Georges Feydeau

Lecture de cours.

Autant j'arrive à comprendre l'intérêt de certaines pièces de théâtre même sans les apprécier, autant celle la je ne l'ai pas du tout aimé. Ce fut une lecture très longue, bien que l'acte 2 m'ai fait rigoler et que j'apprécie un petit peu le personnage de Vivianne, et sans intérêt car l'histoire n'apporte rien du tout, et qu'elle n'est ni utile, ni innovante, ni originale.

pour moi, ce n'est pas la meilleure pièce de Feydeau mais elle se lit bien quand même.

Du théâtre remplis d'humour, de grivoiseries et de scènes presque touchantes. La situation présentée par le dramaturge est complexe, hilarante et remplie de quiproquo drôles. Les dialogues sont extra et donnent réellement une âme à la pièce. Je suis plutôt une adepte des représentations visuelles mais cette pièce est lisible, compréhensible et mémorial !

Une pièce très drôle (d'autant plus quand on la lit devant la représentation de Jérôme Deschamps). Derrière le comique se trouvent des réflexions intéressantes sur l'amour, le mariage, les convenances, le politique... Une bonne petite pièce pour rire sans modération !

Un très bon vaudeville!

C'est une pièce qui se lit très facilement et rapidement, tous les évènements s'enchaînent très vite et on est pris par tout ces rebondissements et quiproquos. C'est un plaisir de découvrir cette histoire de noce et de trahison, c'est un véritable petit moment de détente.

Le fait qu'il y ait autant de décors et de didascalies m'a un peu perdu parfois, j'avais du mal à situer la scène et bien tout visualiser. Ce n'était cependant pas essentiel pour l'histoire.

En tout cas c'est une très bonne pièce de théâtre, drôle et légère, où l'on suit les aventures romantiques de Lucette, Bois-d'Enguien et Viviane. J'ai beaucoup aimé toutes les situations plus farfelues et comiques les unes que les autres, on ne s'en lasse pas!

Cette pièce n'est pas révolutionnaire mais elle est efficace et drôle comme ce qu'on attend d'une comédie de Feydeau.

Le très rangé et très honoré docteur Petypon s’est laissé entraîner par son ami Mongicourt à passer la soirée chez Maxim. Il en est revenu passablement ivre et surtout accompagné de la môme Crevette, une danseuse du Moulin-Rouge, pleine de gouaille et de verve. À partir de là vont s’enchaîner à un rythme infernal rebondissements et quiproquos, dans cette excellente comédie, écrite par un des maîtres du « théâtre de boulevard ».

Un vaudeville classique avec quiproquos, bastonnades, femmes et hommes du monde embrouillés, valets et soubrettes malicieux, ... Et beaucoup de rire.

L'action commence lentement, s'accélère peu à peu - même si j'ai trouvé les scènes de mise en place de l'embrouillamini un peu lourdes - jusqu'au grand final avec réconciliation et explications.

Tromperie, arnaque, mal entendu, amour, en somme un rythme à la Feydeau !

Chez Feydeau, les portes claquent, le verbe sonne haut cinglant, l'habileté de l'intrigue libère une énergie fulgurante qui nous submerge sans répit.

Il écrivait ses comédies comme des tragédies qui finissent en catastrophe dans un burlesque éblouissant.

Je vous invite à voir et revoir la pièce jouée par les comédiens du français dans la mise en scène de Jérôme Deschamps. Bouzin, le compositeur raté est interprété par le talentueux Christian Hecq, un de Funes moderne irrésistible, son illustre aîné l'a sans aucun doute adoubé de là-haut.

Le 5 juin 1921, à 58 ans, Georges Feydeau meurt fou dans un asile. Et les asiles à cette époque. . .

Aujourd'hui, son génie inventif, subtil, riche, moderne, nous enchante encore. Il touche le bout de notre âme qui frissonne soudain devant le bateau ivre de l'humanité, balloté sans cesse par les tempêtes, alors qu'il résiste sans sombrer.

Le RIRE : la seule arme devant laquelle nous devrions succomber.