Tony Cavanaugh
Auteur
Activité et points forts
Thèmes principaux
Classement dans les bibliothèques
Quelques chiffres
Note moyenne : 7.8/10Nombre d'évaluations : 25
0 Citations 18 Commentaires sur ses livres
Les derniers commentaires sur ses livres
Il doit y avoir un problème de traduction avec ce livre... Des passages totalement incompréhensibles. Un exemple page 35 : "J’acquiesçai devant tant de sagacité. Casey avait le savoir. Il l'avait toujours eu. Après que la boule de feu a incinéré ses onze filles, j'ai ordonné à mon équipe d'aller secouer les Perses". (...) "Douze maîtresses enfermées dans de mignons appartements qui ne leur appartenaient pas, contemplant le flingue d'un évitable remplacement"... Tout le long c'est comme ça ! Je n'arrive plus à suivre, c'est vraiment trop charabia.
Afficher en entierCe roman policier est le second de la sélection en lice pour le Prix du Meilleur Polar 2018 aux éditions Points. Alors que j’ai lu des critiques sur ce livre pas forcément des plus enthousiastes, je l’ai particulièrement bien aimé et lu en seulement deux jours.
Chronique complète : http://musemaniasbooks.blogspot.com/2018/08/laffaire-isobel-vine-de-tony-cavanaugh.html
Afficher en entierPrêts à repartir pour une aventure avec Darian Richards ?
Et, croyez-moi, pour une aventure, c’en est une sacrée !
Quand il reçoit un message d’Ida l’appelant à l’aide, Darian ne peut pas ne pas y répondre.
Après tout, il lui a déjà sauvé la vie, et de toute façon cet ancien flic n’est pas du genre à abandonner une jeune femme en détresse.
Sauf qu’à son arrivée Ida a disparu, et il retrouve le corps de deux jeune femmes. Assassinées.
Autant dire qu’il n’est pas question de perdre une seule minute
.
Si Requiem fait bel et bien partie d’une série, ne pas avoir lu les enquêtes précédentes n’est absolument pas un obstacle pour bien comprendre celle-ci.
L’histoire est clairement racontée, et nous ne sommes donc absolument pas perdus au milieu des personnages qui ont déjà eu à se rencontrer.
L’écriture de Tony Cavanaugh n’est plus à présenter : vive, addictive, incisive.
À l’image de son personnage principal.
D’où sûrement le fait qu’on le compare régulièrement à Michael Connelly.
Darian Richards est fonceur, charmeur, rentre-dedans, agaçant, irrespectueux, percutant, têtu, généreux, hargneux, loyal et vindicatif.
Tout sauf lisse.
Et le plus important pour lui, c’est de rendre justice.
Pas de suivre la justice, non, rendre justice.
Vous l’aurez compris, ce qui compte c’est le résultat, pas la manière.
C’est un des très gros points forts de ce roman : la personnalité complexe de Richards. Ni un héros, ni un anti-héros. Juste un homme, avec ses qualités, ses défauts.
Humain donc.
Un autre des points forts ici, c’est que ce n’est pas tant « qui » est le méchant, mais plutôt « comment » on arrivera à le stopper.
L’alternance des chapitres entre Dorian et « l’autre personne » permet une double perspective assez agréable car encore plus immersive.
Imaginez deux camions se foncer dessus à toute vitesse, et vous aurez une idée de l’adrénaline ressentie pendant cette lecture.
L’ambiance est sombre, pesante, humide, presque glauque. Et bon sang ce qu’on aime ça !
Un ex-flic au fort tempérament et qui n’en fait qu’à sa tête.
Une enquête prenante.
Un décor de mille couleurs.
Des dialogues qui cognent.
Bref tout ce qui fait d’un polar un très bon polar.
À lire, évidemment !
Afficher en entierBon petit thriller sans longueur
Afficher en entierSanglant, sordide mais envoûtant. Gore mais un soupçon en deçà de Grangé. Ouf !
Deux trames se développent en parallèle, se croisent et fusionnent en finale.
Dorian, ex-flic, reçoit un appel à l’aide de Ida, jeune femme qu’il a jadis sauvée des griffes d’un serial killer.
Un couple de brésiliens, Rosalita, alias Starlight, et son frère Carlos, alias Estefan, pratiquent le trafic d’êtres humains. Ils fournissent de jeunes et charmantes jeunes femmes à qui est en mesure de payer.
Leur affaire se développe en Nouvelle Galle du Sud, sur la Gold Coast au Sud de Brisbane, Australie.
