étendue de son talent.

Le pitch ? l'action se passe vers la fin du Second Empire (en 1865). Un jeune inspecteur de police va lors de sa première enquête seconder son supérieur lors d'une intervention sur une mort mystérieuse intervenu mors d'un dîner regroupant plusieurs célébrités littéraires.

L'un des éléments essentiels du roman historique est le décor. Dans ce cas précis, c'est d'emblée une réussite. La scène du théâtre nous plonge d'emblée dans ce monde de la bourgeoisie triomphante du second empire. Jérôme Verne nous fait sentir, l'odeur des crinolines, des messieurs en redingote et lorgnon. On a parfois l'impression de lire un petit reportage sur un soir de première à la Comédie Française comme il y en avait dans les journaux de l'époque.

Ça continue de plus belle lors des pages consacrées aux mœurs de cette bonne société de l'époque. Jérôme Verne nous fait bien ressentir la morgue de cette haute bourgeoisie, le mépris des écrivains( certains noms qui apparaissent sont authentiques comme Camille Doucet) entre eux suivant le genre qu'ils pratiquent (Comment ça, ça n'a pas changé ?), le troussage des domestiques, l'arrivisme. Sur ces pages-là, on pourrait penser que nous sommes en train de lire « Pot Bouille ». Sous le vernis d'un bon divertissement, Jérôme Verne sait se montrer féroce…mais juste.

Notons aussi les clins d'œil aux littératures populaires de l'époque. le lecteur retrouvera notamment Gaboriau dans ces pages…

L'intrigue tient du roman de détection classique mais bien menée et qui avec un certain sens du suspens nous tient en haleine jusqu'à la fin. Un véritable turn-over qui vous ne pouvez lâcher avant une fin qui annonce d'autre aventures pour le héros.

Les personnages sont suffisamment originaux et décrits avec assez d'empathie pour susciter nôtre attachement.

Le héros, Eugène est décrit avec humour : Il est jeune, ambitieux, séducteur (mais en même temps naïf) avec les femmes qui ne sont pas insensibles à sa jeunesse mais doué d'un sens de l'observation qui lui sera bien utile. Il apparaît en outre assez conscient des injustices de l'époque et du caractère arbitraire du régime impérial (Jérôme Verne nous rappelle ce problème).

Les autres personnages échappent aux stéréotypes et permettent surtout à l'auteur de compléter le portrait de cette haute bourgeoisie hypocrite.

Le patron d'Eugène bienveillant et un peu buté nous montre bien les préjugés dans lequel s'enferment certains éléments. J'avoue un coup de Voilà un très bon roman policier historique. L'auteur s'il est novice dans ce type de littérature nous a déjà offert d'autres livres où il a montré l'étendue de son talent.

Le pitch ? l'action se passe vers la fin du Second Empire (en 1865). Un jeune inspecteur de police va lors de sa première enquête seconder son supérieur lors d'une intervention sur une mort mystérieuse intervenu mors d'un dîner regroupant plusieurs célébrités littéraires.

L'un des éléments essentiels du roman historique est le décor. Dans ce cas précis, c'est d'emblée une réussite. La scène du théâtre nous plonge d'emblée dans ce monde de la bourgeoisie triomphante du second empire. Jérôme Verne nous fait sentir, l'odeur des crinolines, des messieurs en redingote et lorgnon. On a parfois l'impression de lire un petit reportage sur un soir de première à la Comédie Française comme il y en avait dans les journaux de l'époque.

Ça continue de plus belle lors des pages consacrées aux moeurs de cette bonne société de l'époque. Jérôme Verne nous fait bien ressentir la morgue de cette haute bourgeoisie, le mépris des écrivains( certains noms qui apparaissent sont authentiques comme Camille Doucet) entre eux suivant le genre qu'ils pratiquent (Comment ça, ça n'a pas changé ?), le troussage des domestiques, l'arrivisme. Sur ces pages-là, on pourrait penser que nous sommes en train de lire « Pot Bouille ». Sous le vernis d'un bon divertissement, Jérôme Verne sait se montrer féroce…mais juste.

