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Rosa Ventrella

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Biographie

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Les derniers commentaires sur ses livres

Commentaire ajouté par dacotine 2019-02-21T20:42:59+01:00
Une famille comme il faut

J'ai beaucoup aimé cet émouvant roman des éditions Escalles qui effectivement m'a fait voyager en Italie du Sud, dans le village de Bacri dans les années 80.

Le personnage principal Mari' m'a émue par sa façon de grandir et de survivre dans ce quartier et dans ce déterminisme social.

Comment faire du beau avec du laid car dans le texte : tout est laid, à commencer par le décor, l'ambiance du quartier, les méchantes personnes.

Et pourtant C'est un beau roman d'apprentissage : on suit son évolution de l'enfance à l'adolescence, dans ses goûts et dégoûts, au travers de ses émotions, ses amitiés et ses haines, ses peurs et ses espoirs.

Il m'a rappelé la saga d'Elena Ferrante dans ses thèmes : notamment la survie grâce à l'éducation et la littérature.

Mais c'est surtout une belle histoire d'amitié et d'amour.

Merci à NetGalley pour cette découverte .#UneFamilleCommeIlFaut #NetGalleyFrance

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Commentaire ajouté par Root 2020-06-25T15:20:06+02:00
Une famille comme il faut

Bari est un de ces villages portuaires du sud de l’Italie où l’on croit encore au « démon » et où l’on va se faire soigner chez la sorcière locale. Un de ces villages où tout le monde se connaît : chaque patronyme est porteur d’une histoire, et tout chef de clan qui se respecte est précédé de sa réputation. Si l’on vous affuble d’un surnom, soyez sûr que toutes les générations qui vous succéderont le porteront – avec plus ou moins de fierté.

Chez les De Santis, c’est Antonio qui fait bouillir la marmite. Le père de Marí est pêcheur, un dur labeur qui suffit à peine à nourrir toutes les bouches de son foyer. Si Giuseppe est affectueux et prend soin de sa sœur, Vincenzo est un vaurien, imperméable aux larmes de sa mère et aux coups de son père. Marí, neuf ans, est la cadette, une enfant vive d’esprit, élève brillante, qui adore la littérature et les beaux mots, plus nobles que le dialecte qui court à la maison. Elle n’aime pas le surnom de Malacarne que lui a donné sa grand-mère : elle n’est pas une « mauvaise graine », c’est juste qu’elle sait observer la vie et la comprend vite. Impertinente, parfois impulsive, Marí peine à trouver sa place. Souvent malmenée par son instituteur et ses camarades de classe, elle se rapproche de Michele Straziota, qui bénéficie du même traitement. Rapidement, une forte amitié unit les deux enfants, mais pour Antonio De Santis, il est inconcevable que sa fille fréquente le fils Senzasagne (« incapable d’éprouver des sentiments humains », un surnom qui en dit long). C’est un déchirement pour Marí, qui doit étouffer sa colère et ses larmes : pas de révolte possible, elle n’aurait pas le dernier mot.

Bari respire avec ses habitants, les plus jeunes se devant d’être fidèles à ce que veulent voir en eux les anciens, sans quoi ils deviendront des parias. Bari frémit sous les rivalités et les affrontements, et Marí déteste ce quartier et ce qu’il représente. Pour avancer, il lui faudrait s’affranchir de cette racine qui lui entrave les pieds. Mais quoi qu’elle en dise, on lui a inculqué certaines valeurs qu’elle ne veut pas bafouer. On ne choisit pas sa famille… mais on ne renie pas son sang.