Les autres protagonistes ont des rôles métaphoriques. Maria, l’ex-collègue de Dorian et compagne d’un ami, restera sa bonne conscience. Isosceles concentrera la fonction de Geek et assumera tout ce qui est technologique. Blond Richard, le biker, est l’incarnation de son alias de voyou et sera donc son exécuteur des basses œuvres.
Etant ancien flic, il n’entretient pas des rapports harmonieux avec ses ex-collègues.
Chapitres courts rendant le récit nerveux. Mais l’absence de subjonctifs prouve que le traducteur a fait appel à un automate de traduction.
Conclusion habile mais prévisible. Un bon moment mais vivement le Fred Vargas qui m’attend.
Afficher en entierUn polar bien ficelé qui rouvre un cold case de 25 ans impliquant des policiers et des notables mafieux de la région de Melbourne.
Darian vieux flic désabusé va devoir démêler le faux du vrai pour tenter d élucider le mystère de la mort d Isobel.
Un bon moment lecture qui explore la corruption et les abus policiers.
Afficher en entierCru et flippant.
Afficher en entierC'est une lecture bien particulière que je viens de refermer avec le livre de Tony Cavanaugh. Un voyage différent, dans des contrées inattendues (et je ne parle pas de l'Australie).
J’ai bien failli passer à côté. The Australian compare Darian Richards, le flic récurrent de Tony Cavanaugh à Harry Bosch, à mon avis avec justesse. On y retrouve le même genre d’anti-héros, couturé de partout, épidermique au point de rater sa vie et pourtant implacable et blasé. Le côté gros dur qui flingue quelqu’un avant de terminer son assiette de raviolis.
C’est pas du tout ma came.
Et pourtant. Derrière les apparences froides et distanciées de l’écriture de Tony Cavanaugh, il y a une vie qui bat, mais comme au ralenti, comme engourdie, et l’écriture fait ici merveilleusement écho au héros.
L’écriture, c’est une grande force de Cavanaugh. Précise et imagée (« il ne marchait pas, il martelait le sol de ses pas »), elle est aussi lapidaire et un peu désespérée (« J’essaie d’éviter la politique mais c’est impossible…… Elle est là, comme le mal. On peut fermer les yeux, certes, mais les machinations et les pactes en coulisse sont comme une rumeur permanente dans le monde de la police, comme les rouages d’une machine » ou « La corruption n’est peut-être pas une condition nécessaire pour le boulot mais ce n’est certainement pas un obstacle »).
Rien à dire sur l’intrigue, qui est bien ficelée malgré quelques racourcis que je n’aurais jamais osés mais qui passent crème. Parce que l’essentiel est ailleurs.
L’essentiel, c’est la quête de ces flics pour débusquer une vérité vieille de 25 ans et faire justice quoiqu’il en coûte à l’institution ou au héros. On marche dans les pas de Dario, à un rythme qui n’est ni lent (il y a vraiment beaucoup d’actions), ni trépidant (il y a de la langueur dans le style, le choix des mots, de l’angle de vue, les descriptions à petites touches de la plus européenne des villes australiennes), mais plutôt hypnotique.
Bien que, sur le papier, L’affaire Isobel Vine ait eu beaucoup trop pour me déplaire, je l’ai lu jusqu’à la fin avec plaisir un peu comme une citronnade qu’on sirote par une journée d’été étouffante. Le rythme hypnotique des mots, l’ambiance et même les personnages commencent même à me manquer un peu…
C’est donc à une expérience de lecture différente que je te convie avec L’affaire Isobel Vine, une trouée dans le monde des policiers du sud de l’Australie, perché sur l’épaule d’un flic cabossé et désabusé.
Afficher en entierGrande fan de polar je me suis lancée dans ce nouvel auteur que je ne connaissais pas.
Il n'y a rien de bien nouveau mais l’histoire tient la route. L'intrigue est bien ficelée. Les personnages sont attachants, détaillés, crédibles.
J'ai par dessus tout adoré l'écriture de l'auteur. Il a une façon de décrire les lieux, les personnes, les scènes, qui captive tout au long du roman. Je conseille ce livre pour les amateurs de polar et de cold case.
Afficher en entierContente de retrouver l'ambiance de cet auteur. Un peu en deçà de son 1er, j'ai moins aimé le personnage principal dans ce second tome. Pourtant, on parle du même enquêteur mais j'ai peiné à le comprendre. Les autres personnes qui gravitent autour de lui sont un réel plus par contre. La trame de l'histoire est bien écrite et l'intrigue est bien menée.
Afficher en entierLes gens aiment aussi
Dédicaces de Tony Cavanaugh
et autres évènements
Aucun évènement prévu
Editeurs
Sonatine : 3 livres
Biographie