Notons aussi les clins d'oeil aux littératures populaires de l'époque. le lecteur retrouvera notamment Gaboriau dans ces pages…

L'intrigue tient du roman de détection classique mais bien menée et qui avec un certain sens du suspens nous tient en haleine jusqu'à la fin. Un véritable turn-over qui vous ne pouvez lâcher avant une fin qui annonce d'autre aventures pour le héros.

Les personnages sont suffisamment originaux et décrits avec assez d'empathie pour susciter nôtre attachement.

Le héros, Eugène est décrit avec humour : Il est jeune, ambitieux, séducteur (mais en même temps naïf) avec les femmes qui ne sont pas insensibles à sa jeunesse mais doué d'un sens de l'observation qui lui sera bien utile. Il apparaît en outre assez conscient des injustices de l'époque et du caractère arbitraire du régime impérial (Jérôme Verne nous rappelle ce problème).

Les autres personnages échappent aux stéréotypes et permettent surtout à l'auteur de compléter le portrait de cette haute bourgeoisie hypocrite.

Le patron d'Eugène bienveillant et un peu buté nous montre bien les préjugés dans lequel s'enferment certains éléments. J'avoue un coup de cœur pour les personnages féminins en particulier celui de la pauvre et émouvante servante Primerose.

En résumé, un ouvrage que je recommande à tous les amateurs d'Histoire et de Polar Historique. Une belle manière d'apprendre plein de choses en se divertissant.

Une petite réécriture du petit chaperon-rouge ça vous dit ?

On y suit ici Chani une jeune fille vivant au village d'Hamelin qui, après la mort de ses parents, s'est jurée de trouver les responsables, à savoir les Loups. Depuis peu son village est le témoin fréquent de leurs attaques mais aussi de disparitions très inquiétantes. Que se passe-t-il à la frontière de son village ? Qui est Emeric ce jeune homme qui semble partager sa même envie de tuer ces Loups ?

Ce livre est plutôt court, à savoir 143 pages, donc oui on ne peut pas le juger comme un roman de 400 voir 500 pages. Je l'ai bien aimé, même si j'ai trouvé certaines choses étaient prévisibles, après je pense que pour que le suspens ne soit pas gâché qu'il soit lu par un public plus jeune que moi ou peut-être moins exigeant. Cela ne m'a pas enlevé l'envie de lire la suite cependant.

Les plumes sont plutôt agréables, fluides, je déplore juste un petit manque de descriptions concernant les personnages et les paysages, mais comme il s'agit d'un conte, on est en droit aussi pour certains de vouloir imaginer le livre tel qu'on le veut. Les personnages quant à eux sont assez attachants surtout Chani qui a une grande force de caractère et ne se laisse pas faire, même face au danger. Elle fait preuve d'audace et de détermination dans son entreprise. Emeric quant à lui est plus discret que cette dernière, il est protecteur, mystérieux. La grand mère de Chani est plutôt drôle aussi.

L'histoire est assez basique, mais je pense que je n'aurai pas trouvé mieux pour coller au conte de base. Chose que j'ai beaucoup apprécié en revanche, ce sont les différentes références aux autres contes disséminés dans le roman. Les auteurs ont choisi de placer l'intrigue dans un univers où tous les contes s'y trouvent répartis dans plusieurs secteurs. C'est plutôt original, et un peu risqué, mais je peux que ça peut donner une touche de modernité et d’originalité à ces contes de notre enfance, afin qu'ils soient découverts sous un nouveau jour.

Petite mention aussi aux illustrations et à la carte que l'on découvre au début de notre lecture, qui sont magnifiques.

Cœur de Loup, c'est une réécriture de conte originale, qui utilise des ficelles plutôt classiques, mais qui nous offre un développement bien plus surprenant que ce que nous pouvions penser et qui nous livre une histoire aussi prenante, que touchante !

Avis complet : http://elo-dit.over-blog.fr/2020/07/coeur-de-loup-jerome-verne-et-shealynn-royan.html

[SERVICE PRESSE].

•

•

•

Les enquêtes d’Eugène Morvan (un anniversaire mortel) de Jérôme Verne - Auteur publié chez Erminbooks.