Dès les premières pages se dessine la promesse d’une grande histoire au côté de la petite Maria De Santis. Cette fillette tellement attachante qui doit vivre avec le poids de sa famille, héritage maudit qui l’aiguille parfois vers des chemins sombres et cahoteux. Très vite, elle a compris que sa réussite scolaire est la chance à saisir, son unique porte de sortie. Mais si son aisance à l’école fait la fierté de ses parents, il est des mœurs, dans les années 1960, dans l’Italie profonde, contre lesquelles elle ne peut rien, des haines familiales qui se transmettent à travers les âges et qui la blesseront à bien des égards. C’est un voyage à facettes que nous offre Rosa Ventrella : un voyage dans le temps, dans les mentalités, un voyage derrière les portes closes où crainte et tristesse se heurtent à l’orgueil des hommes. À mesure que l’on avance dans ce roman et que les années passent, on saisit à deux mains la souffrance des personnages jusqu’à s’en irradier le cœur. Cette communauté tout entière a su m’émouvoir, me révolter parfois, avec son entêtement, ses diktats, sa cruauté. Je ne saurais dire qui m’a le plus touchée. Michele Senzasagne, peut-être, pour son indéfectible attachement à Marí et le rejet qu’il subit. La sincérité qui les unit, leur respect mutuel, leur complicité qui sait faire parler les silences. Comme un fil d’or tissé dans la toile dramatique de ce tableau rural. Michele, Marí… Deux jolies âmes qui font partie d’un tout auquel elles ne sont pas conformes, et qui éprouvent chaque jour dans leur chair le besoin de rompre avec une vie dont elles ne veulent pas.

Je reste marquée par ce roman, par sa force, sa beauté (la superbe traduction d’Anaïs Bouteille-Bokobza, qui a choisi ici et là de conserver quelques mots d’italien, préserve et magnifie l’identité du texte), marquée par cette « rencontre » avec l’auteur, que je vais suivre de très près.

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Commentaire ajouté par Chris-64 2020-07-12T09:04:48+02:00
Une famille comme il faut

Une pépite ! j'ai adoré ce livre, tout est bon. L'écriture, l'histoire, les personnages sont attachants.. j'ai passé un réel moment de bonheur avec la petite Maria, appelée Malacarne.

Un bon livre pour moi est un livre qu'on a envie de lire peu importe ce qu'on fait, ce qu'on a à faire, tous les moyens sont bons pour continuer notre lecture tant on a envie de replonger dans l'histoire.

Une vraie pépite !!!

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Commentaire ajouté par gribouille 2020-08-05T18:09:48+02:00
Une famille comme il faut

Un livre dur, rugueux, émouvant.

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Commentaire ajouté par Root 2020-09-02T19:28:23+02:00
La Liberté au pied des oliviers

« Je crois que si nous pouvions remonter à l’instant qui précède la perte d’un être cher, nous trouverions tous un mot à prononcer ou un geste pour alléger les esprits. »

Teresa a toujours été dans l’ombre d’Angelina. La cadette des sœurs a hérité de la beauté de leur mère et son aisance en public fait oublier son jeune âge. Teresa, elle, se contente de cette distribution des rôles, mais Angelina aspire à plus. Elle aime le luxe, a l’œil qui brille devant les belles étoffes et ne saurait considérer un malheureux sans fortune. Elle sait déjà qu’elle ne vivra pas dans une ruelle et n’embrassera pas la vie miséreuse de ses parents, elle n’a que faire de la bonté des paysans.

Tandis qu’Angeli’ rêve de taffetas, de joues poudrées et de cheveux en cascades, Teresa observe avec attention le va-et-vient des femmes qui animent la maison — ici, la porte est ouverte à tous. Aimante mais réservée, on aurait pu douter que ce fût elle qui s’acclimate le mieux à l’équilibre familial brisé par la guerre.

Car Nardi Sozzu, le père, parti au front, chaque jour qui passe amenuise leurs maigres ressources. Caterina, la mère, se fait alors embaucher par le baron Personè, propriétaire de toutes les terres du village, pour pouvoir remplir les assiettes. On dit l’homme fasciste et coureur de jupons, et sa vue n’inspire que crainte et dégoût. C’est un déchirement pour cette femme modeste et respectable que de vendre ainsi son âme au diable, mais en ces temps difficiles, l’argent n’a pas d’odeur. Ce pour quoi le baron l’emploie ? Nous n’en saurons rien. Peut-être certaines choses méritent-elles d’être passées sous silence.

De retour au pays à la fin de la guerre, Nardi Sozzu ne parvient pas à joindre les deux bouts et brûle de révolte face aux inégalités que subissent les villageois. C’en est assez de tout laisser aux riches, des coups de bâton en échange du labeur. Secondé par le neveu de la makara, la sorcière du village, seul héritier de la vieille femme venu s’installer à Copertino apres qu’elle a fermé les yeux, Nardi Sozzu entame une violente lutte de pouvoir qu’il ne maîtrisera pas longtemps… et qui gangrénera son propre foyer.

