Grégoire Courtois

Les Lois du ciel ❤️❤️❤️❤️

Mon dieu...

Je n’est pas assez de mots pour décrire ma lecture...

D’une noirceur totale...

Se livre est un choc pour moi ...

J’en ressort bouleversé et terrifié au delà du possible...

Âme sensible surtout ne vous y risquez pas ...

Spoiler(cliquez pour révéler)Je suis pétrifié par ses horreurs .

Un gros coup de ❤️

Je n'ai pas du tout aimé ce livre c'est trop. Trop inconcevable, trop invraisemblable, trop rapide....pourtant j'aime le gore mais là ...

Tout d'abord je n'ai pas aimé l'écriture. "L'huissier Klein dit", "Fransen dit". C'est assez rébarbatif.

Ensuite l'histoire en elle même oui sauf que l'auteur se contredit, la voiture n'est pas un animal pourtant elle en possède les yeux, l'apparence, les pattes...

Ensuite il est noté sur la quatrième de couverture que "Grégoire Courtois s'empare avec brio du mythe moderne par excellence : la relation de l'homme à sa voiture." Pourquoi pas ? sauf qu'ici l'histoire devient malsaine quand l'auteur y introduit cette dimension sexuelle.

Une réelle déception que cette lecture.

Oula beurk : le seul mot qui me vient après avoir lu ce livre. Livre avec un suspens riche, j'avais envie de continuer de le livre (lu en une journée). Le scénario est très gore, sanglant et horrible. Si vous n'avez jamais lu de thriller avant, ne commencez surtout pas par celui-là, prenez-en un plus léger.

Voilà sinon je ne sais pas où l'auteur va chercher toutes ses idées, mais ouha.

Je ne sais pas si c’est le fait que j’ai vu beaucoup de films d’horreur, mais je n’ai pas trouvé ce film particulièrement effrayant ou gore. C’est plutôt un bon roman mais sans plus.

Peut être qu’il n’aurait pas fallu révéler dès le début qu’aucun enfant n’allait survivre afin de laisser un peu de suspense.

Pour ce qui est de l’écriture, j’ai apprécié la façon dont est écrit le récit, avec l’enchainement de plusieurs points de vue. Mais j’ai aussi été sorti de l’histoire par moment à cause de plusieurs phrases que j’ai trouvé trop longues.

J’ai bien aimé aussi la petite histoire racontée au coin du feu qui explique le titre du roman.

Mon commentaire contient quelques spoilers.

Macabre, glaçant, effroyable, dérangeant... Voilà les mots qui me viennent à l'esprit après avoir terminé ma lecture. J'ai vraiment du mal à concevoir qu'il soit possible d'imaginer de telles horreurs avec autant de précision et de détails. Le fait que les protagonistes soient des enfants de 6 ans renforce la dureté du récit et provoque un véritable malaise (surtout lorsque ces enfants deviennent des meurtriers). Même si dès le début du livre, l'auteur nous prévient que personne ne reviendra vivant de cette sortie scolaire, les scènes où les enfants perdent la vie sont très difficiles à lire. Certains passages manquent de crédibilité : notamment l'histoire racontée par Fred, l'enseignant, le soir au coin du feu. L'histoire en elle-même est très intéressante, d'autant plus qu'elle explique le sens du titre, mais elle n'est pas du tout adaptée à un public de jeunes enfants ! (Étant moi-même enseignante en primaire, il ne me viendrait pas à l'esprit de raconter l'histoire d'une souris qui se fait dévorer le visage par des oiseaux à des enfants de 6 ans et surtout pas le soir avant d'aller dormir au beau milieu de la forêt !). Le fait également que personne ne survive est un peu extrême : l'accident de voiture du mari de Sandra et de Nathalie aurait pu être évité par exemple ou Sandra aurait pu réussir à sortir de la forêt au lieu de tourner en rond pendant quasiment une journée. La longueur des phrases ne m'a pas dérangée, au contraire je trouve que cela renforce l'urgence de la situation et représente assez bien les centaines de pensées qui peuvent traverser l'esprit d'un enfant face au danger et à la violence. La scène finale est juste atroce à lire et m'a soulevée le cœur. Après tout ce que nous avions déjà lu, je ne pense pas qu'il était nécessaire d'écrire quelque chose d'aussi horrible. Cela ne m'a procuré qu'un sentiment de profond dégoût et le souvenir de cette scène risque de couper l'envie à de nombreuses personnes de relire ce livre.