•

•

Je remercie chaleureusement mon nouveau partenaire pour ce premier service presse.

•

•

Mon résumé :.

•

Eugène Morvan est un jeune stagiaire, qui se rêve inspecteur de police. Avec l’inspecteur Briochin, le voici qui enquête sur la mort d’un certain André Auger, le soir de son anniversaire.

•

•

•

1865. Eugène Morvan est un jeune homme de 22 ans. Après avoir terminé son service militaire, l’opportunité de travailler à la Sureté lui est offerte. Ravi, il est assigné stagiaire de l’Inspecteur Briochin. Motivé et excité, le jeune homme est propulsé dans sa première enquête criminelle.

•

L’inspecteur Briochin est un inspecteur de police accompli. Autoritaire et intelligent, il supporte le stagiaire Morvan, qu’il doit former au métier. Un peu bourru, celui-ci se prend tout de même d’affection pour le jeune homme.

•

•

•

Mon ressenti final :.

•

Déjà, je voudrais toucher deux mots rapides sur la couverture, que j’adore complètement. Elle est simple, sobre et juste parfaite pour illustrer ce roman court.

•

Depuis quelques semaines, je découvre les récits se déroulant dans les siècles précédents et j’apprécie ce saut dans le temps.

•

Me voici propulser en 1865, à l’époque de Napoleon. Dans le roman en lui-même, cela n’aura pas de réelle importance, si ce n’est que la police de l’époque n’a pas les méthodes policières d’aujourd’hui. L’importance viendra du fait que les héros devront fonctionner avec leur intuition, leur déduction et les faits avérés. Tout le récit est alors basé sur le mécanisme du cerveau qui analyse, développe, comprend et découvre le meurtrier.

•

L’imagination du lecteur va alors se mettre en branle et imaginer les rues, les habits, les gens, comme ils l’étaient en 1865. J’ai complètement plongé dans cette petite enquête haletante et mystérieuse. L’écriture de l’auteur est abordable, précise et d’une simplicité qui la rend addictive. Dès que j’avais cinq minutes, je me plongeais dans l’enquête menée par le jeune Eugène, avide de prouver qu’il a les compétences nécessaires pour être un bon enquêteur. Mais attention ! Notre jeune stagiaire n’en oublie pas de jouer de ses charmes pour obtenir quelques aveux !.

•

Nous suivons donc pas à pas les doutes, les victoires ou les interrogatoires des deux inspecteurs, puis le cheminement qui nous mènera à la révélation du nom du coupable. Ce premier tome s’achève avec la découverte du meurtrier, ce qui clos le récit et n’appelle pas à l’attente d’une suite.

•

J’ai eu beaucoup de plaisir à découvrir ce premier opus et je serais ravie de suivre les futures enquêtes de Morvan et Briochin.

[SERVICE PRESSE].

•

•

•

Cœur de loup de Jérôme Verne - Auteur et Shealynn Royan publié chez Erminbooks.

•

•

Je remercie mon partenaire pour ce second service presse.

•

•

Mon résumé :.

•

Chani ne pense qu’à une seule chose : se venger du loup qui a tué ses parents. Elle arpente la forêt, tue des loups et fait de la contrebande de leurs peaux. Un jour, elle sauve Emeric, un inconnu, d’une mort certaine. Alors que des disparitions d’enfants sont de plus en plus fréquentes, Chani est persuadée qu’il s’agit d’une meute de loups qui les enlèvent pour les tuer. Mais elle se trompe complètement, à commencer par le bel Emeric.

•

•

Chani est une jeune femme courageuse. Agressée par des loups alors qu’elle est enfant, ses parents perdent la vie et elle est sauvée par sa grand-mère, Nanee, avec qui elle vit dans une cabane en forêt. Assoiffée de vengeance, la jeune femme, qui manie très bien l’arbalète, fait de la contrebande avec les peaux de loups qu’elle tue.

•

Emeric est un jeune villageois. Proche de sa sœur et de son neveu, il fait partie de la Confrérie de la Lune. Mordu par un loup à qui il tente d’échapper, il est recueilli et soigné par Chani et sa grand-mère. Lorsque Finn, le neveu d’Emeric, est kidnappé, la Confrérie décide d’organiser une battue et croise à nouveau la route de Chani.

