Tsukiya

Ce manga est un de mes préférés du moment. J’attends chaque tome avec une grande impatience.. J’aime tellement cette histoire, ces personnages et j’en passe. Clairement je pourrais avoir des tonnes de tomes ça ne me dérangerait pas le moins du monde. J’avais hâte d’avoir le tome suivant entre les mains. Et généralement, ils ne font clairement pas long feu une fois que je l’ai. Je le dévore en un rien de temps

Dans ce cinquième tome Kirishima est un yakuza surnommé « le démon » et ses missions finissent bien souvent dans un bain de sang. Le boss du clan, qui en a marre de masquer les bévues de son subalterne, lui confie une mission qu’il ne peut refuser : prendre soin de sa précieuse fille, Yaeka, 7 ans.

Dans ce tome ci, l’histoire est moins axé sur le côté babystitter. De ce fait, la petite Yaeka est très peu présente. Mais ce n’est pas pour autant que ce tome m’a déplu ou quoi que ce soit, bien au contraire! J’ai adoré même! On n’est pas vraiment dans l’intrigue, c’est plus une succession de petites scènes bien sympathique. Le personnage de Sugihara m’a fait tellement rire! Il est tellement à fond sur Kirishima, il le colle, lui pose des tas de questions et j’en passe. Il est bourré d’énergie et n’arrête pas une seconde. Il m’a franchement bien fait rire pour le coup! La scène au bain public avec les tatouages, ça m’a bien fait sourire aussi ça. Le peu que l’on voit Yaeka, c’est toujours un plaisir de la voir cette petite. Elle est si mignonne et surtout si touchante surtout! Et puis la relation qu’elle a avec Kirishima me plaît tellement. Au début elle était toute timide et finalement elle s’est tellement ouverte à ses côtés. J’aime énormément les suivre tous les deux et je pourrais avoir des tonnes de tomes sur leurs aventures que ça ne me gênerait pas le moins du monde!

Encore une tome que j’ai énormément apprécié. En vérité, je me suis tellement attachée aux personnages et à leur histoire que je ne retrouve jamais rien à redire sur les différents tomes. Jamais je ne trouverais un défaut à ce manga. Alors peut être que je ne suis pas la plus objective mais c’est comme ça! Je suis beaucoup trop fan de ce manga et je me régale à chaque tome!

Chronique complète :

https://sunread26.wordpress.com/2023/07/21/the-yakuzas-guide-to-babysitting-tome-5/

Extrait :

Dernier tome en date, et la simplicité de l’œuvre continue de faire son bout de chemin. Une ombre semble planer sur Kirishima et la jeune demoiselle, ou peut-être est-ce juste mon impression ? Ce tome n’a pas vraiment de fil conducteur comme les précédents, ce qui le rend un peu moins mémorable, mais ça ne veut pas dire que les thèmes abordés ne sont pas intéressants ! C’est vraiment dommage qu’il n’y ait pas un chapitre de plus, le tome n’est pas très épais en plus…

Même si ce tome n’a pas de ligne conductrice, il y a plusieurs passages ou petits détails croustillants à se mettre sous la dent. Notamment vis-à-vis de Kirishima, on en apprend un peu plus sur son passé (qu’il n’aime pas évoquer) grâce à Kei. Leon Wilson continue de donner du fil à retordre aux Yakuza… il s’agit du père de la copine de la demoiselle, donc rien d’alarmant, c’est plutôt comique en réalité. D’ailleurs grâce à lui, on apprendra aussi que Kirishima n’aime pas trop la chaleur… Une information toujours bonne à prendre, de plus, il semble assez sensible à certaines odeurs (dans le sens où il n’aime pas).

Pour ce qui est de l’ombre, potentiellement dangereuse, qui plane sur lui, il y a un personnage bien particulier qui pourrait bien l’être. C’est celui sur la couverture, et je vous laisse le plaisir de découvrir pourquoi. En tout cas, Kirishima lui, ne l’aime pas du tout, car comme il le dit si bien : il schlingue, son parfum n’est visiblement pas adapté à tous les odorats. Kirishima, depuis qu’il est devenu nounou, fait tout pour être exemplaire, car il ne souhaite pas traumatiser la demoiselle. Certains Yakuzas, amis ou non, sont un peu déçus de son changement de comportement et aimeraient bien voir l’ancien Kirishima faire son grand retour.

