Christophe Honoré

J'ai lu ce livre quand j'étais toute petite, je l'avais beaucoup aimé !

J'ai bien aimé ce livre, il y a plusieurs histoires différentes, qui sont toutes très belles.

C'est un livre très triste. Raconté a la première personne, on voit le SIDA de Léo à travers les yeux de Marcel, son petit frère.

Ce livre est un bon moyen de sensibilisation au SIDA.

J'ai lu ce roman il y a des années et je m'en souviens parfaitement. il est certes très triste mais certainement très réaliste.

L'amour fraternel entre Marcel et Léo est magnifique.

La suite de "tout contre Léo" aborde le sujet de la reconstruction et de l'acceptation de la mort d'une personne.

C'est un livre magnifique sur un sujet sensible.

Comme tout le monde je pense, vous avez tous entendu parler un jour des « Malheurs de Sophie ». Je me souviens lorsque j'étais plus jeune, je regardais cela à la télévision et j'adorais. Je dois dire que j'avais lu chez la bibliothèque rose, l'original de la Comtesse de Ségur et j'avais beaucoup aimé. Cependant, cela remonte à très longtemps. J'étais donc très heureuse de pouvoir me replonger dans cette histoire, avec en plus cette fois des illustrations du film. Je remercie les éditions Hachette pour cet envoi. J'ai passé un bon moment mais je suis tout de même un poil déçue.

Résumons un peu. Loin d'être une petite fille modèle, Sophie de Réan ne fait que des bêtises ! Sa mère, son cousin Paul et ses amies Camille et Madeleine ont beau essayer de l'entraîner dans la bonne voie, les tentations sont toujours trop fortes. Cependant, sa mère a d'autres soucis : elle doit partir en Amérique. Sa réticence est comme un mauvais présage : madame de Réan se noie pendant la traversée. Et bientôt, le père de Sophie, qui s'est remarié avec madame Fichini, succombe à la maladie. Ce qu'il ignore, c'est qu'au lieu de protéger sa fille en lui donnant une nouvelle mère, le père de Sophie l'a placée entre les mains de la plus cruelle des marâtres qui, de retour en France, fait de la vie de Sophie un véritable enfer. Seule madame de Fleurville, la mère de Camille et de Madeleine, se rend compte du calvaire de la fillette. Elle propose alors à madame Fichini de la prendre sous son aile.

Alors pour que l'on soit bien clair avant de commencer. Je sens que beaucoup de vous, vont me dire « oui tu aurais dû te douter que ce ne serait pas pareil puisqu'il s'agit du roman du film ». Certes je ne doutais pas là-dessus, toutefois ce qui m'a surprise et un peu déçue c'est de retrouver dans ce livre un mélange des deux livres : « Les malheurs de Sophie » et « Les petites filles modèles ». Je pense qu'il était possible de consacrer un film au premier et un film au second. Mais là les deux en même temps, cela m'a beaucoup dérangé.

(suite lien ci-joint: http://tinkerbells-readings.skyrock.com/3275799724-Les-malheurs-de-Sophie-le-roman-du-film-de-Christophe-Honore-chez.html )

Ma chronique: http://www.leslecturesdelily.com/2016/06/les-malheurs-de-sophie-le-roman-du-film.html#more

Extrait de mon avis:

Quel joli retour en enfance !

Me replonger dans Les malheurs de Sophie, c'est revenir plus de vingt ans en arrière, me revoir dans ma chambre, sous ma couette avec ma lampe de chevet à lire mes petits livres chaque soir avant de m'endormir. C'est aussi ces doux moments devant la télé à regarder chaque jour le dessin animé si beau et réussi.

C'est avec plein de nostalgie que j'ai parcouru les pages de ce roman beaucoup plus moderne que celui que j'avais étant petite. Les photos insérées au début des chapitres ou en plein milieu d'une page sont superbes et donnent envie de découvrir la version cinématographique.

L'histoire est fidèle à mes souvenirs, j'ai adoré me remémorer les bêtises de Sophie, cette petite fille dotée d'une grande imagination. Ses espiègleries, ses caprices et son petit caractère nous font chavirer. La pauvre petite puce ne pense qu'à s'amuser et ne voit jamais le mal derrière ses sottises. Rappelez-vous ce passage où elle reçoit un couteau de son papa afin d'apprendre à tartiner ses toasts comme une grande et qui au final aura servi à découper vivant les petits poissons-rouges de sa maman. J'adore ce passage ! Bah oui, elle voulait juste nourrir sa poupée et à aucun moment, elle n'a pensé faire atrocement mal à ces pauvres petits animaux.

Et puis, elle est attachante Sophie et quand arrive la deuxième partie du roman, au moment où il arrive malheur à sa maman et qu'elle se retrouve sous l'emprise de sa méchante belle-mère, nos cœurs se serrent et on a mal pour elle, car ce qui lui arrive est profondément injuste. [...]

Pour lire la suite, rdv sur mon blog www.leslecturesdelily.com

La douceur est un livre qui sort de l'ordinaire.

Il présente l'histoire d'un crime commis il y a huit ans au travers des souvenirs des personnages dans le présent. Ce crime a marqué chacun des personnages : Steven, le coupable, son frère Baptiste, Aude, la copine de Baptiste, la mère des garçons... Autant de personnes dont la vie a été brisée il y a huit années.

Si on comprend vite la gravité du crime, les motifs sont bien plus obscurs et la manière dont l'auteur dépeint les états d'âmes des personnes et leurs pensées : sans aucun soupçon de pudeur, devient rapidement plus intéressante que le crime en lui-même.

Attention, cet ouvrage parle de sujets délicats, de manière crue, souvent choquante. Cela donne au titre tout un paradoxe car il est rarement question de douceur en réalité dans ce récit.

Les chapitres sont courts, ils présentent différents points de vue et s'enchaînent rapidement. Globalement il s'agit d'une histoire étrange et prenante qui s'adresse à un public avertit mais se savoure grâce à la plume d'un auteur de génie.

Il s'agit de la suite de tout contre Leo. Quelques années plus tard, le souvenir de Leo les hante. Marcel est un jeune adolescent et tout cela le pèse. A sa surprise c’est sa mère qui va la première ragoûter au bonheur.

Ce court livre est du point de vue de P’tit Marcel, 10 ans, en écoutant aux portes, il apprend que son 3e grand frère va mourir du sida mais que ça famille lui cache l’information. C'est un très bon livre pour aborder le sujet avec des enfants.