M. L. Rio

Je dois admettre avoir mis du temps avant de réellement accroché à l'histoire.

Peut-être parce que je n'ai pas l'habitude de lire des passages de théâtre qui sait ?

Toujours est-il qu'un livre qui a su me procurer autant de sentiments divers et variés en aussi peu de temps ne peu pas se retrouver plus bas que sur cette liste.

Oliver, jeune théâtreux qui rêve d'être comme ses camarades.

Un mort.

Un groupe de six.

Aucun indices.

Mais un secret partagé.

Ajoutez à tout ça les tragédies Shakespearienne.

Voila de quoi nous emmener dans une énigme digne des plus grands.

J'ai littéralement rie, pleurer, était frustrée, décues, en colère, déchirer et bien d'autres choses encore.

Je pense que ce bouquin feras sans nul doute partie de ceux qui me resteront gravés.

Même si il peu paraitre complique, il vaut vraiment la peine d'être lu

Spoiler(cliquez pour révéler) La fin... Une fin digne de Roméo et Juliette qui m'as donner l'impression de perdre un morceau de mon âme, puis l'espoir, celui que Oliver ait raison et retrouve James.

Et c'et la le seul point négatif que je trouverai, mais ce n'est que parce que ce sont mes gouts, je n'aime pas les fins ouvertes. J'aime savoir ce qu'il advient des personnages que je suis.

J'ose espérer que Oliver a finalement retrouver son amour, et qu'ils puissent le vivre enfin pleinement après tout ce temps passée séparés.

Une histoire de Roméo et Juliette revisitée des temps moderne. La fiole de cyanure en moins, heureusement.

Ce roman est très bien écrit, les deux premiers actes sont assez addictifs. Ensuite il y a quelques longueurs et le dénouement reste assez prévisible. Néanmoins j'ai bien aimé les personnages qui sont imparfaits et donc humain, avec toute leur complexité. Il est parfois difficile de les comprendre.

A titre personnel je n'aime pas trop les fins ouvertes, donc c'est ce que je reprocherai le plus à ce livre.

J'ai adoré !

Mon côté théâtre était vraiment abasourdi par ce roman.

L'aspect théâtrale est ce qui m'a le plus plu. Le livre est vraiment bien fait en acte et en scène, d'ailleurs il y a V actes comme dans toutes tragédies.

Au début, j'étais un peu sceptique mais rapidement, je me suis laissée prendre par les faux-semblants et surtout le jeu théâtral !

La relation entre James et Oliver est aussi extrêmement touchante et mystérieuse. Je les adore (Oliver un peu moins quand il se comporte comme un imbéciles)

Ce roman m'a bouleversé, il est venu remuer quelque chose et me rappeler à quel point Shakespeare est un génie. Des répliques plusieurs fois par acte et des personnages qui communiquent avec les mots Shakespeare, c'est vraiment incroyable.

Spoiler(cliquez pour révéler)Et juste cette fin qui ému aux larmes ! 😭

Je conseille ce roman à ceux qui aime le théâtre car c'est sans nul doute un bel hommage à Shakespeare.

Tout respire Shakespeare pour nos jeunes étudiants et acteurs. Maelstrom de sentiments, d'amour, de mort et de culpabilité. Il faut se laisser séduire également."Aux choses sans remède il ne faut plus songer; ce qui est fait est fait." Vraiment ?.

La dark academia n’est pas trop ma tasse de thé mais c’était bien écrit. Il me manquait un peu de suspens.. Le dénouement se voyait à 10000km.

Je ne sais vraiment pas quoi penser de ce roman. Il était objectivement bon. Je n'ai pas grand chose à lui reprocher : les personnages sont travaillés, ni blanc ni noir (hormis un), l'univers est original et assez passionnant, la forme du roman également. L'écriture est soignée.

Mais il m'a manqué une saveur. Celle qui fait qu'on veut constamment reprendre sa lecture et connaître la suite. Je n'ai jamais souhaité abandonner le roman, mais je n'avais pas ce besoin urgent de connaître la suite et la fin. Si bien que je me suis traînée ma lecture pendant très (trop) longtemps. Et le dénouement m'a fait l'effet de "ah ? Ouais... assez prévisible".