Excellent ! Dès les premières pages, j'ai été transportée dans un autre monde avec, comme narratrice, une voiture dans les années futures. Celle-ci est suréquipée. Elle a été conçue avec le meilleur de l'être humain et de l'animal. le propriétaire y est tellement attachée qu'il ira jusqu'à… Des chapitres courts où un huissier cherche à comprendre ce qui s'est passé. Un roman qui ouvre plein de questionnement comme l'idolâtrie de l'homme face aux machines sophistiquées. Bravo pour l'originalité ! Bouquin que je n'ai pas pu posé de la première à la dernière page.

http://exulire.blogspot.com/2023/03/les-lois-du-ciel-gregoire-courtois.html

En quelques mots :

Un ouvrage terrifiant sur ce qu'une simple sortie scolaire pourrait devenir. Ame sensible passer votre chemin, l'effroi est décrit de façon magistrale par Grégoire Courtois qui nous emmène en forêt juste pour le pire : le pire de l'homme mais surtout le pire de l'enfant. Glaçant jusqu'à l'écœurement, les amateurs de sueurs froides, de récits d'halloween cauchemardesques vous ne pouvez ignorer ce roman.

En beaucoup plus de mots :

Avertissement : ce roman n'est pas à mettre entre toutes les mains - le printemps arrive et vos enfants vont partir en classe verte : NE LE LISEZ PAS tout de suite, attendez qu'ils soient de retour, vous avez toujours la larme à l'œil quand votre rejeton ou rejetonne vous quitte : NE LE LISEZ PAS tout de suite, attendez qu'ils grandissent, vous êtes Xylophobe, Hylophobe ou Ylophobe : NE LE LISEZ PAS du tout, vous êtes Achluophobe ou Nyctophobe : NE LE LISEZ PAS du tout, vous êtes Hématophobe : NE LE LISEZ PAS du tout ; en revanche, vous adoriez quand vous étiez enfants, les contes qui font peur au coin du feu, vous chercher le parfait roman pour Halloween, vous êtes accro à l'adrénaline livresque où vos doigts s'engourdissent parce que vous serrez trop fort votre livre, votre gorge est sèche car vous déglutissez trop souvent en lisant trop de mots terrifiants, vous voulez arrêter de respirer et avoir à retrouver votre souffle : LISEZ LE.

Ce roman est monstrueux : tous les synonymes de peur ne seront pas suffisants pour décrire ce récit : crainte, effroi, épouvante, frayeur, terreur, anxiété appréhension, aversion, cauchemar, bref de l'horreur à l'état pur.

Le pouvoir de l'imagination, le besoin de se faire peur. Comme le présente Philippe Stephan, pédospychiatre, le désir de se faire peur, c'est d'abord quelque chose qui vient confirmer notre existence. C'est une émotion intense, qui vous traverse et qui vous fait ressentir fortement le fait d'exister, précisément au moment où vous imaginez un danger qui vous menace. Grégoire Courtois a parfaitement décrit ce besoin de se faire peur qui va péricliter.

Ce roman parfaitement glaçant, je l'ai dit âme sensible s'abstenir, montre la violence primale, la noirceur de l'âme même du plus jeune âge et l'obscurité profonde la nature. On parle de l'innocence de l'enfance : ces chers petits bambins fragiles et délicats : et si ce n'était pas le cas. Est ce que nos caractères sont déterminés par notre éducation ou par nos gênes ou encore façonnés par les rencontres, les difficultés ou facilités rencontrées et ça depuis le plus jeune âge ?

Ainsi Enzo, Emma, Yasmine, Lucas, Océane, Louis, Nathan, Jade, Raphaël, Lilou, Hugo, Louis et Mathis, des prénoms rependus qui peut être n'importe lequel de vos enfants vont connaitre la peur, l'obscurité, la perte de repères pour enfin se perdre dans la folie : elle qui se nourrit de notre rapport avec le monde qui nous entoure( ici un lieu inconnu, absence de la famille,...) et de notre incapacité à exister dans le monde tel qu'il est ou tel qu'on se l'ait créé.