•

•

Mon résumé :.

•

Je retrouve avec plaisir, la plume délicate de Jérôme, que j’ai découverte dans un autre registre, cet été.

•

Cœur de Loup est un roman court et très bien écrit, qui respecte les codes du bit-lit. Nous avons ici, de l’action, du mensonge, des crocs, des méchants et des gentils qui ont des secrets.

•

J’ai cru déceler avec plaisir, un petit clin d’œil au Petit Chaperon Rouge ainsi qu’à Blanche-Nige, j’ai beaucoup apprécié.

•

Comme à l’accoutumée, Jérôme va droit au but lorsqu’il écrit son histoire. Les personnages sont agréables ou mauvais, c’est selon. L’action y est bien décrite et j’ai retenu ma respiration lors des combats. J’ai aimé cette touche de pudeur lorsque les humains se transforment en loups, c’était adorable. La romance est très prude mais présente, j’ai également aimé cet aspect. Chani est un personnage complet : solitaire puis solide partenaire de combat, boudeuse puis frondeuse, un caractère affirmé qui n’hésite pas titiller la jalousie de Séléna, j’ai apprécié la jeune femme.

•

Le déroulé du roman est efficace et bien mené, ce qui m’a permis de profiter pleinement de ma lecture. N’hésitez pas à vous plonger dans ce petit roman somme toute complet, vous ne serez pas déçu.

Très léger. A part la remarque du bon inspecteur Briochin sur la gêne de Doucet à la mention du livre qu'il devait emprunter, tout est très "1er degré". La petite bonne annonce franco de port (porc?) Spoiler(cliquez pour révéler)les attentions que lui portait la victime - jusque sous le nez de la cuisinière (??).

Les policiers parlent d'égal à égal et à bâtons rompus avec ces "notables" qui ne se font guère prier pour déballer leur linge sale sans plus de protestations...

Ayant l'habitude des romans historiques se déroulant dans des époques proches en Angleterre (Granger, Perry), j'émets des réserves sur la vraisemblance historique des relations sociales dans ce contexte. Quoi, aucun faux-fuyant, les policiers balancent sans ménagement leur suppositions dans les dents des témoins/suspects, qui acquiescent comme de gentils écoliers ? De la part de contemporains d'Adolphe Thiers - dans le milieu littéraire, qui plus est - j'attends davantage de caractère, d'esprit et de vocabulaire. Voire des allusions, du second degré. Les scènes entre Eugène et Arlette tireraient avantage d'une mesure de subtilité. C'est brut ! Enfin, les ressorts psychologiques du petit Eugène, à part le fait de vouloir briller... On est loin du Monk d'Anne Perry. Et le contexte historique de la police judiciaire est plus occulté que montré. Nos enquêteurs appartiennent-ils au même corps que l'inspecteur Lecoq imaginé par ... Emile Gaboriau, un des protagonistes de l'enquête ? La mise en abîme est sympathique, mais on reste sur sa faim !

Ne parlons pas de l'accusation lancée par Briochin, sans preuve aucune. Spoiler(cliquez pour révéler)En s'appuyant sur un mobile travaillé à la truelle et balancé à la personne concernée façon Freud de comptoir ; pour un(e) coupable qui aurait vraiment choisi l'arme, le moment et l'endroit les plus saugrenus pour agir.

Et ces (deux ! ) scènes d'explication/accusation avec tous les protagonistes... N'est pas Hercule Poirot qui veut.

Mais bon, j'ai fini en diagonale, il faut dire.

Quelques fautes de temps assez grossières dans les premiers chapitres cassent le rythme de lecture (un indicatif au lieu de subjonctif, un non respect de la concordance des temps).

Bref, c'est bien pour qui veut un en-cas qui ne lui pèsera pas sur l'estomac, un policier à énigme - c'est de plus en plus rare, hélas - vite croqué.

Pour mon goût, à étoffer et à faire mûrir. Merci en tous cas d'avoir attiré mon attention sur Gaboriau; le début de son "Monsieur Lecoq" est sacrément prometteur !