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Yaeka est bien plus ouverte maintenant qu'elle a Kirishima. C'est mignon. Et évidemment, le sous-fifre n'a pas le même traitement de faveur.

Une chance que Yaeka ne soit pas pleurnicharde Spoiler(cliquez pour révéler)surtout avec le coup qu'elle a eu.

Les enfants sont si précoces aujourd'hui... Et parfois, ça me fait peur de penser jusqu'où ça ira.

Si j'étais en vacances au Japon, c'est sûr que moi aussi, je voudrais tester tout ce qui est typique... quoi que j'ai déjà expérimenté les tatouages.

Chronique complète :

https://sunread26.wordpress.com/2023/11/22/the-yakuzas-guide-to-babysitting-tome-6/

Extrait :

Petite lecture qui fait toujours plaisir, j’aime de plus en plus les séries avec beaucoup de douceurs, simplicité et bonnes vib’. Même si j’apprécie toujours le reste, ça fait comme une petite pause, et ça devient assez addictif. Je sais d’avance qu’il n’y a pas vraiment d’arrière-pensée ou d’éléments cachés avec ce titre, ce qui me permet d’alterner avec une lecture où c’est le cas, comme Ron Kamonohashi entre autre.

Un bon et gros flashback est présent dans ce tome, le passé de Kirishima semble bien triste, c’est peut-être pour ça qu’il apprécie autant la petite Yaeka. Il a perdu ses parents lorsqu’il était jeune, et visiblement, les Yakuza y étaient peut-être pour quelque chose. Sa mère adorait les fleurs, pour leur beauté, mais aussi pour le langage des fleurs. Encore une chose assez douce, mais parfois aussi assez dure, à évoquer dans ce titre. Le langage des fleurs n’est pas une chose simple, puisqu’il faut prendre en compte la variété, mais aussi la couleur de la fleur. D’ailleurs, certaines significations changent aussi suivant le pays et sa culture. La plus connue est sans doute la rose rouge qui représente l’amour (ardent, passionnel) ou la beauté. Là où la rose blanche est plus discrète, avec son amour pur, sincère et timide, comme un enfant envers ses parents. Cette couleur est souvent, et tristement, offerte pour les enfants partis trop tôt. Malgré cette nouvelle partie sur Kirishima, il reste encore du mystère autour de son passé, mais il prouve avec son aversion qu’il avait, puis sa dévotion, que tous les Yakuza ne sont pas mauvais. Est-ce que c’est pareil en réalité, je n’en sais rien…

Kirishima est vraiment le personnage intéressant de la série, ce qui est en soit un peu triste pour les autres, qui sont laissés de côté. Son passé semble des plus sombres, quant à son clan, il semblerait qu’il lui est sauvé la vie. C’est d’ailleurs la mère de Yaeka qui y contribua beaucoup, avec ses petits plats et sa joie communicative. Ce qui rend plus dramatique ce qu’elle est devenue. D’ailleurs, elle est à nouveau en second plan, j’imagine que les évolutions à son sujet ne sont pas prévues pour tout de suite. Ce qui est bien par contre, c’est que la jeune Ayumu n’est pas oubliée, chacun de ses passages est un vrai sketch. Elle ne pense littéralement qu’à manger, du coup, pour poser des questions à la personne dont elle est tombée amoureuse, ça tombe évidemment sur la nourriture et ses goûts. Sa timidité et ses réactions drôles, mais aussi toutes mignonnes… bon par contre, j’ignore l’âge respectif des deux individus, donc on n’en parle pas.

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J'ai découvert ce manga grâce à son adaptation en anime, que j'ai trouvée géniale et adorable. J'ai immédiatement plongé dans les cinq premiers tomes, que j'ai dévorés avec enthousiasme. Il me tarde de lire la suite.

Yaeka est vraiment mignonne avec ses p’tites mimiques et sa gentillesse et son attachement pour Kirishima sont adorables. Et il ne faut pas Sugihara qui s’en prend plein la gueule à chaque fois le pauvre, lui qui veut simplement aider.

