Priscilla Oliveras

À noter que ce roman se déroule après Sous le soleil de Key West, que je n’ai pas lu, mais cela ne gêne pas la compréhension, les deux romans étant indépendants. Les quelques allusions de l’autrice à son premier roman enchanteront les personnes l’ayant apprécié, et permettront aux autres lecteurs, dont je fais partie, d’avoir un aperçu de l’histoire d’amour entre Sara et Luis. Une histoire d’amour qui ne m’attire pas outre mesure, à l’inverse de la nouvelle romance qui semble se dessiner à l’issue de ce roman…

Depuis quelques jours, j’enchaîne les romans des éditions de l’Archipel puisqu’après Duel au soleil et Dent de dinosaure, j’ai dévoré en deux soirées Les amants de Key West. Il faut dire que ma première rencontre avec Priscilla Oliveras s’est particulièrement bien passée, sa plume m’ayant d’emblée séduite, tout comme sa capacité à construire une intrigue douce et mouvementée à la fois, et développer des personnages humains dans leurs faiblesses, et attachants dans leurs qualités !

J’ai ainsi adoré partir à la rencontre de deux anciens amants qui, après une rupture difficile, vont avoir l’occasion de renouer et, avec un peu de chance, faire table rase d’un passé marqué par douze longues années de silence. Mais les choses s’annoncent, a priori, mal engagées… Anamaría, malgré la pression de sa mère, n’a aucune envie de revoir et prendre soin de son amour de jeunesse qui lui a brisé le cœur en quittant Key West pour réaliser ses rêves et fuir son père, en attendant d’elle qu’elle sacrifie tout pour le suivre. Et Alejandro n’a aucune envie de rester en convalescence dans sa famille, alors que son père lui a déjà depuis longtemps fait comprendre qu’il n’était plus le bienvenu, et qu’il a encore du mal à accepter ce qu’il considère comme une trahison de la part de son ex-petite amie. Sans son accident l’ayant gravement blessé, il n’aurait d’ailleurs jamais accepté de remettre les pieds dans sa ville natale où tellement de souvenirs le relient au passé…

Ce roman laisse une large place à la romance entre deux anciens amis et amants qui vont très vite réaliser que leur attirance d’antan est encore bien présente qu’ils le veuillent ou non. Malgré des échanges parfois tendus, chacun reprochant à l’autre leur rupture, on ressent pleinement leur très forte alchimie, leur connivence et cette complicité qui ne demande qu’à renaître de ses cendres. Pour ma part, j’ai adoré les voir évoluer ensemble, hésiter, douter, mais aussi réaliser que les blessures du passé ne demandent qu’à être définitivement pansées. Leur relation, pleine de tendresse et parfois un peu obscurcie par la peur d’être blessé, ne devrait pas manquer de faire battre le cœur des lecteurs, et leur donner très envie d’assister à un beau happy end entre deux personnages attachants qui semblent faits l’un pour l’autre. Anamaría et Alejandro nous offrent ainsi de très beaux moments durant lesquels les souvenirs du passé se mêlent aux espoirs du lendemain, un lendemain que le couple va devoir forger à son image.

L’autrice a réussi le tour de force de proposer une histoire d’amour belle et tendre qui s’impose à nous comme une évidence, mais qui n’est pas non plus exempte de difficultés, bien qu’elle ne se révèle jamais dramatique. En effet, si Anamaría et Alejandro se sont toujours aimés, ils ont également toujours eu entre eux le poids des attentes familiales et une vision de l’avenir assez différente. Ce sont d’ailleurs ces deux points qui les ont séparés il y a plus de dix ans et qui menacent maintenant de faire vaciller leur relation actuelle. Une relation sur laquelle ils se refusent à mettre un nom, mais qui compte énormément pour eux, malgré la menace d’un compte à rebours qui pourrait signifier la fin de tout ou, au contraire, le début d’une belle aventure à deux.

