Mélodie Or

http://saginlibrio.over-blog.com/2020/12/la-cle-tome-1-serie-eldelaran-de-melodie-or.html

J'ai fini l'année 2020 et commencé 2021 avec ce roman que j'ai trouvé addictif. Il mêle à la fois l'éveil de Laurys, jeune fille de 17 ans, adoptée dans son enfance autour d'un mystère qu'elle n'aura de cesse de vouloir élucider, et l'action avec des 'hommes en noirs' qui essayent tant bien que mal de l'enlever. Mais deux jeunes gens de son entourage, Razül et ses yeux étranges, ainsi que Kaname, jeune nippon qui se découvre certaines facultés, vont l'aider et la seconder malgré leur rivalité.

Oui la jeune Laurys habite au Japon, quel plaisir de la voir évoluer dans son lycée, où l'auteur n'est pas tendre avec les relations entre jeunes. Les pseudos amitiés vont et viennent en fonction de l'instant, d'avec qui elle aura parlé. Kaname est ce jeune garçon à l'allure qui plait aux filles, un peu bad boy, dédaigneux. Mais un jour il se met à voir Laurys autrement ce qui destabilisera quelque peu notre jeune héroïne, elle qui aime vivre invisible de tous.

Le côté fantastique arrive avec Razül, prêt à tout pour protéger Laurys, se trouvant dans l'embarras quand il devra lui révéler son héritage biologique. Elle verra son cœur battre plus fort à son contact, quand il l'aidera à mieux se battre au Kendo mais également quand il se trouvera très près d'elle.

Moi qui suis fan de KDrama, j'ai adoré cette impression d'être plongée comme au centre d'un webtoon, les émotions sont amenées avec finesse, pour un premier tome tout y est pour que je me sois sentie en affiliation avec les personnages: ceux que l'on aime de suite et ceux que l'on va détester. L'action et le fantastique sont savamment dosés, j'ai hâte de pouvoir découvrir la suite.

Un premier roman de l'auteure qui, je l'espère, réitérera dans d'autres écrits, sa plume étant très belle. Le fait d'avoir posé son histoire au Japon est innovant et m'a permis également d'être dépaysée.

Enjoy!

La couverture est juste magnifique et est réalisée par 2Li :)

Ëldélaran est un roman fantastique dont l'histoire se déroule de nos jours au Pays du Soleil-Levant. Moi qui aime les animés japonais, j'ai retrouvé dans ce livre plusieurs ingrédients qui leur sont propres : amour triangulaire, perte/abandon, légende nipponne, surnaturel qui s'insinue dans la vie de lycéens et une touche d'arts martiaux. Le rythme est prenant, les personnages complexes et attachants, l'intrigue bien menée. Le suspense reste entier et j'ai suivi avec intérêt les péripéties de Laurys, Razül et Kaname. Le côté fantastique est savamment distillé, de même que la romance. Enfin, l'auteure aborde certains aspects de la réalité sociale au Japon tels que le harcèlement scolaire et le surmenage au travail. Bref, un premier tome que j'ai beaucoup aimé et qui donne envie de connaître la suite.

C'est l'histoire de Laurys, qui revient vivre au Japon avec sa famille adoptive. C'est une jeune fille renfermée sur elle même, à cause du harcèlement scolaire qu'elle a subi dans son précédent lycée. Un soir, elle va faire l'objet d'une tentative d'enlèvement mais sera sauvé in extremis. À la suite de cela, elle va partir en quête d'identité. Elle va tenter d'en apprendre plus sur son passé, sur sa famille biologique, et savoir pour quelles raisons ses parents l'ont abandonnés. Petit à petit, elle va découvrir qu'une créature maléfique en veut à sa vie.

J'ai adoré ce premier tome ! Le prologue nous met immédiatement dans l'ambiance et donne vraiment envie d'en savoir plus. Ce roman se lit facilement, la plume de Mélodie Or est super agréable et l'intrigue est captivante. Un livre très addictif !

