Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
714 791
Membres
1 013 858

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

Extrait ajouté par isane3 2012-04-15T17:24:29+02:00

[...]

(America & Maxon).

- Aucune idée. En même temps, certaines n'attendent qu'une chose, vous sauter dessus.

- Mais pas vous. Vous, vous n'avez eu aucun scrupule à me balancer un coup de genou dans l'entrejambe.

- Objection ! Dans la cuisse.

- Ne dites pas d'absurdités. Dans la cuisse, ça ne fait pas aussi mal.

Afficher en entier
Extrait ajouté par isane3 2012-04-15T17:28:39+02:00

[...]

(America & Maxon).

- Maxon, ce n'était pas de la comédie. Si vous m'aviez demandé mon avis il y a un mois, la réponse aurait été très différente. Je vous connais à présent, et j'ai parlé en toute bonne foi. En toute sincérité.

- Merci alors, répond-il avec un petit clin d'oeil.

- De rien.

- Il aura de la chance, lui aussi.

- Pardon ?

- Votre fiancé. Quand il reviendra à la raison et vous suppliera de le reprendre.

- Ce n'est pas mon fiancé. Et il a fait une croix sur moi, il a été très clair là-dessus.

- Impossible. Il vous aura vue au bulletin ce soir, il s'en sera mordu les doigts. Même si, à mon sens, il ne vous mérite pas.

Maxon s'exprime sur un ton las et découragé, comme s'il avait vu cette situation se reproduire des milliers de fois.

- Et j'y pense, ajoute-t-il, si vous voulez éviter que je tombe amoureux de vous, cessez donc d'être aussi jolie. Dès demain matin, j'ordonne à vos chambrières de vous coudre des robes de bure.

- Arrêtez, Maxon.

- Je ne plaisante pas. Vous êtes beaucoup trop belle, c'est très dangereux. Lorsque vous quitterez le palais, nous serons dans l'obligation de vous attacher des gardes du corps. Vous ne survivrez jamais livrée à vos propres moyens, ma pauvre petite.

- Je n'y peux rien si je suis née parfaite.

Et je fais mine de m'éventer, comme si tout cela - la beauté, la perfection, l'intelligence - m'épuisait.

- Non, vous avez raison.

J'éclate de rire. Maxon a toujours l'air grave. Du coin de l'oeil, je remarque qu'il ne me quitte pas du regard. Lorsque je me tourne vers lui pour lui demander ce qui le captive autant, son visage n'est qu'à quelques millilètres du mien.

Et il m'embrasse, sans crier gare.

Je m'écarte aussitôt, surprise. Maxon recule lui aussi.

- Excusez-moi, marmonne-t-il, rouge comme une tomate.

- Mais qu'est-ce qui vous prend ?

- Pardon.

- Vous êtes tombé sur la tête ?

- C'est juste que... avec ce que vous avez dit tout à l'heure... et votre attitude de plus en plus amicale... j'ai cru que vos sentiments à mon égard avaient changé. Et je vous apprécie, je pensais que vous l'aviez compris. Et... c'était si terrible que ça ? Vous avez l'air catastrophée.

J'essaie d'arborer une expression neutre. Maxon semble avoir envie de s'enfoncer six pieds sous terre.

- Je suis navré. C'est mon tout premier baiser. Je ne sais pas quelle mouche m'a piqué, souffle-t-il. En fait... je vous demande d'accepter mes plus plates excuses, America.

Une chaleur inattendue s'empare soudain de moi. Son premier baiser, c'est à moi qu'il a voulu le donner.

Oui, je le reconnais, j'ai encore des sentiments pour Aspen. Je ne peux pas l'oublier en un claquement de doigts. Mais notre couple n'est plus qu'un amer souvenir et plus rien ne m'empêche de réserver à Maxon une place dans mon coeur. A part mes préjugés, peut-être. Des préjugés balayés par la réalité.

J'effleure son front de ma main.

- Que faites-vous ?

- J'efface de votre mémoire ce baiser raté. Je suis sûre qu'on peut mieux faire.