Peut-on aimer sans concession, tout en restant fidèle à ses propres rêves ? Peut-on concilier l’envie d’évasion et de découverte du monde de l’un, et le besoin de racines de l’autre ? Voici deux questions parmi de nombreuses autres soulevées par la relation entre une Anamaría ayant su trouver sa place au sein de sa communauté et un domaine professionnel dans lequel s’épanouir, et un Alejandro dont les aspirations professionnelles le conduisent par monts et par vaux. Je n’en dirai pas plus si ce n’est que j’ai apprécié que l’autrice rappelle que si ce n’est jamais facile, il est bien souvent possible de trouver des compromis ne nécessitant pas le sacrifice de l’un au profit de l’autre.

J’ai également beaucoup aimé suivre Anamaría dans le développement de son activité professionnelle dans laquelle elle semble vraiment s’épanouir, et faire des étincelles, que ce soit grâce à son dynamisme, ses multiples compétences, sa gentillesse ou sa sincère envie d’aider les autres. L’aide de sa future belle-sœur, une influence qui croit en elle et qui lui a ouvert son carnet d’adresses, n’est pas non plus étranger à son succès… Quant à Alejandro, photographe de talent, il semble réussir à exprimer dans ses photos tous les mots qu’il se refuse à prononcer, les maux sur lesquels il évite de s’appesantir, les émotions qui l’assaillent au gré de ses rencontres, la beauté des décors et des paysages qu’il découvre, et la vie qui pulse en chacun des êtres vivants qu’il photographie.

Au-delà de cet équilibre entre aspirations personnelles/professionnelles et désidératas amoureux, qui n’est pas toujours facile à atteindre pour des personnes aux objectifs de vie très différents, l’autrice aborde également avec brio la complexité des relations familiales, une source puissante de motivation et de soutien pour avancer dans la vie, mais aussi parfois un frein difficile à surmonter. Ainsi, si Anamaría a toujours pu compter sur le soutien inconditionnel de sa famille, de ses frères protecteurs, d’une mère envahissante, mais bienveillante, et d’un père dont elle est le joyau, Alejandro lui a dû et doit toujours évoluer en eaux troubles, entre un frère, une mère et une grand-mère adorables, et un père qui l’a depuis fort longtemps rejeté. Ce dernier n’a, en effet, pas accepté que son aîné refuse de reprendre les rênes du restaurant familial, vivant cela comme un affront et une marque d’ingratitude envers un héritage familial construit à force de dur labeur et de sacrifices, la famille d’Alejandro ayant dû fuir Cuba sous Castro.

Le père d’Alejandro m’a exaspérée à plus d’un titre, mais le personnage permet à l’autrice d’évoquer le poids des attentes familiales, parfois écrasantes, et la difficulté pour certains parents d’accepter que leurs enfants ne suivent pas la voie toute tracée qu’ils avaient prévue pour eux. À cet égard, il y a une scène qui m’a beaucoup émue, parce qu’elle concrétise une chose à laquelle Alejandro a toujours aspiré sans jamais se l’avouer, tout en nous offrant un moment père/fils d’une rare intensité. J’ai également été très émue par la manière dont le photographe de génie réussit, à travers son art, à construire un magnifique pont entre présent et histoire, qu’elle soit familiale et/ou collective. Collective, car l’histoire de Cuba et des personnes qui ont dû fuir Castro est tissée en toile de fond… Que ce soit grâce aux quelques mots espagnols glissés par-ci par-là que j’aurais d’ailleurs aimé voir traduits en notes de bas de page (oui, j’ai l’envie saugrenue de comprendre tout ce que je lis), la cuisine ou l’immersion dans la vie de deux familles cubaines, l’autrice offre d’ailleurs une petite incursion dans la culture cubaine.