Je suis intrigué par le mystère entourant la mère de Kirishima. Les personnages sont tous plus originaux les uns que les autres, notamment Rei. Malgré son caractère bizarre, il sait être sérieux, et c'est ce que j'apprécie dans ce manga : chaque personnage montre deux facettes, même les personnages secondaires qui ne sont pas toujours développés dans d’autres œuvres. Certains personnages ont droit à leur petit bonus en fin de tome.

Je compte sur le père de Sarah pour créer d'autres occasions de voir le Japon traditionnel. C’est toujours marrant de voir les réactions du père de Yaeka face à ce personnage excentrique.

Les seuls persos que je n'ai pas aimés sont ceux qui se sont pris à Yaeka, je me rappelle même plus leur nom d'ailleurs, mais eux, je pense qu’ils se rappelleront de Kirishima.

Dans ce manga, il n’y a pas d’histoire à proprement parler, je dirais que c'est plus un fil conducteur qui fait que chaque chapitre a du sens, cela change un peu du shonen classique.

Je parle, je parle et il y a encore tant de personnages qui mériteraient un p’tit mots mais ce serait trop long donc foncer lire ce manga pour découvrir tout cet univers de yakuzas et de babysitting.

Chronique complète :

https://sunread26.wordpress.com/2024/02/03/the-yakuzas-guide-to-babysitting-tome-7/

Extrait :

Même si c’est ma sœur qui suit et achète les tomes de cette série, j’admets que je l’apprécie beaucoup et qu’elle fait donc partie des rares où je suis à jour niveau lecture ! Lors de ma chronique du tome précédent, j’hésitais beaucoup à continuer mes chroniques sur la série. Un peu comme « la voie du tablier », il n’y a pas de quoi beaucoup parler dans cette série, même si elle est agréable à lire. Au final, je pense continuer, au moins pour ce tome, et j’aviserais donc à chaque lecture, si ça vaut le coup ou non.

L’intrigue reprend alors que le père de Yaeka et Kirishima sont prêts à partir. La petite se réveille, curieuse, mais toujours un peu embrumée, afin de leur demander où ils vont. Alors qu’il va voir un de ses camarades et amis (avec qui il se dispute souvent), son père apprend une nouvelle peu réjouissante. Visiblement, les auteurs, le clan, ayant causé l’accident de sa femme (donc la mère de Yaeka) existent toujours et ils pourraient bien finir par s’en prendre aussi à la petite. Cette nouvelle le bouleverse au plus au point et c’est bien normal, il se sent déjà impuissant de n’avoir pas pu sauver sa femme… il craint donc de l’être à nouveau lorsque sa fille aura besoin de lui. Une réaction des plus normales pour un père, même s’il n’a pas autant de temps qu’il le souhaiterait pour s’occuper d’elle. Même si cette nouvelle est peu réjouissante, elle permet néanmoins d’approfondir et de mettre en avant le père, que l’on voyait assez peu jusqu’à présent. Il passe d’un être insensible, à un être plutôt maladroit pour ce qui est du relationnel. Il adore sa fille est lui montre assez facilement par un sourire, même s’il n’a pas toujours les mots. Il n’y a donc pas qu’un gars un peu figé tel un mur, toujours avec l’air sérieux en lui, et tant mieux !

Il semble aussi oublié à qui il a confié sa fille, un garde du corps pas des plus commodes pour ses ennemis. Je me demande comment il considère Kirishima, comme un petit frère, comme un fils, comme un « membre de sa famille » sans plus de détails. Kirishima se fait passer pour l’oncle de Yeaka lorsqu’il va la voir à l’école, mais c’est sa couverture, ça n’indique pas spécialement que le chef en pense de même. Même si j’apprécie beaucoup le duo formé par Yaeka et Kirishima, je ne serais pas contre plus de scène impliquant uniquement les autres personnages. Je me demande également si cette scène où l’accident est évoquée, n’est pas une sorte d’annonce pour dire que les choses, que l’ambiance, vont changer. Peut-être que la mère de Yaeka va enfin se réveiller ! Je l’espère tellement pour elle, mais aussi pour tous les autres personnages, elle semble être une personne si agréable.

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On a maintenant un policier dans l'entourage. Ça risque d'être coton pour Kirishima.