J'ai rapidement accroché au trio que forme Laurys, Razul et Kaname, ils sont tout les trois très attachants. Laurys est un personnage touchant qu'on voit évoluer au fil des pages, j'ai beaucoup aimé cette héroïne forte et fragile à la fois.

J'ai trouvé l'histoire un peu longue à se mettre en place, mais à partir du moment où Laurys commence à découvrir la vérité sur ce qu'elle est, l'action et les rebondissements sont au rendez-vous et on ne s'ennuie pas !

En bref, une excellente histoire qui mêle monde réel, fantasy et créatures légendaires, le tout dans une ambiance japonaise ! C'est une belle découverte et il me tarde de lire le second tome, qui s'annonce incroyable et bourré d'actions au vu de la fin de celui-ci !

Vingt manières différentes de traiter le thème de la ville de Somnore dans l’Anthologie d’Otherlands : Légendes de Somnore.

Je ne vais pas faire un catalogue de toutes les nouvelles, mais en chroniquer quelques unes parmi celles qui correspondent le plus à ma sensibilité.

D’abord celle que j’ai préférée :

LA FUITE par Isabelle Leblond

L’enfance et ses jeux aux règles compliquées : « Dans cette ruelle il ne faut surtout pas poser les pieds sur les pavés de la chaussée... Sinon le crocodile jaillit des rainures et vous mange la jambe. »

Des escaliers urbains qui peuvent être ceux qui montent à la butte Montmartre, ou à la butte Sainte Anne de Nantes.

Bref plein de choses qui raisonnent avec mes souvenirs.

Et puis de la légèreté, beaucoup de légèreté autour de cette gamine qui sautille. Un récit très visuel.

Mais derrière le rideau des mots, la vérité qui n’a rien de joyeux.

Le fantastique le plus efficace n’est pas celui qui rentre dans les détails de l’horreur, celui qui décrit des monstres gluants et des organes en putréfaction, mais c’est celui qui reste tapi.

Les enfants qui habitent Somnore sont comme tous les enfants du monde.

"L'amour laisse rarement indemne..." Inscrite sur la première de couverture, cette phrase résume parfaitement ce recueil composé de sept nouvelles.

Plongées dans un univers fantasy ou flirtant dans un monde fantastique, des histoires d'amour se meuvent, se broient, brillent, touchent et vacillent.

J'avoue que je ne suis pas friande de Fantasy d'habitude, mais ici, j'y ai trouvé mon compte. Chaque auteur y va de sa plume pour immerger le lecteur dans son histoire, sans jamais le perdre. Chaque nouvelle est indépendante, comporte son lot d'intrigues, de décor, de personnages et son histoire d'amour et... La fin a toujours un goût de surprise !

C'est le gros point positif de ce recueil ! Il y a un équilibre savoureux de "happy ends" et "sad ends" et donc impossible de deviner la fin lorsqu'on commence une nouvelle.

Mon seul regret est de ne pas avoir lu ce recueil à la période d'Halloween, car c'est la lecture idéale pour une Fleur Bleue qui veut se mettre dans l'ambiance.

Je remercie la maison d'éditions l'Alsacienne Indépendante pour m'avoir fait parvenir ce titre, par le biais de la masse critique Babelio.

Il s'agit du premier tome et nous avons souvent deux cas de figure : soit c'est trop descriptions qui alourdissent le texte, soit trop léger sur le travail des personnages, et parfois d'autres points encore. Des descriptions il y en a forcément, mais cela reste léger, les détails arrivent quand il le faut sans alourdir l'intrigue plus qu'il ne faudrait. Nous suivons Laurys qui a déménagé avec sa famille adoptive au Japon pour le travail de son père et cela ne plait pas à sa grande soeur Andy qui a été aussi adopté. Seule la petite dernière, Heidi est un coup de chance pour les parents, qui aiment tout autant les trois filles, enfin la mère. Concernant le père, j'ai de sérieux doutes, mais passons. Le dernier déménagement dans le Japon même a été une obligation, Laurys a été harcelé pour des photos, l'histoire traditionnelle du garçon parfait qui a eu sa première fois avec et qui aurait lâché les photos de sa copine. Bien qu'il y ai un semblant d'entourloupe avec ce qui se dit à la fin, le harcèlement est réel et Laurys a depuis de sérieux problème de confiance. Tout comme la timidité qui fait partie intégrante d'elle-même.