- America, on ne peut pas défaire ce qui a été fait, malheureusement.

- Bien sûr que si. Qui le saura, à part vous et moi ?

Maxon scrute mes traits, visiblement tiraillé. Je vois l'assurance gagner petit à petit son visage. Nous restons ainsi un long moment, les yeux dans les yeux, et je chuchote :

- Je n'y peux rien si je suis née parfaite.

Maxon s'approche de moi et m'enlace par la taille. Son nez chatouille le mien. Du bout des doigts, il frôle ma joue avec une délicatesse telle qu'on croirait qu'il a peur de me briser.

- Non, c'est vrai. Ce n'est pas de votre faute.

Les mains sous ma nuque, Maxon dépose un baiser sur mes lèvres, aussi léger qu'un murmure.

Un je-ne-sais-quoi de timide, d'hésitant, me fait chavirer. Sans qu'une seule parole circule entre nous, je sens une vague de nervosité le parcourir. Au plus profond de moi, je comprends qu'il m'adore.

C'est donc ça, être une princesse.

Au bout d'un moment, Maxon me relâche.

- C'était mieux ?

Je hoche la tête, muette. Maxon semble à deux doigts d'exécuter un saut périlleux.

- Puis-je ajouter quelques mots ? Je ne suis pas stupide au point de croire que vous avez complètement gommé votre ancien amour. Je sais quelles épreuves vous avez traversées, je sais que vous n'êtes pas arrivée là via un processus normal et je ne veux pas vous forcer la main. J'aimerais juste... savoir s'il serait possible...

Question épineuse. Suis-je prête à vivre une vie qui ne m'a jamais fait rêver ? à le regarder donner leur chance à d'autres filles afin d'être sûr de son choix ? à assumer des responsabilités énormes ? à aimer Maxon ?

- Oui, Maxon. C'est possible.

Afficher en entier
Extrait ajouté par Globule54 2012-05-18T19:53:59+02:00

(America & Maxon)

-Et vous, mademoiselle, qu'est-ce qui vous a poussée à participer à la Sélection ? L'homme ou le trône ?

-En fait, je suis arrivée ici par erreur.

-Par erreur ?

-Oui. Plus ou moins. C'est une longue histoire. Et maintenant... me voilà. Je ne me bats pour rien de tout. Le but ultime, c'est de me remplir l'estomac jusqu'à ce que vous me montriez la porte.

Afficher en entier
Extrait ajouté par kats-at 2012-04-25T12:37:29+02:00

« Lorsque ses lèvres s'aventurent dans mon cou, je souffle :

- Ils vont te tuer si tu fais ça.

- Et je vais mourir si je ne t'embrasse pas. »

Afficher en entier
Extrait ajouté par isane3 2012-04-15T18:03:43+02:00

[...]

(America & Maxon.)

- Et moi, pourquoi me garder ?

- America, je croyais avoir été clair sur ce point.

Maxon laisse échapper un soupir et prend délicatement mon visage entre ses paumes. Quand je lève la tête, il passe aux aveux.

- Si les choses n'étaient pas aussi compliquées, j'aurais déjà annulé la Sélection depuis longtemps. Mes sentiments ne sont plus un mystère pour moi. Peut-être est-ce irréfléchi de ma part de me lancer ainsi tête baissée, mais je suis certain que je serais heureux avec vous.

Afficher en entier
Extrait ajouté par isane3 2012-04-15T18:08:37+02:00

[...]

(America & Maxon.)

- Vous savez que vous avez toujours le choix. Si vous avez peur de rester, n'en faites pas mystère. Si vous doutez de m'aimer un jour, ayez la bonté d'abréger mes souffrances. Nous nous quitterons bons amis.

A ces mots, je pose ma tête sur son torse. A la fois surpris et rassuré par ce geste, Maxon me serre contre son coeur.

- Maxon, je ne sais pas trop ce que nous sommes, mais nous sommes plus qu'amis, c'est certain.

Il soupire. Je distingue l'affolement de son coeur, qui bat la chamade à travers l'épaisseur de son costume. Avec délicatesse, il relève mon menton. Je sens un attachement indicible qui grandit entre nous.

