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Anthony Passeron

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Biographie

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Note moyenne : 8.68/10
Nombre d'évaluations : 37

0 Citations 20 Commentaires sur ses livres

Dernier livre
de Anthony Passeron

Sortie France/Français : 2022-08-25

Les derniers commentaires sur ses livres

Commentaire ajouté par mercely 2023-03-16T18:16:46+01:00
Les Enfants endormis

Les enfants endormis d’Anthony Passeron

Un jour, j’ai demandé à mon père quelle était la ville la plus lointaine qu’il avait vue dans sa vie.

Il a juste répondu : « Amsterdam au pays bas. » Et puis plus rien.

Jusqu’à ce complément de réponse laconique : « pour aller chercher ce gros con de Désiré. »

C’est par ce bref échange entre père et fils que débute ce roman !

Avec les quelques souvenirs de son enfance, les confidences incomplètes de son père et sa colère rentrée, difficile de reconstituer un passé douloureux, comprendre les non-dits, la souffrance, la sidération d’Emile le grand-père taiseux, la honte et le déni de la grand-mère Louise, qui faisait entendre que « la toxicomanie était des bêtises », « les cures de désintoxications du repos », « le sida une maladie » et « un fils mort une étoile montée au ciel » !

Dans son premier roman, Anthony Passeron nous décrit un pan de vie sensible de son histoire familiale. Quarante ans après la mort de son oncle Désiré emporté par le sida dans les années 80, Il dénoue le drame vécu par ses parents et grands-parents. Drame qui a frappé de plein fouet cette famille de bouchers, notables de l’arrière-pays niçois et de bien d’autres familles de la côte d’azur. Comment Désiré ce fils ainé, adulé par ses parents, ce fils que l’on autorise à poursuivre des études alors que son frère cadet père d’Anthony Passeron, devra d’office reprendre l’affaire familiale. Comment Désiré a-t-il pu entrainer ses parents dans un désespoir sans fin, une peine à perpétuité ?

A son retour d’Amsterdam, Désiré ne sera plus le même, drogué à l’héroïne, on le retrouvera endormi dans les rues de son village comme d’autres jeunes, fils ou filles d’artisans, de notables, « les enfants endormis » une seringue plantée dans le bras.

C’est avec maestria et une distance remarquable, qu’Anthony Passeron va mener deux enquêtes en parallèle. L’une, qui interroge son passé familial et l’arrivée du sida, l’autre, très documentée, relate le travail d’investigation, la quête acharnée menée par des médecins Français puis Américains afin d’enrayer ce virus alors inconnu. L’auteur en dit long sur le désintérêt de certains médecins quant aux symptômes développés « chez les drogués et les homosexuels ». Il nous rappelle les aléas des essais thérapeutiques et le parcours des épidémiologistes, leurs espoirs déçus, l’urgence de trouver un moyen de soigner cette affection qui emportait de jeunes malades dans de terribles souffrances et qui mouraient dans une solitude de parias.

J’ai lu le roman d’Anthony Passeron d’une traite. J’ai aimé son écriture, ses courts chapitres efficaces.

Ce livre en deux parties est bouleversant et c’est sciemment que je n’ai pas abordé le second volet dédié à Emilie la fille de Désiré.

Je vous laisse découvrir cette histoire poignante pleine d’enseignement et d’amour.

Pour ne pas oublier…

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Commentaire ajouté par manou4 2023-03-29T18:33:18+02:00
Les Enfants endormis

Roman riche et émouvant sur le sida. Les personnages de l'histoire familiale révèlent l'humanité face au drame, l'incompréhension du père, le déni de la mère, la colère du frère, la honte de la grand-mère vu la renommée de la boucherie dans le village.

La recherche médicale est très bien documentée; on suit bien l'avancée des professeurs, la bagarre dans cette recherche et en même temps la recherche de la gloire et aussi la collaboration entre chercheurs français et américains.

Parois des termes médicaux compliqués mais ça ne gêne en rien la compréhension du livre.

Comprendre les ravages de la drogue sur les jeunes est quelque chose que je connaissais mais là on le vit réellement et c'est angoissant, enrichissant, intéressant.

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Commentaire ajouté par Carole-233 2023-06-04T16:33:44+02:00
Les Enfants endormis

Une histoire tragique qui retrace à la fois celle d'une famille et les premières années du Sida. J'ai bien aimé ce mélange entre entre le cercle privé et la sphère publique.