Laurys est différente de bien des manières de ces autres sœurs. Elle ressent les choses et ne se montre telle qu'elle est uniquement en pratiquant le kendo ou usant d'une lance de deux mètres, sa naginata. Une femme guerrière qui ne se sent vraiment libre qu'ainsi, autrement elle est totalement effacée à la limite du fantôme. Depuis trois ans Andy ne cesse de la rabaisser, tandis que Heidi est adorable. Les liens de la famille sont fragiles, surtout lorsque le père est peu présent et que les soeurs ne s'entendent pas forcément. Le Japon a de nombreuses traditions que cette famille a pris sans aucun problème et nous les ressentons énormément : la famille est un point important aussi bien pour Laurys que pour d'autres personnages tel que Kaname avec sa tante et le passé de sa grand-mère. 17 ans et quelques pour certains, voire un peu plus pour d'autres, ils vont devoir tous affronter leur cauchemar. L'abandon est un élément qui bouffe petit à petit Laurys, ne connaissant pas ses parents et n'ayant qu'un médaillon. Beaucoup de choses l'entourent, comme cet harcèlement qui ne s'arrêtent pas au dernier lycée, ou encore le fait qu'on veuille l'enlever et qu'un homme la protège. Il y a aussi les voix, les sensations, les regards qui se posent étrangement sur elle alors qu'elle a toujours été invisible. La vie de Laurys change inexorablement et elle ne sera pas seule à se découvrir une vérité bien particulière.

En parlant des personnages, Kaname et Razül sont bien différents, mais ils désirent la même chose : la protéger. Deux mondes différents, deux personnages ni parfait ni trop beau, l'auteur leur a donné des forces, des faiblesses et des émotions. Leur passé se dévoilent pour l'un comme pour l'autre et si l'un en a plus vu le nombre d'années, aucun des deux ne peux véritablement être en paix. Quant à la soi-disant meilleure amie de Laurys, Ayumi, c'est une vraie tête à claque, profiteuse, usant de Laurys comme d'une serviette pour essuyer ses pieds sans qu'elle ne s'en rende compte, ou ne le désire pas. Du départ je ne l'ai pas aimé et au final je sentais bien une entourloupe derrière ses manières. Pour la grande sœur Andy, je n'imaginas pas que la rancune soit si tenace et surtout qu'elle termine ainsi. D'autres personnages font leur apparition, cousin, prof, Käry (qui est plutôt bien amenée par ailleurs) et apportent du travail. Rien ne se fait dans le gentil, l'enlèvement raté ne sera pas le premier, car Laurys a et est quelque chose qu'ils veulent ces hommes en noir. Des men in black qui se prennent trop au sérieux, voila ce qui arrivent quand on y croit trop !

L'intrigue est vite mise en place, dès le début du récit nous savons déjà que Laurys vient d'ailleurs de part la façon dont ses vrais parents la sauve. Son arrivée à l'orphelinat reste un léger mystère et la recherche de ses parents 13 ans plus tard va lui apporter des réponses auxquelles elle ne s'attendaient pas. Les fausses amitiés sont vite balayées par Razül et Kaname qui vont défier tout le lycée en protégeant ouvertement Laurys des médisances. Chaque morceau de passé dévoilé apporte des questions en plus et des c'est quoi cette malédiction ? Le fantastique est là du départ, pour autant il ne prend pas toute la place en commençant, au contraire, elle a une vie de jeune fille normale, tout ce qu'il y a de plus banale. Rien n'aurait pu dire qui elle est vraiment si ce n'est qu'elle n'est pas seule. L'écriture se lit facilement et le monde et ses visions sont à la fois colorés et bien décrit. La magie est mise en avant sous différentes formes, restant dans le domaine du Japon et de ses coutumes. Pas besoin de faire de dessin pour cela. C'est fascinant la façon dont l'auteur arrive à transposer de nombreux événements tout en y mêlant le fantastique.

