Greg Pak

Les quartes tomes peuvent se lire dans n’importe quel ordre. En effet les petites histoires n’ont aucun lien entre elle, on assiste juste à la rencontre entre les vieux et son nouveaux héros.

C’est agréable à lire et très prenant.

Du lourd.

Sans finesse mais avec une réelle efficacité, Pak renvoie sur Terre le cataclysme ambulant qu'est Hulk. Ce dernier bénéficie du traitement de longue durée du formidable Peter David qui en a fait un véritable anti-héros, incompris magnifique, ayant plusieurs fois sauvé la Terre malgré la haine de la plupart de ses habitants - et parfois sans le vouloir. A la manière de Wolverine, Hulk (et Banner en parallèle) se sont vus enrichis, dotés de pouvoirs annexes (la capacité de voir les ectoplasmes magiques par exemple), d'une psyché renforcée, et, insensiblement, d'une puissance grandissante. N'oublions pas qu'il a survécu à l'impact direct d'une bombe Gamma (dans l'excellent Hulk : Point Zéro) et qu'il est désormais établi que son potentiel est sans limite autre que celle de sa rage permanente et de ce qui reste de sa conscience.

Planète Hulk était un monument, une réussite quasi-totale, où Hulk pouvait se laisser aller, tisser des liens auxquels il ne croyait plus (esquissé auparavant dans la saga du Panthéon ou Futur imparfait). Ivre de douleur et de vengeance après la mort de sa femme et de son futur enfant, il revient sur Terre punir les responsables de son exil forcé. Et rien ne l'arrêtera. La série principale ne s'attarde guère sur tous les duels : Flèche Noire est balayé alors même que Médusa prévenait Hulk qu'il n'était pas de taille. Pour certaines confrontations méritant le détour, il faut aller voir dans les tie-ins mais les cadors ont leur place ici : Stark, Richards, un très étonnant Dr Strange et l'invité de dernière minute qui promet une fin d'album apocalyptique.

Le style de Romita Jr, habile dans les conflagrations et les déferlements de puissance, convient plutôt bien au récit, même si je le trouve moins précis et titanesque que dans la saga sur Thor. De fait, nombre de cases ne font qu'illustrer des explosions dévastatrices, façon Dragon Ball Z ou Man of Steel : la terre tremble, les immeubles s'effondrent et les impacts se ressentent à des dizaines de kilomètres.

Néanmoins, insidieusement, on sent que tout cela finira comme bon nombre d'events Marvel, presque en eau de boudin, avec un retournement de dernière minute permettant de maintenir ce statu quo immuable qui permet de continuer à développer les sempiternelles histoires. C'est assez frustrant, car le potentiel de celui-ci était à l'image de la Balafre verte, immense. Hulk révèle au monde le véritable aspect des quatre leaders de l'ombre qui l'ont trahi. On sait à présent que cela ne changera pas grand chose.

Reste un album puissant et délassant, rapidement lu.

Je ne sais pas si c’est le peu d’affect que j’ai pour ces héros, le fait que je n’ai pas suivi les séries ou juste la qualité objectivement basse des histoires mais j’ai trouvé ce tome très faible.

Ça ne m’a pas donné envie de lire le reste des séries, contrairement à d’autres one-shot “Générations” : les narrations tombent à plat, le développement des personnages est forcé et artificiel et je ne suis pas fan de l’encrage dans le chapitre sur Phénix et de la colo dans celui sur Hulk. Celui sur Thor pique un peu moins les yeux et est un peu moins bourrin dans sa construction de personnage mais c’est pas folichon non plus, je n’ai pas particulièrement accroché. Dommage, j’espérais que ça me motiverait à lire des séries Marvel que je ne connais pas encore trop.

Tant pis...

Bonne lecture.

Il est intéressant de lire ces épisodes dont la série ne parle pas.

Pour la première fois de ma vie, j’ai vraiment lu un comics. Je cherchais à commencer ce monde depuis quelques temps mais comment démarrer par les géants de Marvel et DC ? Même si le synopsis de celui-ci paraît très simple (et il l’est), je me suis lancé. Pas de prise de tête pour lire, c’est parfait ! On voit que le dessinateur est très inspiré par le milieu du manga. Dans ses dessins, on peut voir des inspirations de Transformers pour les designs des robots, Astro boy, Megaman et même Godzilla pour les aliens.

Le gros problème de ce comics à mon sens, c’est que l’histoire est un stéréotype de ce genre d’œuvre. J’apprécie personnellement mais ça ne sera sûrement pas le cas de tout le monde. L’histoire est très courte, trois tomes, et nous laisse malheureusement sur notre faim en amorçant une intrigue intéressante sans l’explorer, laissant croire à une suite qui n’arrivera sans doute pas. Par contre, j’ai trouvé les dessins pleins de couleurs et les visages très expressifs. C’était un plaisir pour les yeux. Moi qui adore le jeu de contraste dans les couleurs vives en bande dessinée, j’ai été servi. malgré ces défauts, c’était une lecture très récréative que j’ai appréciée.

C’était une bonne lecture. Un comics prenant et coloré !

Article par Klashs

Un premier tome qui reprend bien l'ambiance et l'humour de la série, avec un cliffhanger qui donne envie de lire la suite. J'ai eu un peu de difficulté avec les dessins, en particulier Mal. En revanche la galerie de couvertures en bonus est magnifique.

La première histoire est la plus réussie, on retrouve avec grand plaisir tous nos héros, ainsi que Dark Vador, plus redoutable que jamais !

Un comic qui permet de découvrir une partie de l'histoire du camp d'Auschwitz à travers le passé du personnage de Magneto.

Très bien documenté. Le travail de recherche est excellent et rend l'histoire à la fois bouleversante. Elle permet aussi de rendre compte en dessins de tout...

Chapeau.

Marvel - Les Années 2000 - Phénix : La Renaissance collection; Greg Pak & Greg Land & Traduction par Nicole Duclos.

Dépôt Légal Mai 2019.

La couverture nous expose une des représentations les plus cultes de Jean Grey.

D'ailleurs à l'origine c'est à cause d'elle que je m'appelle comme ça.

Les illustrations sont super biens.

Le Phoenix (Oui bon je l'écris comme je veux!lol!) est réduit à l'état de luciole flamboyante, chassé par les Shi'ars, qui sont une civilisation alien très avancée. C'est aussi le Retour du Phoenix Noir, l'alter ego sombre du Phoenix.

J'ai été assez bluffé je n'ai presque pas pris de notes.

Finalement on assiste à une confrontation entre le Phoenix "normal" et le "dark" ! ça fait rêver!

J'ai moins accroché à la deuxième histoire, j''aurais préféré une suite directe, ou un fil plus étiré...

Le tout est une métaphore du contrôle de Soi.

Phoenix

++

Un numéro que j’attendais plus abouti. On est à un épisode de la fin.

Hâte de savoir comment cela va finir.

Sinon j’ai appris deux voir trois choses sur Hulk …