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Les Enfants endormis

A la lecture du résumé, j’ai eu peur. J’avoue, je me suis sentie mal à l’aise, j’ai craint le pathos et la pitié. Souvent je me maudis d’avoir des idées préconçues, qui je ne vous cache pas, pourrissent ma vie de lectrice et souvent m’empêchent de sortir de mes sentiers battus. Heureusement que les 68 premières fois sont là pour me faire découvrir des romans qui n’auraient jamais croisé ma route.

Anthony Passeron nous narre l’histoire de famille, ses secrets, ceux tus comme une évidence telle une malédiction. Une vie modeste où le travail est légion et se transmet de père en fils. Deux frères, le prodige libre, extraverti et le second introverti prêt à tout pour se plier aux exigences familiales. L’aîné file du mauvais coton et plonge dans la drogue. Débuts des années 80, le Sida émerge, une pandémie sans précédent.

Choc, incrédulité, impuissance, la réalité moribonde s’échappe, se répand, foudroie des hommes, des femmes, des enfants et des familles. L’incompréhension, le courage, la colère sont le moteur des vies qui ne tiennent qu’à des essais cliniques.

Anthony Passeron alterne vie familiale, cursus scientifique, l’un faisant écho avec l’autre. Un lien ténu, invisible. Un roman émouvant et d’une intensité incroyable. Anthony Passeron décortique avec une magnifique précision des émotions paradoxales entre rejet, bravoure, déni, courage. L’aspect scientifique d’un autre côté nous permet de contextualiser toute la problématique des recherches entre espoirs d’un traitement et désillusions.

Anthony Passeron capte son lecteur et avec une infinie douceur nous délivre les souffrances de ces multitudes de vies. Un combat encore d’actualité puisque je vous rappelle que jusqu’en 2017 les personnes porteuses du VIH ne pouvaient pas bénéficier de soin funéraire.

Un premier roman d’une beauté sans égal à découvrir à tout prix !

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Commentaire ajouté par Jenna95 2023-09-04T12:02:02+02:00
Les Enfants endormis

Un roman passionnant qui nous est raconté à travers deux points différents de vue, dont on finit par rapidement par le lien.

D'un côté, une partie presque documentaire sur les recherches et les connaissances acquises sur le sida. Comment ça s'est développé, et quelles ont été les options (efficaces ou non) utilisées pour lutter contre.

De l'autre côté, on rentre dans le quotidien d'une famille. Dont l'un des membres va être infecté, et va toucher plus d'une génération.

Mais un point de vue qui prend assez de recul pour éviter un pathos à l'excès. On nous décrit les choses de façon réaliste, mais sans excès. Les altérations de santé des personnages, et ensuite de leur fille qui n'échappera pas à la maladie. C'est touchant, mais sans trop forcer, et finalement le cumul des deux chapitres rendent cette lecture à la fois très enrichissante, instructive et passionnante.

Un style d'écriture simple et épuré, qui colle parfaitement à ce qui est raconté. Bonne surprise pour ma part.

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Commentaire ajouté par Nekop 2023-11-22T23:24:45+01:00
Les Enfants endormis

Une lecture forte en émotion prenant le partie de parler de la drogue , du SIDA et de l'impact de ces deux problèmes dans une famille. Il y a aussi une partie historique fort intéressante qui parle de la découverte de la maladie et des recherches sur celle-ci et des "remèdes".

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Commentaire ajouté par Julie-176 2023-11-28T22:26:23+01:00
Les Enfants endormis

Paru lors de la précédente rentrée littéraire, ce roman récit autobiographique a reçu un beau succès, tant auprès du public que vis-à-vis du monde professionnel. Ce livre récompensé par de nombreux prix littéraires, j’ai enfin pu le découvrir et je n’ai pas été déçue, bien loin de là !

Alliant à la fois son histoire personnelle à celle de la découverte du virus du SIDA au début des années 1980, ce livre poignant sur la filiation conjugue le passé familial ébranlé par la maladie de l’oncle paternel, Désiré, aux recherches intenses médicales sur le VIH.

Au cours des années 80, dans des hôpitaux français et américains, des médecins et chercheurs découvrent une nouvelle maladie après l’observation, au départ, de quelques patients touchés – notamment – par des graves infections pulmonaires. Alors que la maladie ne semble infecter que des hommes, homosexuels, petit à petit, les patients sont aussi des femmes mais également des enfants.