J'ai malgré tout quelques petits bémols, tel le père que nous ne savons pas ce qu'il fait réellement, Käry qui est bien amenée mais la façon de faire m'a paru un peu gros sur le physique, la jeune fille qui se cache derrière ses affaires et qui devient la convoitise du garçon que toutes les filles s'arrachent (même si le fait de l'avoir vu réellement apporte un début de réponse) et la fin qui est un peu trop rapide. Et le semblant de trio amoureux qui est quelque chose par contre que je n'aime pas dans un livre, mais cela ce n'est que l'affaire de gout. Comme je l'indique, quelques bémols sans gravité qui sont plus des manques de descriptions plutôt que des points négatifs.

En conclusion, un premier tome d'une série que je prendrais plaisir à continuer la lecture. Une trame ficelée qui a de nombreux événements liés les uns aux autres et lorsque nous comprenons qui sont réellement ces personnages principaux, la magie s'effectue. Les personnages dont le passé ne cesse de nous émerveiller et de nous donner de nombreux détails sur l'autre monde, enfin, je n'en dis pas plus à ce sujet, car il faut le lire pour découvrir tout cela. Et puis rien qu'avec la couverture qui est très belle au passage, nous savons qu'il y aura de quoi nous réchauffer ! Pour ma première lecture de janvier, je trouve que c'était vraiment un très bon départ !

http://chroniqueslivresques.eklablog.com/eldelaran-tome-1-la-cle-melodie-or-a211732998

J'ai dévoré ce roman en un rien de temps. Le style de l'auteure est fluide, et cela favorise la compréhension de l'univers qu'on découvre petit à petit au fil des pages.

J'ai beaucoup apprécié que l'histoire se passe au japon, et qu'on y apprenne leurs us et coutumes (en tant qu'ancienne fan de manga, ce livre m'a ramenée à mes années lycée/fac et c'était très rafraichissant)

Les personnages sont très attachants et touchants, et ça m'a fait de la peine se les quitter quand j'ai lu les dernières lignes de l'histoire.

Mon seul petit bémol serait la fin du roman, dont je trouve certains aspects légèrement précipités.

Ce qui me rassure tout de même, c'est que la fin de ce livre n'est pas la fin de l'histoire, et que j'aurai la joie de retrouver Laurys, Razul et les autres dans de nouvelles aventures^^

Une lecture que je recommande, si vous avez envie de passer un bon moment, de rêver de créatures enchantées ou de voyager au pays du soleil levant^^

Quel plaisir de retrouver les personnages après un tome 1 qui m’avait plu ! L’histoire démarre là où on l’a laissée. Même si, petite nouveauté, en plus de leur voyage, nous avons aussi le droit à des moments dans Astrah, la cité royale d’Elevahi avec Zarlina et son frère jumeau. Laurys vit pour le moment sa meilleure vie avec Razül (laissez-nous savourer), Andy qui sera un poil plus mise en avant. En même temps, on nous fait comprendre que clairement, elle n’est pas là pour rien, ouf, et Kaname. Je mets pour le moment S* de côté.

Ce tome fait la part belle à l’histoire, la famille, l’héritage également, sans oublier quelques aspects plus sombres. Que ce soit ce qui se passe entre Zarlina et son frère, K et S ou encore le sort de Razül.