En conclusion, entre rancune, doutes, interrogations, espoirs et échanges auréolés de sensualité, assistez aux retrouvailles mouvementées entre deux anciens amoureux, dont la complicité évidente et l’alchimie indéniable, malgré de longues années de séparation, ne devraient pas manquer de vous faire battre le cœur. Voici une romance addictive et facile à lire parfaite pour l’été et les personnes en quête d’une histoire d’amour laissant néanmoins une large place à la famille, et soulignant l’importance des racines et des liens familiaux. D’ailleurs, mention spéciale pour l’adorable Lulu, une petite fille qui devrait vous faire fondre…

https://lightandsmell.wordpress.com/2021/07/09/les-amants-de-key-west-priscilla-oliveras/

Bon au début, ça va trop vite.

On rejoint Sara sur le tarmac de l'aéroport, débarqué tout juste et en pleine dispute avec son petit ami qui clairement n'a pas l'air de servir à grand chose.

Elle tombe sur Luis, un beau pompier, en repos forcé pour une semaine.

Elle était censé présenter son copain à sa famille (si exigeante et si différente d'elle), alors au bout de seulement quelques phrases elle convainc Luis, qu'elle ne connaît pas, de l'aider. Et de se faire passer pour son petit ami.

Tu te dis "quoi ? Dans la vraie vie mais qui fait ça sérieux ?"

Mais tu vas vite passer outre.

Déjà parce que le personnage de Sara est construit de manière à t'attacher à elle très vite. Elle est le vilain petit canard dans sa famille de grands médecins, elle, la petite blogueuse life-style. Elle a de l'influence en fait, elle est débrouillarde, autonome, à monter son business et donc est loin d'être une petite idiote. Elle a des problèmes avec la nourriture, les assume et en fait une force au final. Elle est drôle, franche (bon ok à part avec sa famille pour l'instant), combative.

Puis t'a Luis, qui au début est présenté comme le pompier canon de l'histoire, qui a ce syndrome de sauveur à tout prix et qui donc ne peux pas résister à une demoiselle en détresse. Mais il est bien plus que ça. Il est aussi écorché vif à cause d'une ancienne histoire d'amour qui le hante, qui a détruit des liens avec sa famille. Il est sur la réserve, s'interdit d'être heureux, de se rapprocher de qui que ce soit par peur, par automatisme de défense.

Et là tu sens venir l'histoire. Bien sûr que c'est cousu de fil blanc, bien entendu que la fin tu la vois pointer le bout de son nez à des km mais après ?

Leur rencontre va être un bouleversement pour tous les deux, ils vont s'apprivoiser au fil des pages, vivre des instants cocasses, se sentir épié (parce que oui pas facile de jouer au faux couple quand sur l'île tout le monde connaît le gars et que personne ne se mêle de sa vie). Ils vont avoir ce rôle de pansement pour l'autre, pas dans un sens péjoratif, ils vont réellement se soigner, parfois à coup de dispute, ils vont aller gratter là où ça fait mal, pour faire ressortir le meilleur de l'autre.

T'ajoute à tout ça en toile de fond le décor d'une île, où t'a clairement envie de débarquer, d'aller te poser sur un transat, les pieds dans le sable, un petit cocktail dans une main et ce genre de romance dans l'autre et t'es parti pour des vacances au top.

Oui il y a des passages où tu te dis c'est sûrement un peu trop simple.

Mais t'a aussi l'introspection de deux familles, qui vont devoir changer leurs habitudes pour le bien être d'un de leur membre mais qui se répercutera pour le bonheur de tout le monde.

Sincèrement pour passer un bon été, ce genre de roman c'est vraiment sympa, tu te prend pas la tête, tu laisses venir les événements et tu apprécie la plume de l'auteur. Qui arrive à parler de sujets forts tout en y mettant un peu de soleil et de bons moments.

Avis :

Alejandro a quitté son île natale il y a douze ans après une brouille avec son père, qui voulait absolument qu'il reprenne l'affaire familiale après lui.

Depuis il n'y a jamais remis les pieds, il n'était pas le bienvenue.

Mais un accident pendant une séance photo, l'oblige pour sa convalescence, à être entouré, il va donc signer son retour à Key West d'une drôle de façon...