Ça me frustre, parce que j'aurais vraiment aimé l'apprécier davantage.

Un véritable coup de coeur.

Que ce soit les personnages, l'intrigue, l'évolution de l'histoire, j'ai aimé le livre du début à la fin.

Bien que j'ai pu deviner certaines choses (comme Spoiler(cliquez pour révéler)la mort de Richard ou Spoiler(cliquez pour révéler)le fait que ce soit James le tueur et le sacrifice d'Oliver), on n'attends que ça !

Les références qu'il y a sont nombreuses et riches (on voit le travail de recherches).

Spoiler(cliquez pour révéler)Même si je m'attendais à ce que Richard meurt, tout son lien avec la pièce de César, qui au final le suit pendant tout le livre est extrêmement intéressant. Sa mort dans l'acte III (comme le personnage de César) ou son fantôme qui suit les personnages pendant les actes IV et V sont des parfaits exemples.[spoiler]J'aime également pensé que la fin avec l'épilogue indique que James n'ai pas mort et n'attend que le retour d'Oliver. OUI j'ai envie de rêver et je refuse leur séparation.

Bref, un livre à lire.

Lecture terminée, avis à chaud.

Impression étrange en cette fin de lecture, je ne sais pas trop quoi en penser. Je ne peux pas dire que j'ai aimé n'y pas aimé.

Dans les premières scènes, le livre m'a happé j'étais complètement dedans, mais au fil des pages, les longueurs ce sont faites sentir.

Les personnes bien que complexes et parfois attachants sont restés pour moi trop distants et finalement presque inconnus.

Malheureusement une fin assez prévisible en ce qui me concerne.

Malgré tout, j'ai apprécié découvrir Shakespeare par le biais des nombreuses références dans le livre.

Une bonne lecture pour ma part, mais sans plus.

Dans "If We Were Villains", l'autrice nous propose une expérience littéraire originale en adoptant le format d'un "roman théâtre", nous plongeant ainsi au cœur de l'univers envoûtant de la dark academia et du théâtre. L'écriture, élégante et grandiloquente, propre au théâtre, rend un bel hommage à ce milieu, avec des références et des citations de Shakespeare qui témoignent de l'amour de l'auteure pour le dramaturge et ses œuvres.

Le roman présente un aspect esthétique et théâtral captivant, offrant aux lecteurs une immersion totale dans cet univers singulier. Les descriptions détaillées des décors et des mises en scène transportent le lecteur sur les planches, tandis que les dialogues vifs et bien construits reflètent l'art du jeu des personnages.

Le rythme du récit est toutefois un peu lent, tantôt il contribue à créer une atmosphère immersive propice à l'exploration des thèmes profonds tels que la passion, la rivalité et la culpabilité. Tantôt, la prévisibilité des événements alourdit un peu l'ensemble du récit.

De plus, malgré la richesse de l'univers et la complexité des thématiques abordées, certains aspects du roman peuvent décevoir. En particulier, le développement inégal des personnages, où seuls quelques-uns bénéficient d'une exploration approfondie de leur psychologie, laisse les autres dans l'ombre, réduits à des rôles secondaires presque anecdotiques. Bien que les thèmes (rivalité etc étant présents) un approfondissement de la psychologie des personnages auraient apporter plus de "poids" à leurs motivations, plus de nuances, de mieux saisir les liens unissant chaque membre du groupe.

En dépit de ses défauts, "If We Were Villains" reste une lecture captivante et riche offrant un hommage sincère à l'œuvre de Shakespeare et à l'univers théâtral.

Je n’ai pas compris l’engouement autour de ce livre qui a été pour moi décevant. Entre les multiples scènes de théâtre, les dialogues inutiles, les personnages, j’ai réussi à le terminer juste pour connaître le meurtrier, la fin tout aussi décevante…