En France, dans le Sud, des jeunes gens de bonne famille sont retrouvés, comme semblant endormis, dans de nombreux endroits mais également dans les rues… En vrai, évanouis en pleine journée, ce ne sont ni abrutis, ni assommés par une gueule de bois qu’ils sont mais bien retrouvés une aiguille plantée dans le bras. Il s’agit en réalité de cas d’overdose d’héroïne qui commence à faire des ravages dévastateurs, tant dans les grandes villes que dans des petits bourgs et villages isolés. Dotée d’un haut pouvoir addictif, cette drogue rend ses utilisateurs accros dès les premières consommations.

Né peu de temps avant le décès de son oncle, Désiré, l’auteur, Anthony Passeron, ne s’en souvient qu’à travers de vieilles photos ou films super8. Il décèdera – occulté par l’omerta familiale, d’une embolie pulmonaire, en 1987, à la suite de sa contamination au virus du SIDA, après un échange de seringues consommant lui-même de l’héroïne. Ne souhaitant pas être victime de l’opprobre sociétal à cause de ce membre de la famille, cette dernière a préféré taire les causes de sa maladie et ensuite de son décès.

Écrit d’une plume parfaitement maîtrisée, ce primo-bouquin intimiste est d’une lucidité et d’une justesse incroyables. Je me suis fortement attachée aux membres de cette famille qui, malgré leurs efforts conjugués afin d’aider cet oncle, n’ont pu qu’assister à son lent déclin.

Par l’évocation de la découverte de ce terrible qu’a été et est encore aujourd’hui le SIDA, j’ai pu en apprendre beaucoup et pense que cela pourrait être le cas de nombreux lecteurs. Alternant les chapitres personnels à des chapitres scientifiques, le roman est fascinant et envoûtant.

L’ayant en même temps lu qu’écouté, j’ai beaucoup apprécié la lecture faite par Loïc Corbery dont le timbre de voix agréable s’accordait parfaitement au récit. C’est totalement la voix que je me serais imaginée pour l’auteur contant lui-même son histoire. L’alliance des deux était donc irréprochable.

Bref, ce roman sera l’un de mes coups de cœur de l’année et j’attends avec impatience le prochain livre d’Anthony Passeron, qui j’espère, me transmettra autant d’émotions que celui-ci.

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Commentaire ajouté par AmandineStuart 2024-03-25T19:25:58+01:00
Les Enfants endormis

Après *La Louisiane* de Julia Malye, j’ai poursuivi ma découverte de la sélection du Prix Audiolib 2024 avec *Les Enfants Endormis* d’Anthony Passeron - un livre dont je n’endentais que d’excellents retours depuis sa parution.

Et il s’avère que, comme beaucoup, j’ai été totalement séduite par cette lecture… au point de frôler le coup de cœur !

J’ai du mal à catégoriser ce livre, qui n’est pas tout à fait un roman mais qui ne coche pas non plus toutes les cases de la non-fiction… Mais ce n’est pas le plus important.

—Un récit intime et scientifique—

Si tu n’as pas encore entendu parler des *Enfants Endormis* d’Anthony Passeron, voilà ce que tu dois savoir :

Nous évoluons dans une alternance de chapitres très courts dans lesquels nous suivons d’un côté la réalité d’une famille confrontée au VIH par l’intermédiaire de Désiré (l’oncle de notre narrateur, qui n’était qu’un enfant durant les années qu’il nous relate dans le récit), et d’un autre côté des chapitres consacrés à l’histoire scientifique du virus : comment il est né, qui l’a découvert, les batailles qu’il a fallu mener pour qu’il soit pris au sérieux par la communauté médicale, les guerres internes, ses évolutions et surtout les étapes de la recherche pour créer un moyen de le vaincre.

J’ai adoré ce double regard avec la partie purement factuelle et scientifique qui se confrontait aux réalités intimes face à la maladie dans cette famille de bouchers d’un petit village isolé du sud de la France. Une famille à la condition sociale élevée, pour qui il était impensable de voir l’aîné de ses fils (celui en qui ils avaient placé tous leurs espoirs) devenir héroïnomane et contracter le “cancer gay” (l’un des premiers noms donné au SIDA) à cause d’une seringue passée de mains en mains. Des années après, tous les membres de cette famille ont donc enterré cette histoire dans une forme de déni et de tabou qu’il serait mal venu de venir secouer.