Anamaría elle, est une femme accomplie (selon ses dires), elle s'acharne avec plusieurs boulots, à monter sa propre boîte, qui a d'ailleurs déjà pas mal décoller.

Alejandro et Anamaría sont des amours de jeunesse, de ceux qui nous quitte pas même après des années d'absence, de ceux qui nous laissent un goût d'inachevé, de ceux qui nous ont brisés le cœur.

Pour l'un comme pour l'autre, devoir se côtoyer sur cette petite île va s'avérer compliqué.

Et comme leurs deux familles sont très proches ils ne pourront y échapper...

Seulement voilà... Les souvenirs sont aussi lointains qu'ils sont présents dans leurs esprits, leurs attirances, leurs habitudes qui reviennent comme ci 10 ans ne s'était pas écoulé...

Je suis retournée avec grand plaisir sur la petite île de Key West, en compagnie des Navarro et des Miranda, rencontrés lors de ma lecture "Sous le soleil de Key West" qui était dans le même univers avec d'autres personnages principaux.

Cette île sent bon le soleil, la plage, la famille, mais aussi les secrets, les contraintes, les rancœurs.

Cela donne autant envie d'y poser ses valises que de fuir le plus vite possible.

L'histoire entre Alejandro et Anamaría est jolie, est de celle qui touche. On comprend au fur et à mesure ce qu'ils se reprochaient et se reprochent toujours, on apprend à les connaître, à les aimer mais également leurs familles.

Quand vous voulez apprendre à connaître l'un des persos alors il faut aussi laisser une place pour sa (grande) famille, parce que c'est comme ça là bas, les uns ne vont pas sans les autres.

Et j'aime ce côté familial, cet amour même si souvent il est étouffant.

J'ai regretté que certains passages soient trop répétitifs, et surtout quand on faisait un pas en avant dans leur relation mais que l'un des deux décidait de reculer de quatres, ça amenait plein de passages de répétitions qui coupait l'élan de leur histoire je trouves.

En soit ce n'est pas si gênant, parce qu'on devine bien sûr très vite la fin, on se laisse prendre au jeu et plonger dans les histoires des uns et des autres.

J'espère avoir une histoire sur un autre homme de leur famille, qui est mon perso préféré ! Je croises les doigts !

En bref un slowburn efficace, plein de secrets et d'amertume mais rempli d'amour et de pardon. Idéal pour l'été, même si il nous manque le soleil et les paysages de Key West en fond pour voyager complètement.

🌅 Sara est influenceuse mode et beauté sur les réseaux sociaux. Arrivée à Key West pour une semaine en famille, elle fait face à un problème : son petit-ami lui fait faux-bond au dernier moment. Comment affronter sa famille si parfaite et leurs questions ? Et si Luis, le beau sapeur pompier en congés forcés rencontré sur le parking de l’aéroport, se transformait en gendre idéal ?

🌅 Le scénario du faux petit ami fonctionne toujours aussi bien ici et c’est quelque chose que j’aime beaucoup car on sait qu’avec tous les rebondissements, on ne risque pas de s’ennuyer.

🌅 Les personnages sont très attachants avec tous deux un passé assez tourmenté. C’est vraiment bien abordé dans le texte et les thématiques changent de celles que j’ai pu lire. On découvre leurs secrets assez tôt dans le livre ce qui permet à l'auteure de se concentrer sur le développement de la romance et sur la façon dont ils vont s’apprivoiser et s’aider mutuellement.

🌅 Lui est tout simplement un amour, touchant et vrai tandis que Sara est vive mais derrière cette façade de la parfaite influenceuse, se cache une femme peu sûre d’elle.

🌅 J’ai dévoré ce roman en 48h, me laissant emporter par leur histoire d'amour. Pas de scène de sexe ici, tout est sensuel, suggéré mais rien n’est décrit. Je trouve que cela ajoute un côté intime à cette belle relation née d’un coup de foudre !