J'ai adoré la structure qu'à donné Grégoire Courtois à son roman : œuvre polyphonique lorsqu'un personnage pose une question, la réponse est donné par une autre alors qu'ils ne sont pas ensemble physiquement, comme si l'esprit de chaque individu avait créé un esprit supérieur omniscient. C'est la première fois que je lis un texte rédigé de cette manière est c'est très efficace. L'auteur décrit avec les mots justes des sentiments ambivalents, un univers étouffant où la violence est décuplée. Chose également rare, de nos jours, les phrases sont longues, très longues mais donnent du corps au texte et un rythme essoufflant comme les personnages qu'on imagine dans leur souffrance psychologique et physique.

J'avoue que je n'ai pas pu lire les quelques avant-dernières pages, le point culminant de la nature sauvage était trop forte pour que je puisse le supporter, mais une chose est sûre, une fois lu le livre reste inoubliable.

Puis, arrivée à la fin du roman, je me suis demandée, si je n'aurai pas préféré que l'ordre du roman soit inversé, que la fin soit le début et le début la fin, mener l'enquête, puis je me suis dit que cette façon d'écrire était justement tout l'intérêt de l'œuvre, mais j'ai une pointe de regret de n'avoir pas un suite qui referait l'histoire vue par la balistique.

Un livre très court mais efficace, on a pas besoins de plus c’était pile poil. L’histoire est très spécial, je ne me suis pas rendu compte tout de suite que c’était une enquête sur la mort de quelqu’un, chaque chapitre correspond à un enregistrement de la voiture pour avoir des preuves pour l’enquêtes. L’écriture est très bizarre, vu que se sont les enregistrements de la voiture, c’est la voiture qui rapporte les paroles des gens autour d’elle. Donc on va avoir par exemple « Frensen dit » dès qu’un personnage parles. Mais sinon c’était très bien trouver, on a des détails sur la voiture tout est super.

Comme tous les mois, je participe à la nuit du hasard organisée par Sève d’ilestbiencelivre. J’aime ce concept de tirer au sort une lecture dans une PAL qu’on a faite en début d’année. Comme je suis flemmarde, je n’y ai mis que les plus petits livres que j’ai pu trouver ! C’est comme ça que “Suréquipée” de Grégoire Courtois s’est retrouvé dans ma liste des livres à lire pour ce mois de septembre !

Au XXIIe siècle, les progrès automobiles sont tels qu’à présent les voitures sont vivantes. Fabriqués à partir de gènes animaux et combinés ensemble, ces véhicules sont le must du parc automobile ! Antoine est ravi d’en ramener un exemplaire un jour à la maison. Jusqu’au jour où ce dernier disparaît sans laisser de trace ! Qu’est-il arrivé à Antoine ? Et si la voiture avait tout vu ?

Le moins qu’on puisse dire, c’est que ce petit roman se dévore. Les chapitres sont découpés en parties au présent, au passé, au passé plus ancien… Mais à aucun moment je n’ai été perdue. Nous sommes dans la tête de la voiture du début à la fin. J’ai beaucoup aimé ses pensées naïves, elle ne comprend pas ce qui lui arrive, et c’est normal. Personne ne lui a appris à être autre chose qu’une voiture, à obéir aux ordres de son maître et à vouloir qu’on l’aime.

Car voilà le thème central de ce roman : la relation des humains avec leur voiture, ce sentiment d’attachement qu’on ressent pour son véhicule.

J’ai vraiment passé un bon moment avec ce roman auquel j’ai adhéré jusqu’aux deux dernières pages… et là, l’auteur m’a perdue ! Je n’ai rien compris à la fin ! Pas de quoi gâcher ma lecture, me direz-vous ! Et pourtant ! J’ai comme un goût d’inachevé. Moi qui aime bien tout comprendre, là, j’ai l’impression d’avoir raté le coche.

Si vous l’avez lu et que vous souhaitez en discuter avec moi, n’hésitez pas ! Vous ai-je donné envie de le lire malgré tout ?