—Un sans-faute pour Les Enfants Endormis—

Tout sonne juste dans ce récit. Que ce soit les bouleversements humains provoqués par la maladie, l’incompréhension de tous, le sentiment d’être démuni et abandonné face à un mal que l’on ne comprend pas et qui fait peur - mais aussi tout le portrait sociologique que l’auteur dresse de cette société des années 80 qui refusera de voir les choses en face et continuera de stigmatiser les malades et leurs familles pendant des années, en les traitant ni plus ni moins que comme des pestiférés.

Cette lecture m’a beaucoup appris, que ce soit scientifiquement parlant ou d’un point de vue plus général - en tant que femme née en 99 je n’avais pas conscience de toutes les réalités qu’impliquait le SIDA à l’époque. Sincèrement, *Les Enfants Endormis* me semble être un récit d’utilité publique, qui est aujourd’hui l’une des pièces maîtresses de ma bibliothèque.

Et outre la qualité du traitement du sujet, le récit est aussi porté par une plume qui ne gâche rien. Anthony Passeron touche juste dans un style littéraire qui sait capturer les nuances et les contradictions sans faire dans le lyrique. Il nous emporte dans ce récit sensible qui prend corps grâce à la voix de Loïc Corbery, le narrateur de la version audio à la voix assez lente et basse, qui ne s’impose pas mais semble bien nous confier cette histoire intime au creux de l’oreille.

—En bref—

En bref, j’ai frôlé le coup de cœur pour *Les Enfants Endormis* d’Anthony Passeron : un récit d’utilité publique qui est aujourd’hui l’une des pièces maîtresses de ma bibliothèque. En confrontant la vision scientifique à la réalité intime face au SIDA dans les années 80, l’auteur dresse un portrait complet et nuancé d’une société mal à l’aise et aveuglée. Avec ce portrait de famille tout en sensibilité, l’auteur fait entrer la petite histoire dans la grande - et nous offre par la même occasion un récit qui restera dans les annales. Franchement, je ne serais pas étonnée qu’on l’étudie en classe dans quelques années, et ça serait mérité. À lire absolument !

https://desrevesdanslamarge.com/les-enfants-endormis-anthony-passeron/

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Commentaire ajouté par Nanarchie 2024-05-02T10:38:35+02:00
Les Enfants endormis

Ce livre m'a ouvert les yeux sur ce qu'est vraiment le SIDA et ses conséquences. Etant née en 2001, le SIDA était pour moi une IST comme les autres.Je n'avais pas conscience de ses tenants et aboutissants. Je savais qu'il y avait eu une épidémei mais j'étais loin d'imaginé une telle ampleur et surtout qu'il avait fallu tant d'années pour obtenir des connaissances et un éventuel traitement.

J'ai beaucoup apprécié le rythme roman et explication scientifique. L'histoire de la famille m'a beaucoup touch et donne une impostance cruciale aux textes retrancant l'histoire. Spoiler(cliquez pour révéler)J'ai espéré tout au long du livre qu'un traitement serait développé avant la mort d'Emilie.

J'aurais aimé avoir un état actuel de la maladie à la fin.

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Commentaire ajouté par 1001chapitres 2024-05-03T08:07:54+02:00
Les Enfants endormis

Je fais partie de la « génération sida ». Mon adolescence s’est construite à l’ombre de cet oiseau de malheur. Je pense encore parfois à la BD Jo qu’on nous avait distribuée à l’école, hantée par ces jeunes visages creusés et cadavériques…

Il y a quelques années, j’ai regardé « It’s a sin », une série anglaise sur les début de l’épidémie dans le milieu gay et mon cœur s’est brisé en mille morceaux. Tellement d’indifférence et de rejet pur et simple, même dans le milieu médical! Quand Katia de @lire1x nous a parlé des « enfants endormis » lors de mon tout premier Bookclub, je savais que ce livre saurait me toucher en plein cœur.

Foin de grande ville et de milieux interlopes, ici on est dans l’arrière-pays niçois, là où la jeunesse s’ennuie et où l’héroïne fait des ravages. L’auteur nous raconte la maladie de son oncle Désiré entre tâtonnements de la médecine, déni et ostracisation des patients.

Un livre authentique et poignant mais qui ne tombe jamais dans le pathos. Un hommage aussi, à celles et ceux qui se sont battu·es pour que la maladie soit reconnue et pour que les malades reçoivent enfin des soins décents.

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