La mélancolie m’a serré le cœur de la première à la dernière page. J’ai vécu, à travers le regard de Teresa, femme et mère à l’heure où elle revient sur ses souvenirs douloureux, les crises qui l’ont dévastée, et souvent, je n’ai pas été capable de prendre catégoriquement parti. J’ai souffert avec les femmes de la famille Sozzu, sans pouvoir blâmer Angelina pour ses ambitions de sortir de son rang ni déchoir Caterina pour son sacrifice. J’ai ressenti toute la peine de Teresa, murée dans le silence devant une mère qui s’éteint doucement, perdant la lumière que lui jalousaient toutes les femmes alentour. Et j’ai compris la colère de Nardi. Nardi prêt pour son dernier voyage, prêt à rejoindre Angelina, fauchée en plein envol à 22 ans seulement. J’ai besoin qu’on m’implique dans une histoire, qu’on me permette de m’interroger, et Rosa Ventrella m’a offert cette place privilégiée que tout lecteur est en droit d’espérer. À la fois chronique sociale et familiale, ce roman dénonce, avec pudeur et intensité (l’une des forces de l’auteur), les injustices de tous bords dans une Italie meurtrie par la guerre. Chaque personnage est travaillé avec le même soin et tous m’ont touchée à leur façon. Je retiendrai, parmi les « petits rôles », la coiffeuse. Certains temps de réflexion sont nécessaires, pour mesurer le poids des actes, les conséquences des choix. Des choix qui sont interdits lorsqu’on ne les prend pas en son seul nom, mais en celui de sa famille.

Après Une famille comme il faut, l’auteur réitère la question de l’appartenance et de comment celle-ci détermine l’avenir, coupant l’herbe sous le pied à l’individualité. Cruel et dense, sous ses allures d’ancienne légende contée un soir au coin du feu, La Liberté au pied des oliviers marque le cœur et la conscience. Avec une mention spéciale à Anaïs Bouteille-Bokobza pour sa magnifique traduction parsemée d’italien, qui préserve l’identité du texte.

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La Liberté au pied des oliviers

Copertino, Italie. C’est dans ce petit village que vit Teresa, auprès de ses parents et de sa sœur Angelina. Le lecteur suivra le parcours de cette famille, en particulier celui de Teresa, sur plusieurs années. De l’enfance à l’âge adulte, les deux sœurs feront face à une multitude d’épreuves.

C’est un bon roman que j’ai découvert et pourtant, je ne peux m’empêcher de ressortir légèrement déçue de cette saga familiale qui semblait prometteuse au départ, mais qui ne m’a finalement pas convaincue de par la manière d’aborder l’histoire de la part de l’auteure.

Pourtant, au début, j’ai été conquise d’emblée par la description très réaliste de la vie dans ce petit village. L’auteure a su dépeindre avec beaucoup de subtilité le quotidien âpre de ces habitants. J’ai été très touchée et cela m’a bouleversée à maintes reprises.

Ce qui m’a finalement déçue, c’est l’absence de continuité dans le fil rouge instauré par l’auteure au départ. En effet, j’ai pensé que cette saga serait davantage centrée sur le quotidien des deux sœurs, Teresa et Angelina, mais tout au fil des pages, j’ai eu l’impression que cela partait dans d’autres directions. Malgré cette légère déconvenue, cela reste tout de même une très belle lecture.

Les personnages sont bien dépeints, et la dualité entre les deux sœurs est présente tout au long du roman. Leur relation est complexe, la jalousie souvent présente. Elles sont au centre du récit, mais la galerie de personnages secondaires prend également une part importante à l’histoire.

La plume de l’auteure est tout en douceur. Beaucoup de descriptions jalonnent cette saga, et l’immersion dans ce village est réussie. Le récit est narré à la première personne, sous le point de vue de Teresa, et ce choix de narration est particulièrement judicieux.

Une belle saga familiale que j’aurais aimée davantage centrée sur les deux sœurs, mais qui n’en reste pas moins émouvante et narrée avec brio. À découvrir.

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La Liberté au pied des oliviers

《Dans le sud de l’Italie, deux fillettes grandissent à la merci des sursauts de l’histoire et des injustices liées à leur condition.》

Ce livre, c'est l'histoire de Teresa et Angelina deux sœurs si différentes, mais qui se ressemblent tant en même temps. Elles ne pensent qu'a une seule chose : changer de vie et s'éloigner de  Copertino leur ville du sud de l'Italie.

