Fiona Grace

Bon moment de lecture, pour ce roman découvert par hasard.

Un cozy mystery saupoudré de paranormal.

Après des déboires personnels, Mia se retrouve à Salem. Elle enquête, en tant que sceptique (M. Spok) sur une maison hantée et un meurtre.

Bémols : - pas aussi drôle qu’annoncé, mais cela ne gâche rien.

- la couverture : son animal de compagnie est un chien ! Le chat arrive plus tard et, ne se promène pas en laisse ! 😉

Bonne lecture, mais je l’ai moins appréciée que le précédent tome. En effet, on retrouve la même trame et, l’effet original se perd. Heureusement, le suspense est maintenu jusqu’au bout.

Est-ce vraiment la fin de la série ? Elle pourrait compter autant d’épisodes qu’il existe de lieux hantés à Salem !

Construit sur la même trame que les précédents, ce tome est bien construit : l’énigme tient jusqu’au bout, ainsi que le suspense.

Deux questions subsistent cependant : quid de la vie sentimentale de Mia et, qui est son père ?

A suivre ?

Ce n'est pas désagréable à lire mais il n'y a rien d'exceptionnel non plus. C'est un peu tiré par les cheveux toute cette enquête faite par Ali... surtout que le coupable est plutôt ridicule...

Je suis un peu mitigée par ce livre. J’ai beaucoup aimé tout le début du livre, c’était très réel et les personnages étaient intéressants.

A partir du moment où Allison commence son enquête, j’ai trouvé qu’il y avait des moments assez lourds et pas mal d’incohérences.

Spoiler(cliquez pour révéler)Déjà elle n’a aucun état d’âme par rapport à son ex. Ensuite elle a agressé quelqu’un et est violente parce qu’elle a enfoncé de la menthe dans sa crème brûlée?!!!!! Et lors de ses interrogatoires pour chaque femme elle se dit qu’elle n’avait pas la force pour faire passer la victime par dessus le parapet mais pour elle même ce n’est jamais envisagé. Et puis ce n’est pas très plausible étant donné le nombre de touristes qui passent et qui ne sont pas du coin que personne ne être de la journée dans sa boulangerie. Car même si ses gâteaux sont élaborés, il y’a toujours les croissants.

Ça m’a fait pensé par certains côtés aux débuts d’Agatha Raisin sauf que là il me manque un petit quelque chose. Peut être développer un peu plus les relations avec Nate et Delaney, par exemple.

Je ne dis pas que l'histoire et les personnages ne sont pas sympathiques, et même l'auteure puisqu'elle offre son histoire gratuitement, mais... que de fautes d'orthographe et de syntaxe. Je suppose qu'il s'agit d'une traduction. Si c'est le cas, il y a urgence à engager un excellent traducteur.

Mon choix dans "pas apprécié"

- Traduction, au secours !

Eh bien voilà un livre sans prise de tête.

Allison Sweet est une cheffe pâtissière qui chamboule toute sa vie pour aller s’installer en bord de mer à Willow Bay. Elle décide même de réaliser un rêve de gosse : ouvrir une boulangerie sur la promenade. Cependant, son rêve vire au cauchemar quand les clients n’affluent pas et qu’elle est accusée de meurtre. Elle mène alors sa propre enquête pour prouver son innocence.

Ça se lit vite, on passe un bon moment. J’ai trouvé les personnages attachants (perso, j’ai beaucoup apprécié le frère d’Ali, Teddy). On a l’impression que l’auteure a voulu s’amuser en écrivant ce livre, notamment à cause des noms des personnages et de leurs surnoms.

On vit ce changement de vie avec Allison et, après les galères qu’elle a vécues (et parce qu’on veut aussi qu’elle cloue le bec à sa mère détestable), on espère de tout cœur que sa boulangerie va fonctionner. Bref, on se plonge assez facilement dans l’histoire, même si le début est assez long et qu’il faut attendre la moitié du bouquin pour que ça devienne vraiment intéressant.

Même si j’ai aimé cette lecture, j’ai trouvé la fin pas ouf (promis, pas de spoil). En fait, j’ai trouvé que ça allait trop vite. Y a certaines choses que j’ai eu du mal à saisir et je trouve ça dommage que, dans la façon dont est écrit le bouquin, on ne puisse pas mener nous-même notre propre enquête (je ne peux pas t’en dire plus sans spoiler).

Je pense me laisser tenter par la suite de la saga parce que j’ai apprécié les personnages et que je ne serai pas contre l’idée de les retrouver, mais aussi parce que je me demande si certaines de mes questions ne trouveront pas de réponse dans les tomes suivants.

Facile à lire en VO.

Le décor (mai 1928) n'est pas excessivement mis en lumière ; l'action pourrait aussi bien se dérouler au siècle précédent, si ce n'est la référence aux suffragettes. Encore est-elle très fugace et peu détaillée. Le premier chapitre présente une manifestation avec des pancartes "Votes for Women", seulement, le droit de vote des femmes remonte à 1918 en Grande Bretagne. Pendant les années 20 les revendications portent sur l'alignement des conditions d'accès au vote pour les femmes (suffrage censitaire, à partir de 30 ans) sur celles des hommes (suffrage universel à partir de 21 ans). Ce n'est pas expliqué dans le roman, qui parle juste d'un espoir que le gouvernement accorde le droit de vote à "toutes les femmes", sans plus de détails.

Intrigue policière honnête.

Léger, frais, divertissant. J'ai aimé, bien que je trouve que le crime met du temps à venir. L'auteur installe bien le personnage principale, avant l'ombre d'un crime.

le titre de ce livre est : Manoir Thistlewood : La mort d’une délurée (Un Mystère Cosy d'Eliza Montagu – Livre 5)