Bruno Sanna
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Note moyenne : 5.5/10Nombre d'évaluations : 6
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Les derniers commentaires sur ses livres
Oubliez tout ce à quoi vous vous attendez: vous êtes complétement à côté de la plaque.
La couverture me laissait penser que j’aurais affaire à un polar, un drame psychologique peut-être, et bien non. L’auteur m’a trimballée durant tout un chapitre, et j’étais aussi larguée que la pauvre Sophie. Je l’ai suivie dans ce chez-elle qui ne ressemble pas à chez-elle mais qui est pourtant chez-elle, enfin vous voyez le truc, de quoi devenir dingue ! Et quand arrive … ce qui doit arriver… j’ouvre des yeux ronds comme des soucoupes, je tourne les pages à toute allure et…
N’insistez pas, je ne dirai rien !
Je peux tout de même vous dire que le style de Bruno Sanna est délicieux. J’ai croisé des personnages que Jean-Paul Dubois ne renierait pas, dans une intrigue à la forme loufoque mais dont le fond n’est pas si fou qu’il en a l’air.
J’aurais pu déguster ce roman mais je me suis goinfrée : une fois commencé, impossible de le lâcher.
Afficher en entierLa quatrième de couverture m'a promis une belle perspective de lecture... mais il n'en fut rien.
Sans être franchement mauvais, l'intrigue est trop courte (seulement une centaine de pages), et l'univers ne m'a pas transportée. Dommage, car il y avait de l'idée, mais ça reste trop simpliste pour moi.
Afficher en entierhttps://mydearema.wordpress.com/2018/04/25/%e2%94%82prix-des-auteurs-inconnus-2017%e2%94%82le-matin-des-larmes/
Cher tous, je suis au regret de vous annoncer que cette énième lecture pour le Prix des Auteurs Inconnus n’aura pas réussi à me convaincre.
Au départ, je partais de bon coeur dans cette histoire. Je me rappelle que les 10 premières pages avaient produit un petit effet lors de la présélection, d’ailleurs je l’avais même mis dans mon top 10. Malgré sa première de couverture que je trouve vraiment pas terrible, le début semblait prometteur! Mais la joie fut de courte durée.
Je retrouve dans ce livre, ce que j’ai reproché à bon nombre d’entre eux : son format, décidément trop court. L’idée de base, même si vue et revue, parvenait tout de même à attirer mon attention mais le récit est vraiment pas assez long que pour réussir à traiter quoi que ce soit avec profondeur et cohérence. A peine 200 pages dans son format broché, vraiment peu. Je n’ai fatalement pas pu m’attacher aux personnages qui me sont apparus comme de fades caricatures, tous les clichés étaient réunis et l’ultime révélation les concernant ne sera parvenue à m’arracher qu’un bref »ah ouais ». Forcément, 200 pages, une plume, certes agréable à lire, mais qui défile devant nos yeux sans jamais réellement les captiver, ça n’aide pas à vraiment s’approprier le récit et donner envie de s’investir auprès des protagonistes.
Si le récit est écrit d’une manière, comme je viens de le dire, assez sympa, il n’en souffrait pas moins de quelques fautes d’orthographes (assez évidentes que pour être évitées lors d’une correction, à la sauce des ‘ses’ qui deviennent ‘ces’). Cela mis de côté, ça restait chouette. Sans plus. Les phrases s’enchaînent sans pour autant nous emporter avec elles. Le lecteur reste spectateur d’un récit qui va bien trop vite et qui n’est pas assez développé. Y avait un potentiel qui se noie dans la simplicité du récit, simplicité qui ne parvient plus à me satisfaire personnellement mais qui parviendra peut-être à faire son effet chez d’autres lecteurs.