🌅 Un coup de cœur pour moi, cette romance est parfaite pour l’été, elle vous fera rêver et voyager !

Une petite histoire sympathique. Les deux héros ont, à différents niveaux, des problèmes familiaux à régler. Mais tout était trop cousu de fils blanc. Il tombe trop vite sous le charme l'un de l'autre, pas de suspense. Je me suis un peu (beaucoup) ennuyée :(

En dehors de la romance, j'ai apprécié le voyage sur l'île. L'auteur développe très bien les paysages, les lieux, elle nous donne envie d'aller y faire un tour ;)

Une petite romance très sympa à lire, les personnages sont très attachants et l'histoire est chouette. Même si la fin est attendue, on se demande comment ça va finir par de dénouer.

Deuxième tome de cette mini saga. J'ai beaucoup aimé retrouver la famille Navarro et découvrir un autre famille cubaine, j'ai moins accroché à cette deuxième histoire, même si ça se lit très bien sans prise de tête.

Comédie romantique ultra téléphonée, sans surprise qui utilise tous les ressorts du genre et pas de la meilleure manière. Les personnages sont très stéréotypés, les scènes d’amour maladroites et mal écrites, et les rebondissements inexistants ou tellement attendus que c’est tout comme. Même pour une petite lecture d’été détente, ça ne fonctionne pas selon moi. Déçue une nouvelle fois par les choix de la collection Piment de France Loisirs (ce ne sont pas les bons romans de romance qui manquent pourtant !)

Comme j'adore la trope Fake dating, je savais que j'allais adoré cette romance et je ne suis pas trompée.

J'ai adoré le contexte familiale des deux protagonistes.

Sara n'est pas très proche de sa famille, elle possède un gros écart d'âge avec ses frères et soeurs et contrairement à eux, elle a été élevé par sa grand-mère à cause de l'absence de ses parents qui se sont re-concentré sur leurs carrière respective après sa naissance

En plus de tout ça, elle souffre de trouble du comportement alimentaire.

Ces vacances en famille sont donc l'occasion de se retrouver mais cela ne s'avère pas aussi facile que cela en à l'air.

Luis a lui une relation conflictielle avec son jeune frère à cause d'un incident survenu quelques années auparavant.

Luis et Sara vont donc s'aider mutuellement à régler leur problèmes.

J'ai adoré leurs caractères qui s'alliaient à la perfection et j'ai été touché par Luis et son besoin d'aider tout le monde.

Le développement de la relation était très bien mené, et leur plan est quelquefois fois menacé puisque Luis vit à Key West et est connu de la population, ce qui ajoute un peu de tensions.

J'ai autant adoré ce tome que le précédent.

On plonge directement dans le vif du sujet avec Alejandro qui blessé lors d'une expédition se voit contraint de passer sa convalescence chez sa famille qu'il fuit depuis des années.

J'ai donc de nouveau adoré le contexte familiale de l'histoire.

Que ce soit le conflit entre Alejandro et son père ou l'enérgie des deux familles cubaines que nous suivont et le côté héritage et tradition que j'avais aussi beaucoup aimé dans le premier tome.

J'ai adoré les personnages.

On retrouve pour quelques scènes Sara, Luis et la famille Navarro qui est toujours aussi chaleureuse.

On découvre Anamaría qui est une femme très active, entre son travail de pompier qui est une vocation familiale, son entreprise fitness qui décolle et l'aide qu'elle apporte à la communauté, elle trouve toujours du temps pour aider sa famille.

J'ai adoré le développement de la relation, dès leurs retrouvailles les souvenirs affluent et malgré leur longue séparation, l'alchimie est intact. J'ai beaucoup aimé que progressivement leur rancoeur cède la place à une nouvelle complicité.

De plus, j'ai apprécié qu'on se concentre également sur la passion d'Alejandro, la photographie. Et j'ai trouvé les méthodes élaborés par les mères de famille pour réunir et rabibocher leurs enfants très ingénieuses et drôles.🤗