À cause de la guerre, leur père doit s'absenter et la mère des deux jeunes filles va devoir faire un choix terrible afin de s'assurer de la survie de sa famille et cède à un terrible compromis et tombe sous la coupe du baron Personè. Les deux soeurs, marquées par les choix et les obligations de leur mère, emprunteront à leur tour leur propre chemin et tenteront, à leur façon, d’inventer leur liberté.

Je n'ai pas les mots pour parler de ce roman tant il m'a marqué. C'est un livre poignant et fort. C'est sans hésiter une de mes meilleures lectures que je conseillerai à tous sans hésiter ! Je ne m'attendais pas à ça, mais j'ai vraiment accroché à ma lecture. Tout au long du récit, il règne une ambiance spéciale, on apprécié notre lecture, mais en même temps, on se sent mal à l'aise, car on se met a la place de Teresa et on vit les événements en même temps qu'elle.

J'ai adoré le lien qui unit Teresa avec sa sœur et les autres membres de sa famille. C'est une petite fille si sensible et attachante qui fait de son mieux pour fuir la misère.

J'ai adoré la plume de l'auteure et je relirai sûrement ce roman, mais en VO cette fois-ci (et inutile de préciser que je compte lire ses autres romans aussi). 

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Commentaire ajouté par lilysue14 2023-05-28T09:31:12+02:00
Béni soit le père

Rosa est née dans un quartier très pauvre de Bari en Italie. Alors qu'elle habite désormais Rome, elle est en train de se séparer de son mari Marco. Sa mère fait un AVC et Rosa doit retourner sur le lieu de son passé marqué par la haine pour son père et l'amour de sa mère et de ses frères.

Je ressors déçue de cette lecture. Je trouve que le résumé ne reflète pas vraiment l'essentiel du roman.

L'histoire commence par la séparation de Rosa et Marco et l'organisation de la garde de leur fille. Cette dernière va ensuite recevoir un coup de téléphone de son frère Salvatore, leur mère est hospitalisée. Dans le train qui la mène à Bari, Rosa écrit à sa mère l'histoire de sa vie et ce qu'elle n'a pu lui avouer. De son enfance à sa vie d'adulte avec Marco.

La description du vieux Bari est immersive. On se croirait sur les lieux. J'ai retrouvé l'atmosphère des vieux villages italiens avec les commères et la promiscuité du voisinage.

Le personnage de Rosa est bien travaillé. L'autrice décrit bien l'ambivalence de ses sentiments envers son père. Elle a peur de lui, elle le hait pour ses mensonges et ses excès de colère voire de violence. Mais elle l'aime aussi car c'est son père, que la vieillesse a rendu fragile. Le pardon est salutaire. Parfois nos souvenirs d'enfance nous apparaît tronqués ou démesurés.

Le propos est fort et intéressant mais la lecture a été longue. Plusieurs passages sont inutiles et s'étirent. Le style d'écriture ne m'a pas totalement convaincu. Il y a trop de lourdeur et d'implicite rendant le texte confus à un certain moment.

Un court roman évoquant l'enfance, ses douleureux souvenirs et l'émancipation vers la vie d'adulte.

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Commentaire ajouté par Anne-Elisabeth 2023-11-05T21:21:11+01:00
Les Enfants de Haretz

Roman. Livre inspiré d'une histoire véridique.

L'histoire et les personnages sont touchants. Ce livre rappelle ce qu'on vécu les enfant juifs.

Je recommande la lecture de ce livre.

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Commentaire ajouté par Talou61 2023-12-05T16:20:07+01:00
Une famille comme il faut

Malacarne

C'est le surnom que aa grand-mère a donné à Maria.

Cette fillette de 9 ans vit à Bari, une ville d'Italie, située sur le talon de la botte.

On suit sa vie, sa survie plutôt, dans un quartier sale, miséreux entre deux grands frère, une mère soumise et un père très violent…

Ce roman m'a rappelé "L'Amie prodigieuse" par le caractère de cette fillette et la descriptions des quartiers sordides, sauf que ce récit se déroule dans années 1980 et que l'écriture est moins addictive…

Une histoire d'amitié, d'amour, de violence, avec un brin de Roméo et Juliette…

Une belle leçon de vie.

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