Afficher en entierDe la science-fiction légère…
Ce roman me laisse un drôle d’effet. Tout d’abord, parlons un peu du genre. Nous sommes dans de la science-fiction, du type « contre-utopie ». Je suis allée voir sur le net dans quel genre de la SF ce roman s’inscrit et il semblerait que la « contre-utopie » soit ce qui s’en rapproche le plus. C’est un genre qui décrit une société passée en mettant en avant des éléments philosophiques, psychologiques, sociologiques intéressants. Ce genre rappelle l’utopie, ou encore la dystopie, qui s’ils se rapprochent de la « contre-utopie », n’en sont pas moins plutôt éloignés, puisque l’utopie parle d’un monde inexistant, et une dystopie, un monde futur. Or, ici, la dimension historique n’est pas à prendre à la légère. Néanmoins, on retrouve les codes du genre : faire réfléchir sur la société en place, les agissements du gouvernement, les libertés, etc…
Court mais un peu lent…
Quand je lis des genres de l’imaginaire, j’aime être transportée, dépaysée, j’aime quand c’est mouvementé, addictif et prenant. Or, pour un roman d’à peine 100 pages, j’ai trouvé le temps bien long. Très peu d’actions, beaucoup de dialogues, stratagèmes, et complots. C’est finalement à la fin que tout ça bouge un peu, et j’ai eu à ce moment-là un regain d’intérêt pour l’histoire. Néanmoins, je reste un peu mitigée sur le déroulement de ce récit, trop lent à mon goût. Presque trop réaliste même. Si bien que j’ai parfois oublié que je me trouvais dans un genre de l’imaginaire. C’est autant un point fort qu’un point faible. Cela veut dire que l’auteur a réussi à m’immerger dans cette Europe fasciste, que j’ai même trouvé ce monde cohérent. Mais cela veut aussi dire que, finalement, j’ai perdu l’essence même de ce roman qui était censé être « trouver comment partir de ce monde qui n’est pas le mien ». J’ai donc perdu le fil de la trame principale, tant et si bien que j’avais oublié qu’il y avait un monde parallèle.
La plume de l’auteur…
En revanche, s’il y a quelque chose que je dois mettre en avant c’est la jolie plume de l’auteur. Le résumé reflète parfaitement le style que l’on retrouve dans le roman entier. J’ai beaucoup apprécié ce phrasé simple mais travaillé, la fluidité qui en découle et l’absence totale de répétitions. Aucune redondance ne serait-ce que dans les formulations de phrases. Un point très positifs ! Si bien que malgré les longueurs, les lenteurs, j’ai tout de même apprécié mon voyage et serais ravie de découvrir un autre roman de l’auteur.
Afficher en entierCe roman fait parti de la sélection pour le Prix des Auteurs Inconnus dans la catégorie Imaginaire.
Sophie est une femme plutôt épanouie : médecin, mère de deux enfants à l’avenir prometteur, un mari médecin parti en mission humanitaire.. Jusqu’au jour où elle se réveille dans un monde qui a complètement changé et pas en bien. Elle va devoir s’adapter et essayer de comprendre comment tout cela a pu arriver.
La première chose qui m’ait étonnée lorsque j’ai commencé ce livre c’est la vitesse à laquelle l’action se déroule. En effet, en à peine quelques pages le décor est planté et l’action commence. En principe, je ne m’en plaindrais pas je ne suis pas fan des intrigues qui tardent à débuter mais là, c’était plutôt rapide. Le fait que ce roman soit plutôt court explique en partie cette rapidité mais pas seulement..
L’idée de base est plutôt bonne, une femme se réveille un matin et tout a changé autour d’elle : sa famille, son destin, son monde. Elle est projetée dans une réalité qui n’a rien de plaisant puisque les nazis ont remporté la seconde guerre mondiale et dirigent l’Europe. Malheureusement, j’ai été déçue par ce roman qui selon moi n’est vraiment pas assez développé. L’auteur nous projette dans ce monde mené par les nazis mais j’ai eu une impression de huis-clos. Les choses ne sont pas suffisamment expliquées et pour ma part j’ai eu du mal à visualiser ce monde cruel si ce n’est par quelques phrases posées ça et là. J’aurais aimé savoir comment fonctionnait cette Europe par exemple car tout semble couler de source.
La suite de ma chronique : https://ettulisencoreemma.wordpress.com/2018/05/16/le-matin-des-larmes-par-bruno-sanna/
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