Sarah Barukh

Je ne sais par quoi commencer... ce livre m’a tout simplement bouleversé. Surtout avec le COVID, on ne se rend pas vraiment compte que la découverte du virus du SIDA a été un bouleversement au sein du monde. C’était il y a plus de 30ans et c’est comme si c’était hier.

C’est un roman mais basé sur des faits réels, on s’attache au docteur Lauren et on partage son désarroi, le peu de savoir du virus, le manque de moyens, etc.

Dès le début, l’auteure nous fait entrer dans son livre et on le dévore.

En le refermant, je ne peux dire qu’une chose, c’est un livre qui m’aura marqué et me restera en mémoire.

J'ai trouvé cette lecture bouleversante, pleine d'émotions. On est entraîné par une intrigue bien menée jusqu'à la fin du roman qui arrive bien trop vite à mon goût. Les personnages sont saisissants, l'écriture de l'auteur nous permet d'entrer dans la tête de cette petite fille ce qui fait que cette histoire nous touche encore plus. Pour moi ce roman est tout simplement incroyable.

Un grand merci aux éditions Calmann-Levy et à Netgalley pour ce service presse.

Quand Sophie perd son père c’est tout son monde qui s’écroule, elle n’a jamais été proche de sa mère et de sa sœur, dans cette famille il y avait deux camps et elle en constituait un avec lui. Toutes ses angoisses vont se cristalliser sur cette perte, lui causant des problèmes physiques mais aussi dans ses relations professionnelles et personnelles.

À 11 500 km de Paris, un jeune homme se bat pour que son père, ex tortionnaire de la junte en Argentine, reste en prison.

Est-il possible qu’un corps se souvienne de ce que l’esprit ignore ? Qu’y a-t-il de commun entre ce jeune homme Nahuel et Sophie l’avocate parisienne ? Quelle vérité se cache dans l’esprit de Sol la mère de Nahuel ?

Il s’est passé des choses monstrueuses pendant la domination de la junte en Argentine, des viols, des enlèvements, des tortures, des meurtres mais surtout des disparitions et ces dernières sont les pires pour ceux qui restent avec le spectre de l’espoir…

Sarah Barukh nous plonge dans cette histoire avec cette écriture magique qui nous fait passer du rire aux larmes d’une page à l’autre. C’est l’histoire de deux enfants perdus, pour l’un par manque de famille pour l’autre presque un excès. C’est aussi celle de deux mères qui feront de leur mieux pour protéger leurs enfants…

Parfois la vérité, même terrible, peut sauver. Ce livre parle de cela avec des personnages touchants : Sophie est une femme qui va devoir se déconstruire pour se trouver, Nahuel devra accepter sa colère et faire de sa rancœur un moyen d’avancer.

Les mots de Sarah Barukh vous entraînent avec tendresse et une pointe de sarcasme drôlissime pour vous raconter ces familles dépareillées et je n’ai pas pu interrompre ma lecture avant la fin, pressée de découvrir ce qu’elle nous réservait. J’avais l’impression d’entendre sa voix me lire ses chapitres à l’oreille, j’ai adoré…

Un peu déçue par cette histoire qui ne m’a pas transportée malgré un thème que j’aime beaucoup. Peut-être parce que c’est écrit du point de vue de la fillette, je n’y ai vu que des clichés

Malgré un ton un peu monocorde et une fin cousue de fil blanc, ce roman triste et tendre est pourtant arrivé pourtant à me plonger dans un état d'empathie presque physique avec la petite Alice, si seule et tant rejetée, mais si habile et si courageuse dans son innocence brute.

Une lecture d'après guerre émouvante dans lequel on suit une petite fille qui retrouve sa mère, une survivante des camps de concentration.

Il est assez rare de voir des histoire de ce côté de l'après guerre. Sa vie est assez triste mais je n'ai pas réussi à me plonger dans l'histoire. La fin est assez prévisible mais elle apporte une touche d'espoir.

Avec le cœur lourd, j'abandonne ce livre. Pas parce que je n'ai pas apprécié (je n'ai pas d'autre catégorie dans laquelle mettre les abandons), mais tout simplement parce que ce livre est trop dur à lire. Chaque nouvelle me bousille un peu plus. J'ai vraiment essayé d'aller jusqu'au bout, parce que ce sujet me tient très à cœur, mais je pense que je m'implique trop émotionnellement parlant. Pour ma propre santé mentale, je m'arrête à la moitié. Je souligne tout de même l'importance d'un tel ouvrage, de même que je le trouve très bien fait dans sa construction.

Une belle histoire sur l’après-guerre.

Alice, âgée de 5 ans, vit à la campagne avec sa nourrice et retrouve sa mère une survivante des camps de concentration.

Un livre touchant.

Ma première lecture de cet auteur et j'en suis ravie. Ce livre est troublant, dérangeant parfois, on y trouve différentes émotions. La plume de l'auteur est fluide, c'est beau, bien écrit avec des mots justes. Elle nous emmène au fil des pages, lecture assez addictive pour moi. Cette lecture ne m'a pas laisée indemne. Très belle histoire. A lire !

Un roman magnifique, Sarah Barukh m'a transportée dans son récit.

C'est livre émouvant, extrêmement touchant.

Je le recommande vivement.