Côté univers, les dragons sont bien mieux mis en avant que le 1, oui vous allez me dire on va dans leur monde, c’est logique ! Mais, il n’y a pas que ça. Oui, on voit les gardiens, oui on apprend avec certains ouvrages et on découvre plus de magie et on est rassasiés ! En plus, y a un endroit ou on n’a pas d’envie pressante, c’est génial !

Ah, et je veux bien la mémoire de l’univers aussi ! Non ? Juste pour la consulter ?

Côté personnages, Laurys ne m’a pas surprise, même si elle se met à sacrément bien parler pour rassembler les foules ! Oui, elle a ça dans le sang… Y a pas mal de moments guimauves entre Razül et Laurys. Je ne suis pas du tout romantique, mais je sais que ça plaira énormément à d’autres. Kaname est plus profond dans cet ouvrage et je ne dis pas cela uniquement pour le bonus. Andy a sa part, Zarlina également. Les moments avec Kary sont agréables, je pensais souvent comme elle, et sans spoiler, tout le déroulé est logique…

Côté histoire, à travers la question d’Andy on récupère le but de leur épopée, à savoir ils cherchent un moyen de rompre la malédiction qui empêche la princesse Ëldélaran de rejoindre Astrah. Bon, certains trouveront l’idée habile, pourquoi pas. Je me souvenais de l’objectif pour ma part. Tous se concentrent sur le combat à mener contre le Shöken. Mais, d’abord, qui connaît l’identité du Shöken ?

J’ai aimé, le petit dragon en illustration c’est mignon, la dimension géopolitique, que ce soit niveau « parti », on pense bien au Neutre, à l’économie, à la gestion finalement d’un royaume. Le fait que le récit ne soit pas linéaire, on passe de Zarlina à Laurys, on apporte des éléments d’histoire aussi, j’ai apprécié ! Y a quelques références culturelles, des recherches, j’aime bien !

J’ai moins aimé, certains moments qui manquaient de rythme et puis la petite frustration de la fin. Un kaboum c’est bien aussi.

Un dernier mot ? Ecoutez la voix.

La suite sur ma page :

https://www.facebook.com/maritzajaillet/posts/5135329849858017

Dans l'ensemble, j'ai beaucoup apprécié ces nouvelles !

Certaines plus que d'autres évidemment, mais dans l'ensemble c'était très sympa et cette diversité de styles et de surnaturelles m'a beaucoup étonné !

Comme d'habitude j'ai le cœur lourd d'avoir terminé un livre et de quitter des personnages auxquels je me suis attachée.

J'ai tout aimé dans cette suite à part peut-être la longueur. Je pense que c'est le gros bémol et ce qui a perdu beaucoup de monde. J'aurais aimé qu'on prenne plus notre temps et que toutes ces aventures soient portées par des pages plus nombreuses... voir par un tome supplémentaire. Il y avait cette impression de rapidité qui m'a un peu dérangé.

En revanche, j'ai souvent lu dans les avis que les personnages étaient puérils. Moi, j'ai trouvé leurs réactions humaines tout simplement et l'humour qui en découlait m'a séduit.

Dans cette suite, nous découvrons tout un univers, toute une mythologie. Mélodie Or nous la livre progressivement au fil de l'aventure qui continue.

Tour à tour chaque personnage se révèle. Je m'identifie particulièrement à Laurys, l'héroïne. Une ado très timide victime de harcèlement mais qui dans certaines situations se mue en guerrière. Du tome 1 au tome 2, nous la voyons grandir malgré ses doutes.

Si j'ai regretté la taille trop courte de cette suite, il est clair que, du coup, nous n'avons pas le temps de nous ennuyer tellement les actions s'enchaînent.

J'ai vraiment aimé toute cette histoire de bout en bout. Même si le tome 1 reste mon préféré et que ce tome 2 aurait mérité plus de mots, je suis loin d'être déçue par cette fin que j'ai adoré.