Ensuite vient le baiser, d'une tendresse inimaginable.

Afficher en entier
Extrait ajouté par cheval77 2012-07-03T18:20:46+02:00

- Quel bon vent vous amène, Votre Altesse ?

- Je viens d'avoir une idée.

- Une idée ?

Il arpente la chambre, s'arrête devant le miroir et étudie les photos.

- Eh bien, comme je n'entretiens pas avec vous la même relation qu'avec les autres filles, peut-être que nous pourrions... mettre au point un système de communication alternatifs. Tiens, votre petite sœur vous ressemble comme deux gouttes d'eau !

- On nous le dit souvent. Vous pouvez approfondir le concept de "communication alternative" ?

- J'envisageais quelque chose d'un peu moins... académique que les traditionnels billets transmis par les femmes de chambre et les invitations plus formelles. C'est vous qui avez apporté ces partitions ?

- Non, elles étaient là a mon arrivée. Tout ce que j'ai envie de jouer, je peux le jouer de mémoire.

- Impressionnant.

- Vous voulez bien arrêter de fourrer votre nez partout et finir d'exprimer votre pensée ? Merci.

- Bien sur. Ce que je me suis dit, c'est que vous et moi, nous pourrions mettre au point un signal, une façon de transmettre des messages connue de nous seuls, un code secret en quelque sorte. Pour signaler à l'autre qu'on a besoin de lui parler. Comme nous frotter le nez, par exemple.

Et il joint le geste à la parole.

- On dirait que vous avez le nez bouché. Pas très élégant.

- Ou se passer la main dans les cheveux, tout simplement ?

- J'ai presque toujours les cheveux relevés. Je ne vois pas comment je pourrais passer les doigts dedans. Et avec votre couronne sur la tête ? Vous allez la faire tomber.

- Excellente remarque. [...]

- Et si on se tirait l'oreille, lance-t'il, en souriant.

- Bonne idée. Simple et discret, mais original. L'oreille alors.

Afficher en entier
Extrait ajouté par anonyme 2012-08-12T15:29:06+02:00

"- Dites-moi, Votre Altesse, comment gérez-vous une pièce remplie de jeunes filles éplorées?

- Je ne connais rien de plus déroutant! chuchote-t-il ses traits déformés en une expression de perplexité comique. Je n'ai pas la moindre idée de ce qu'il faut faire pour inverser la tendance.

Voici l'homme qui va prendre en main le destin de notre pays; quelques larmes et il est pris de court. A mourir de rire. "

Afficher en entier
Extrait ajouté par ana--is 2012-04-24T22:11:28+02:00

Aspen et America

- Ce n'est ni le moment ni l'endroit. Ta détermination va t'attirer des ennuis.

- Je n'ai pas peur de ce gratte-papier.

- Maxon n'est pas un gratte-papier. C'est avant tout un grand seigneur.

- Je ne dis pas le contraire, mais je parie qu'il n’embrasse pas aussi bien que moi. Remarque, tu ne peux pas comparer, affirme Aspen en ponctuant sa remarque d'un clin d'oeil.

Pour toute réponse, je rougis jusqu'au blanc des yeux. Il donne soudain l'impression d'avoir été sonné par un uppercut.

- Tu l'as embrassé? murmure-t-il, estomaqué.

Mon silence est éloquent.

- Tu prend tout cela très au sérieux, pas vrai?

- Oui. Je l'aime beaucoup.

- Cela veut dire que la lutte va être encore plus rude que je ne l'imaginais...

Aspen se dirige alors lentement vers la porte. Avant de la refermer derrière lui, il m'adresse un clin d'oeil.

- Bonne nuit, mademoiselle America.

- Bonne nuit, officier Leger."

Afficher en entier

- Le prince va adorer America, c'est certain ! Elle est jolie comme un cœur.

- Maman arrête. Je n'ai rien de spécial.

- N'importe quoi ! proteste May. Je te ressemble comme deux gouttes d'eau, et je suis jolie, moi ! Alors toi aussi !

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode