H. J. Nelson

https://lislysworld.fr/the-last-she-de-h-j-nelson/

On part malheureusement sur une déception pour moi, pour des raisons que j’expliquerai dans la suite de cette chronique. Bien que les bases posées par le résumé soient prometteuses, le roman ne fait qu’effleurer certains thèmes et l’enchaînement d’action fait que les questions qu’on se pose restent sans réponse, du moins pour ce tome 1.

Une rebelle qui se balade dans les ruines de notre société à la recherche d’un proche… En soi, le sujet est déjà pas mal vu dans la littérature Young Adult mais j’espérais que The last she apporterait sa propre originalité, un petit truc en plus.

Je suppose que la différence était censée se faire sur le trope de la dernière femme sur terre, mais j’avoue ne pas avoir été enthousiasmée par le traitement du sujet comme je l’expliquerai un peu plus tard dans la chronique. Elle aurait aussi pu se faire sur l’origine de la pandémie si on en avait su un peu plus, mais l’auteur a préféré garder ça pour le tome 2.

Ara vit dans un monde où la maladie la emporté la majeure partie des gens. Seule, elle survit tant bien que mal, avant d'être capturée par un clan, ce qui la mènera dans des complots sans nom.

The concept, the classique on va pas se mentir, est pourtant bien écrit et bien ficelé, et le suspense me donne horriblement envie d'avoir la suite!

J’ai adoré ce livre, Je l’ai lu en une journée! Seulement je n’ai pas compris: Ducoup, il y a une suit ou pas?

Une superbe découverte, je recommande à tous les amateurs de Dystopie / Young Adult ! Le scénario est intéressant, même s'il n'évite pas quelques clichés, et surtout terriblement addictif ! Les pages se tournaient à une vitesse folle, l'écriture de l'auteure est très agréable et facile à lire. Il n'y a pas de temps mort dans l'intrigue, les questions posées trouvent leurs réponses au fur et à mesure. L'un des meilleurs atouts de ce roman est les personnages ! Ils sont originaux, attachants, chacun avec leur personnalité, leurs qualités et leurs défauts. En effet, dans ce monde post-apocalyptique où chacun se bat pour sa survie, les décisions des uns et des autres ne peuvent pas être rangées dans des cases "bonnes" ou "mauvaises". Si certains actes sont discutables, ils deviennent toutefois compréhensibles lorsque l'on découvre les raisons qui les motivent. De plus, même les personnages principaux nous apparaissent avec des faiblesses et font des mauvais choix, ce qui nous permet de nous identifier facilement à eux. Les différentes relations que les personnages entretiennent entre eux sont belles à suivre. D'ailleurs, le "triangle" Ara-Kaden-Gabriel m'a fait penser à un certain moment à la saga Insaisissable de Tahereh Mafi et aux personnages de Juliette-Adam-Warner. J'en suis même venue à espérer une romance entre Ara et Gabriel (même si Juliette et Warner sont indétrônables). La fin du roman laisse présager une suite, j'ai hâte de la découvrir !

Séduite par le 4ème de couv j'ai fini par déchanter : des héros qui manquent de maturité et pas vraiment attachants, en particulier l'héroïne dont je n'ai pas toujours compris les réactions (et j'avoue avoir eu du mal à y adhérer).

Quelques incohérences également dans la construction de l'histoire et j'ai fini par m'ennuyer ; j'ai donc abandonné ma lecture au milieu du livre

lu en VO. Idée de départ pas mal : une seule femme survit dans un monde 3 ans après une pandémie.

Mais ce n'est pas approfondi : pourquoi les hommes meurent plus que les femmes ? on passe plus de temps à voir Ara chercher sa famille qu'à expliquer le contexte.

La relation avec Kaden est un peu facile aussi, Ara se méfie des hommes mais personne ne lui fait d'avance, tout le monde se comporte en gentleman, c'est gentil (ou bien irréaliste ?)

Bref, lecture assez aseptisée, sans violence ni sexe, malgré ce que le sujet semblait annoncer.

Ara et Kaden arrivent dans la ville du nord où sont regroupés les rescapés de la pandémie, abrités derrière un mur, bien gardés. on dirait une dystopie, une dictature gérée par le chancelier qui produit la fleur remède contre la maladie.

Ara découvre que cet homme est son grand père qu'elle croyait mort. Elle se méfie de lui à juste titre, c'est un peu cousu de fil blanc.

On suit aussi en parallèle l'histoire de Sam qui n'est pas mort et rencontre une survivante. Personnage qui m'a été antipathique dès le début, pas réussi à m'attacher à elle.

J'ai, encore une fois, adoré ce livre ! Il est si génial que j'ai eu du mal à m'en défaire et à le finir.

En revanche, je n'est pas super apprécié que la jeune Ara embrasse plusieurs garçons de sont plein gré. Je trouve que cela rend l'histoire moins intrigante face au personnage, qui joue le rôle de Kaden.

Il y as des erreurs d'impression et d'orthographe dans le livre..., c'est vraiment dommage.

Mais je n'oublions pas que j'ai tout de même adoré ce livre et c'est tout ce qui compte au final. :)

J'ai bien aimé The last she, mais sans plus. J'adore les dystopies YA et j'ai aimé me replonger dans un roman qui reprend la plupart des codes du genre. Ne vous attendez pas à quelque chose d'original et révolutionnaire, ce n'est pas le cas ici. Personnellement, ça ne m'a pas dérangé. Le monde créé par l'auteur est intéressant, mais il reste très mystérieux et j'aurais aimé en connaître plus. Cela viendra peut-être dans la suite. Les personnages de Kaden, d'Isaac et de Sam sont très attachants. J'ai adoré le trio qu'ils formaient. Ara est une héroïne correcte, forte et courageuse, mais que j'ai trouvé agaçante parfois. Au niveau de l'intrigue, la lecture est prenante. L'action et les rebondissements s'enchaîne, la situation des personnages changent sans cesse, parfois dans des directions auxquelles je ne m'attendais pas et j'ai apprécié d'être surprise. Malheureusement, j'ai trouvé que c'était un peu trop ! Tout était précipité. Certains moments auraient mérités plus de chapitres: l'auteur sautait par-dessus des moments-clés pendant lesquelles les personnages développaient des relations importantes ou subissaient un changement dans leurs personnalités. J'aurais aimé assister à ces changements plutôt qu'on me les nomme simplement en disant: je ne suis plus la/le même. C'est ce qui m'a le plus dérangée, je dirais même frustrée dans ma lecture, et c'est la raison pour laquelle j'ai placé le roman en lu aussi. Il y avait tellement de potentiel, mais j'ai eu l'impression qu'il n'a pas été exploité au maximum. Au final, même si j'ai été un peu déçue, j'ai accroché suffisamment à l'histoire et aux personnages pour avoir envie de lire la suite lorsqu'elle sera disponible.

J’attendais plus de cette lecture qui m’a laissée sur ma faim. Les actions, la chronologie ne sont pas assez développées, en + d’un manque de description de l’environnement. Cependant le monde post-apocalyptique est toujours un plaisir pour moi, alors ça rattrape le manque de qualité de la plume…

La romance par contre est bien détaillée (pour changer) et les émotions des personnages sont justifiées et réalistes, quand même un peu de slow burn malgré les 1ers chapitres.