Michel Pinçon
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Note moyenne : 7.74/10Nombre d'évaluations : 53
0 Citations 27 Commentaires sur ses livres
Les derniers commentaires sur ses livres
OUVREZ vite les yeux.
Afficher en entierCe livre explique simplement et clairement le système capitaliste français, il y a des informations intéressantes. Dommage qu’il soit trop emprunt par l’engagement et l’opinion politique des auteurs. Une faute d’autant plus grave puisqu’il est adressé à un public jeune.
Afficher en entierUn livre très intéressant sur la société parisienne. Sur les règles et les histoires qui régissent les différents quartiers et arrondissements. Ce livre passe en revue des quartiers avec une histoire sociale importante et remarquable, si vous vous promenez dans Paris vous pourrez observer les remarques faites dans le livre.
L'ouvrage se lit très bien et rapidement, je le conseille vivement.
Afficher en entierPour moi c'est une excellente BD. L'idée de faire de la sociologie sous cette forme est un concept génial à mes yeux, qui permet de l'appréhender facilement. J'ai déjà des bases donc je n'ai pas eu de souci à comprendre les éléments évoqués. L'humour est totalement le mien et j'ai beaucoup aimé ce mélange de savoir et de divertissement.
Je ne suis pas fan de ce genre de dessins. Parfois il faut s'accrocher (je n'ai pas toujours pu la lire si j'étais fatiguée le soir parce qu'il faut tout de même suivre les explications pour ne rien manquer dans la compréhension). C'est donc ce qui m'a freinée et m'a empêchée de la finir d'une traite.
J'ai appris plein de choses et passé un bon moment !
Afficher en entierCe roman graphique est d'une grande pédagogie. Il casse les codes et explique avec humour ce qu'est réellement la richesse.
Personnellement, je le recommande fortement !
Afficher en entierLu en 2016. Une BD humoristique réalisée par Marion Montaigne, inspirée par les études des médiatiques sociologues Michel et Monique Pinçon-Charlot.
C'est une sorte de vade-mecum du "riche" dans notre société actuelle, de la perception mentale et ethnologique que l'on s'en fait. Si certains passages sont amusants, j'avais déploré le côté un peu trop didactique de la BD, ainsi que la surabondance de textes, écrits parfois en trop petits caractères.
Afficher en entierAccessible et rigoureux, oui, comme l'annonce la 4e de couverture ; de nombreux encarts donnent une vision fort concrète, en introduction et en conclusion (dénommée chapitre 6) des explications théoriques (assez résumées, mais dans un résumé efficace) remettent les points sur les i : on parle là des super-riches, ceux qui gagnent littéralement des millions de fois ce que gagne un autre. Le chapitre 2 sur la nature de la richesse concernée complète efficacement cette définition avec un questionnaire assez drôle "Êtes-vous un bourgeois ?", complété par une analyse de la pertinence de chaque réponse. La capacité à remplir très facilement certains domaines par le simple fait d'être un frontalier ou d'avoir 19 grands-oncles, tout en étant parfaitement incapable de remplir plusieurs domaines à la fois, montre efficacement combien la définition de la classe sociale dépend non de savoir le prénom de son arrière-grand-mère, mais de combiner plusieurs traits distinctifs ! Bien qu'on puisse regretter que l'essai soit presque uniquement descriptif, sans porter de thèse ou de raisonnement, ce portrait vigoureux remplit parfaitement son objectifs : faire comprendre exactement à quoi ressemble un grand bourgeois et en quoi il diffère de qui ne l'est pas.
Afficher en entierBienvenue dans le monde des riches. D’ailleurs on se demande pourquoi on ne l’est pas tous, ça paraît si simple ! Marion Montaigne croque les riches avec les données de deux sociologues connus. Quelques exemples pour être riche : naître nanti, avoir son nom dans l’annuaire mondain, être sportif, faire de la tv réalité. Un constant qui laisse le lecteur amer qui rit plutôt jaune et qui est un peu trop long à mon goût.
Afficher en entierUne très bonne BD qui a le mérite de très bien vulgarisé un sujet complexe et méconnu. Sa lecture donne envie d'aller lire les livres de ces sociologues un peu absurdes mais attachants.
Afficher en entierOn parcourt la capitale à travers la sociologie de ses différents quartiers. Pour qui connaît Paris on s’aperçoit de l’évolution constante de ces derniers mais les promenades nous amènent de nombreux éléments sur les origines et les modifications constatées. Jamais lassant on se plaît à arpenter rues et impasses.
Afficher en entierOn parle de Michel Pinçon ici :
2011-03-19T11:28:29+01:00
Les gens aiment aussi
Dédicaces de Michel Pinçon
et autres évènements
Aucun évènement prévu
Editeurs
Payot : 5 livres
Editions La Découverte : 4 livres
Zones : 2 livres
Textuel : 2 livres
Presses Universitaires de France - PUF : 1 livre
Le muscadier : 1 livre
Seuil : 1 livre
La Ville Brûle : 1 livre
Biographie
Michel Pinçon, né le 18 mai 1942 à Lonny dans les Ardennes, est un sociologue français, ancien directeur de recherche au CNRS rattaché à l'Institut de recherche sur les sociétés contemporaines (IRESCO) de l'université Paris VIII.
L'essentiel de son œuvre, écrit en collaboration avec sa femme, Monique Pinçon-Charlot, est consacré à l'étude de la haute bourgeoisie et des élites sociales.
Michel Pinçon naît dans une famille d'ouvriers. Il se marie en 1967, avec une étudiante en sociologie, Monique Charlot ; le couple a un fils. Le mariage permet à son épouse de le suivre pendant la période de service national en coopération, au Maroc, où ils enseignent le français, tirant de cette expérience un mémoire supervisé par Jean-Claude Passeron. À leur retour, ils terminent leur formation à l'université libre de Vincennes. Ils ont ensuite la possibilité d'entrer au CNRS. Lui travaille sur le monde ouvrier, son épouse sur la ségrégation urbaine.
Un de ses premiers ouvrages, Désarrois ouvriers, familles de métallurgistes dans les mutations industrielles et sociales, est consacré aux évolutions de l'industrie métallurgique dans la vallée de la Meuse et à leurs conséquences sociales. Les travaux et ouvrages suivants sont généralement l'œuvre du couple. Ils s'intéressent notamment aux normes sociales, aux dynasties, bourgeoises ou nobles, aux nouveaux entrants dans le monde de la richesse, ainsi qu'aux loisirs et aux us et coutumes des familles fortunées. Ils arrivent à pénétrer ce milieu à partir de 1986 grâce à Paul Rendu (directeur de leur laboratoire, le Centre de sociologie urbaine), lui-même issu de cette classe4. Une synthèse de leurs travaux a été publiée sous le titre Sociologie de la bourgeoisie. À travers ces différents éclairages, leur ambition est de construire une anthropologie des privilégiés de la société française contemporaine.
Retraités en 2007, ils publient depuis des ouvrages plus engagés – étant « libérés de leur neutralité scientifique » – et qui sont des succès en matière de ventes
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